J’étais vicaire à Notre-Dame de Dole dans les années cinquante. Cette fonction, à cette époque, me mettait en contact permanent avec les mouvements de jeunesse, ceux de l’âge d’or des « patros » et des colonies de vacances. On me demanda d’ailleurs de créer plusieurs de ces « colos » de filles (La Rixouse, les Rivières, les Perrets dans le Jura, mais aussi à l’île d’Yeu pour le diocèse). Mon bon contact avec les jeunes et la confiance de ma hiérarchie me désignèrent pour m’occuper d’une paro...