Cet article s’interroge sur la place respective que les historiens du droit administratif (section 03 du Conseil national des universités) et les administrativistes contemporains (section 02) accordent en France à l’analyse du droit positif. Il note que les administrativistes s’intéressent davantage à la doctrine que les historiens du droit, ces derniers adoptant une démarche davantage positiviste.