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On Walking in Burns’s “Great Shadow”: Keats’s Scottish Heritage

dans UGA Éditions/Université Grenoble Alpes


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2013-03-27T01:00:00Z
  • Notes
    • Keats avait une profonde admiration pour Burns qu’il affectionnait tout particulièrement pour son art terrestre, ses humours/humeurs, son goût pour la bonne nourriture et le vin, sa vision anatomique du vers et son appétit pour les expériences nouvelles. Keats trouva en Burns un compagnon de route et ressentit plus d’une fois sa présence dans les recoins de son cottage, à l’ombre de sa mémoire ou encore dans la chaleur de son âme, partageant avec lui les mêmes choix de vie et la même substance poétique.Cet article traite de l’affiliation entre ces deux poètes et tente de mesurer tout l’impact de la scotticité de Burns sur Keats en s’attachant de près à chaque battement de leurs pulsations communes. Keats est parti visiter l’Écosse et cela malgré sa santé fragile, afin de raviver un corps et une culture renaissante au fil du voyage. Sur les traces du barde écossais, il vécut à nouveau au rythme de cette passion retrouvée pour la musique, la dance, la bonne chère et la boisson.Les deux poètes partagent également un même intérêt pour la médicine et ses définitions en termes de mortalité et de création, qu’elles s’appliquent aux forces essentielles de la nature ou aux vertus littéraires de la science. En fin/faim de vie, Burns et Keats, tous deux fils de Rabelais, ingèrent et digèrent la poésie au nom de ses plaisirs physiques et de ses jouissances esthétiques, nous léguant une philosophie généreuse de l’écriture ainsi qu’une conception, pleine d’humour, des formes d’inspiration transmises d’un (poète-) modèle à un autre.
  • Langues
    • Anglais
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