Cet article propose une analyse de l’œuvre L’Usage de la photo de Annie Ernaux et son amant Marc Marie en se concentrant sur la subjectivité du corps blessé et sur l’expérience de la maladie au féminin dans les parties écrites par Annie Ernaux. Nous observerons ainsi comment cette œuvre particulière s’inscrit ou ne s’inscrit pas dans cette approche de l’intime. Notre étude portera dans un premier temps sur la dicibilité du corps, puis sur les manifestations de l’intime.