Fisiognomica e profezia nel pensiero giuridico tra Cinque e Seicento. Alcune considerazioni
- Éditeur(s)
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Date
- 2018-06-22T02:00:00Z
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Notes
- Ma contribution élargit le regard à l’importance politique des « autres » savoirs voués à la connaissance du futur à l’époque de la Contre-Réforme, dans la définition et classification desquels la prophétie joue un rôle important. À la fin du XVIe siècle, en effet, la prophétie devient un élément de comparaison dans la classification des savoirs liés à la prévision des événements futurs et dans la définition de leur licéité ou illicéité. L’élargissement de la notion d’hérésie aux pratiques magiques, au XVIe siècle, va de pair, dans les Index des livres interdits, dans les débats au sein des congrégations romaines ainsi que dans les traités théologico-politiques, avec la condamnation d’une grande partie des arts divinatoires. Néanmoins, certaines de ces pratiques – souvent utilisées dans les tribunaux – sont épargnées. Dans la tentative de réaliser une classification minutieuse, la littérature juridique examinée dans cet article prend pour point de départ la prophétie et montre la nécessité de distinguer cette dernière des autres pratiques divinatoires. Dans ce contexte, parmi les arts divinatoires, la physiognomonie se révèle être une discipline particulièrement intéressante, et cela particulièrement pour l’usage politique et juridique de l’époque.
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Langues
- Italien
- Sujet(s)
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Droits
- info:eu-repo/semantics/openAccess .
- https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/
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