À partir d’une idée présente dans Cidades Invisíveis d’Italo Calvino sur les différentes façons de voir et d’appréhender la ville, cet article mène une réflexion sur le caipira paulista face à l’exode rural brésilien de la moitié du XXe siècle. Cette étude est effectuée à partir de l’analyse des paroles de modas de viola (un genre représentatif de la chanson caipira), tout en proposant un certain nombre d’analyses sociologiques ayant trait à cette thématique.