À travers l’exemple des « agglomérations secondaires » du Limousin médiéval, il s’agit d’évaluer l’apport de la « méthode de la centralité » à la connaissance de l’histoire des petites villes médiévales. C’est ici l’étude fonctionnelle des agglomérations qui est privilégiée. Après avoir examiné la question des héritages antiques dans le réseau d’agglomérations médiéval, l’auteur se penche sur les nouvelles agglomérations liées aux dynamiques de l’époque médiévale.