En 1958, les villes de Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) et Fort-de-France (Martinique) connaissent une crise qualitative et quantitative du logement, marquée par la multiplication des quartiers d’habitat spontané dans les faubourgs à la périphérie des anciens centres coloniaux. Pour y remédier, des programmes immobiliers ont été menés au cours des années 1960-1970. À partir de ces deux exemples, il s’agit de déterminer quelles ont été les politiques sur le logement social et l’amélioration de l’habitat dans les villes antillaises.