L’essai vise à réfléchir aux transformations les plus récentes de ce que nous appelons l’histoire politique, en partant de la considération d’une remarquable capacité de régénération dont le champ a su faire preuve. À partir d’une trajectoire personnelle centrée sur le XIXe siècle et sur les aspects culturels du politique, l’autrice insiste sur la nécessité d’une approche visant à intégrer différentes dimensions et thèmes de l’expérience humaine et conclut par l’exemple d’une trajectoire de recherche sensible aux relations entre politique et culture matérielle.