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Monsters and Heroes: The Ironies of Black Subjectivity in Stephen Crane’s The Monster and Richard Wright’s The Man Who Lived Underground

dans Presses universitaires du Midi

Auteur(s) : Lewis, Joseph L.

  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2024-01-30T01:00:00Z
  • Notes
    • Cette analyse associe le concept d’africanismes américains élaboré par Toni Morrison à celui d’ironie discursive proposé par Clyde Taylor pour examiner comment la présence symbolique du monstre apparaît dans le roman court de Stephen Crane intitulé The Monster et comment il réapparait sous une forme différente dans celui de Richard Wright intitulé The Man Who Lived Underground. Crane et Wright ont le projet commun de proposer une construction des concepts de race, d'identité et de représentation à travers le personnage du monstre, mais leurs visions s'opposent en raison de leurs origines culturelles. Je pose alors la question suivante : dans quelle mesure les origines culturelles peuvent-elles orienter la réception des images littéraires et influencer la manière de présenter ces images dans la littérature américaine ? J'observe la tendance des écrivains noirs américains à critiquer et parodier les définitions de race, d'identité et de représentation des écrivains blancs américains en étudiant précisément cette interaction, par une lecture croisée des textes de Crane et de Wright. Le choix de sensibilités littéraires noire et blanche reflète également la diversité et le brassage culturels qui ont marqué et enrichi ce pays. Ce qui m'y intéresse, ce sont d'ailleurs les dichotomies raciales et la manière dont "L'Afrique" et le "peuple africain" vivant aux Etats-Unis sont associés à ces connotations raciales.
  • Langues
    • Anglais
  • Droits
    • info:eu-repo/semantics/openAccess
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