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De la traduction à la sémiotraduction

dans Presses universitaires de Liège (PULg)


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2017-02-27T01:00:00Z
  • Notes
    • En première partie, Des signes interprétés aux signes interprétatifs, le mécanisme de traduction construit des connexions logiques et non-logiques entre le signe linguistique et l’objet du texte source. Tandis que la traduction saussurienne est une compétence en deux étapes qui transpose du texte source au texte cible, le concept de sémiotraduction complète la stratégie des signes en interne de Saussure avec les signes interprétants en externe de Peirce. Les interprétants garantissent la sémiotraduction du texte source dans le texte cible. Les effets « naturels » de la sémiose agissent en trois étapes étant à la fois de « bonnes » et de « mauvaises » traductions faites par le traducteur. La signature sémiotique du traducteur implique les qualités émotionnelles, énergétiques et logiques du système de signes original et traduit. En deuxième partie, De l’intersémiose à la trans-sémiose, les trois types de traduction de Jakobson : intralinguale, interlinguale et intersémiotique, démontrent que la sémiotraduction génère l’intersémiose de Peirce. La sémiotraduction forme des habitudes centrées sur l’objectif mais sans résultat fixe, aucune méthode fixe, aucune redéfinition fixe et aucun agent fixe. Tout résultat, méthode et agent sont des essais provisoires, tentatives temporaires pour fabriquer des versions de traduction. Peirce et son idée révolutionnaire et sceptique des signes linguistiques inclut signes graphiques, acoustiques, optiques et autres signes non-linguistiques pour créer une sémiose intertextuelle, une intersémiose extralinguistique et une trans-sémiose artistique.
  • Langues
    • Français
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  • Droits
    • info:eu-repo/semantics/openAccess .
    • https://creativecommons.org/licenses/by/4.0/
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