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  • Collection : Poésie (Paris. 1966)
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Résumé : Oeuvre d'un esprit rebelle à l'austérité religieuse des pionniers et réfractaire à une politique injuste, portée par le souffle des grands espaces, l'amour de la nature, la réhabilitation du corps comme espace de beauté et de jouissance, comme lieu de spiritualité.

Résumé : Shakespeare a fait de ses sonnets une réflexion sur la poésie. Ils sont réunis ici avec les Poèmes et, en préface, un essai sur le sens de ces oeuvres et le problème de leur traduction.

Résumé : Propose une cinquantaine de sonnets, ainsi qu'une dizaine de poèmes parmi les plus célèbres de Wordsworth.

Résumé : Poète novateur, Audiberti ne renonce pourtant ni au mètre, ni à la rime, ce qui rend d'autant plus original le bouleversement auquel il soumet son matériau. Le spectre de ses thèmes est extraordinairement ouvert, embrasse toute la tradition, qu'il soumet à une redoutable ironie, mais intègre aussi une galerie de portraits (Hugo, Bismarck, Aragon, Baudelaire, Cocteau...) et quelques paysages.©Electre 2018

Résumé : L'irruption des mots Je ris aux mots, j'aime quand ça démarre, qu'ils s'agglutinent et je les déglutis comme cent cris de grenouilles en frai. Ils sautent et s'appellent, s'éparpillent et m'appellent et se rassemblent et je ne sais si c'est Je qui leur réponds ou eux encore dans un tumulte intraitablement frais qui vient sans doute de mes profondes lèvres, là-bas où l'eau du monde m'a donné vie. Je me vidange quand m'accouchent ces dieux têtards. Je m'allège et m'accrois par ces sons qui dépassent, issus d'un au-delà, presque tout préparés. J'en fais le tour après, enorgueilli, ne me reconnaissant qu'à peine en ce visage qu'ils m'ont fait voir et qui parfois m'effraie, car ce n'est pas moi seul qui par eux me démange. (27 janvier 1948)

Résumé : «André Salmon a toujours affirmé que sa naissance à la poésie date de 1903. Il n'était jusqu'alors qu'un "garçon dont le meilleur de sa prime jeunesse se passe en Russie" d'où il n'était revenu que depuis peu pour accomplir son service militaire. Il était déjà passionné de poésie. "Je fus proposer de mes vers au directeur de la revue La Plume. En une soirée hebdomadaire de cette revue, j'eus la chance de pénétrer le seul milieu où j'ambitionnais de figurer." Accueilli à La Plume et au Mercure de France, il fait la connaissance des symbolistes Francis Vielé-Griffin, Stuart Merrill, et de transfuges de ce mouvement déjà passé comme Jean Moréas et Alfred Jarry, ainsi que Paul Fort auquel le liera une si solide amitié qu'ils ne tarderont pas à fonder ensemble (1905) la revue Vers et Prose. Il admire tous ces gens-là et cela se sentira dans sa poésie ; mais, simultanément, il fait aussi la rencontre plus significative de jeunes gens de son âge, comme Guillaume Apollinaire. C'est aussi en 1903 qu'il se heurte à un inconnu devant l'atelier de Picasso auprès de qui l'a introduit Manolo, en une scène qu'il a plusieurs fois racontée : "– Monsieur Max Jacob? – Monsieur André Salmon? on ne devait plus se quitter..." Voici donc Salmon avec Apollinaire, Jacob, Picasso...» Serge Fauchereau.

Résumé : Recueil de poèmes conçu comme une traversée du monde réel à la recherche des faits les plus ordinaires et des lueurs les plus secrètes, devant l'évidence muette de la femme aimée. ©Electre 2022

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