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Résumé : En s'appuyant sur les catégories élaborées par Thorstein Veblen dans Théorie de la classe de loisir (Gallimard, 1979) -la consommation, le loisir et le gaspillage ostentatoires-, Q. Bell montre l'articulation des structures sociales et de l'évolution du costume, invalidant ainsi diverses autres théories de la mode.

Résumé : Les représentations du pouvoir interviennent non seulement dans la décision d'exercer ou non ce pouvoir dans une situation donnée, mais également dans le choix des stratégies qui seront mobilisées. Dans cette perspective, ce sont les représentations que les différents auteurs se font qui déterminent ces choix.

Résumé : Douze des essais théoriques majeurs, couvrant les années 1961 à 1984, de l'une des figures marquantes de l'anthropologie actuelle, sont regroupés en trois sections : nature humaine et culture, analyse fonctionnelle et religion et mythe.

Résumé : Imaginer que la mort puisse obéir à des lois impliquait un grand progrès conceptuel sur la représentation de la mort qui eut lieu au XVIIe siècle par une voie empirique, avec le développement des emprunts d'Etat et des tontines, en Hollande; et par une voie scientifique, en Angleterre, au moment où on admettait que la mort ressortissait au domaine des probabilités.

Résumé : Le concept d'Homo oeconomicus est central dans la tradition des sciences sociales. Le principe de maximisation de satisfaction qui lui est associé intérroge la notion d'utilité et la rationalité des comportements. Aborde les contributions de Hume, de Smith, de Mill de Menger, de Walras, de Weber ou de Pareto.

Résumé : "les régles de la méthode sociologique" parues en 1895 n'ont pas cessé de stimuler la réflexion des sociologues contemporains leur permettant d'aiguiser leur argumentation et de spécifier leurs concepts.

Résumé : Menée au nom de valeurs puisées dans des codes culturels multiples capables de rendre vie à des "communautés imaginées", l'action collective nationaliste transforme les structures sociales et partisanes, magnifie les mythes comme les langages, réaménage les liens territoriaux et redessine les solidarités ainsi que les frontières du système social.

Résumé : Simmel, dès le début du 20e siècle, donne sens et contenu à la notion de modernité en proposant une sociologie de l'art et de la société dont on montre ici la fécondité et l'actualité.

Résumé : La coopération peut-elle émerger spontanément entre des individus "égoïstes" gouvernés uniquement par la rationalité économique ? Dans la thèse défendue par l'auteur, il convient d'amender la figure de l'homo oeconomicus si l'on tient à faire place à la possibilité de l'émergence de la coopération. L'ouvrage se déroule comme une discussion autour du fameux dilemme du prisonnier.

Résumé : Le projet de ce travail interdisciplinaire est de s'interroger sur l'articulation entre la description ou la modélisation d'une part et la compréhension véritable d'autre part. Ainsi est mise en évidence l'obligation, pour le théoricien, de prendre au sérieux les raisons de l'action dont l'acteur peut prendre conscience.

Résumé : A partir des réflexions de Max Weber sur la sociologie du droit et de la religion, cet essai de sociologie de la connaissance distingue quatre types de connaissances économiques : celle des profanes, celle des marchands et celle des économistes qui se dédouble en rationalisation matérielle et rationalisation formelle de la connaissance économique.

Résumé : Depuis le début des années 80, la commande publique d'architecture a beaucoup évolué. Cette étude s'intéresse tant à ces évolutions qu'à leurs conséquences sur la création architecturale et la profession d'architecte. Sont ainsi explorés les formes d'organisation de la maîtrise d'ouvrage, l'utilisation de l'architecture à des fins de communication, le coûts des projets, etc.

Résumé : Avec la généralisation actuelle du terme de réseau, il est devenu difficile de faire la distinction entre ce qui est réseau et ce qui ne l'est pas. Cette confusion est particulièrement évidente à propos des réseaux sociaux. Pour la dissiper il est utile d'opposer les réseaux sociaux aux organisations constituées ou appareils et d'examiner pour cela des réseaux concrets.

Résumé : Les "classiques" offrent encore des ressources pour la théorie sociologique en train de se faire. Ils restent porteurs d'une réelle fécondité heuristique et constituent ainsi des jalons pour des questions consubstantielles à la discipline, comme la conception et l'analyse de l'action.

Résumé : Ces études sont consacrées aux programmes de recherche dits "forts" et "constructivistes". Ces programmes, véritables orthodoxies en sociologie des sciences, ont en commun de se focaliser sur le processus de la recherche et d'en donner une représentation singulière : relativiste pour le premier, contingentiste pour le second. Cet ouvrage invite à une redéfinition des modalités de cette analyse.

Résumé : Une réflexion vers le rôle mais aussi les limites de l'action instrumentale dans la formation des normes sociales.

Résumé : A la différence des philosophes qui recherchent les critères généraux de la justice, les sociologues constatent habituellement une grande diversité, parfois même un antagonisme, des conceptions de la justice suivant les cultures ou les situations. Dans une optique plus normative, l'analyse proposée est aussi une méthode pour mesurer l'écart entre l'idéal de la justice et ses différentes réalisations sociales - ce qui, d'une certaine façon, rejoint le projet des moralistes classiques.

Résumé : Le réformisme pervers est celui qui subvertit l'institution républicaine des pompiers pour la dissoudre dans une organisation conventionnelle de service public fonctionnarisée, corporatiste, welfairisée selon le terme anglais. Il mine l'engagement des sapeurs-pompiers volontaires et la responsabilité des élus, il assigne les citoyens à des rôles passifs d'usagers consommateurs.

Résumé : Etudie les émotions dans leurs liens avec les changements de croyances et de préférences, dans leur dynamique individuelle et collective, et utilise ces liens pour mieux définir la spécificité d'une rationalité morale, sensible aux contextes et aux situations.

Résumé : Cette enquête conduit à revisiter l'histoire du travail et l'histoire des entreprises, et à construire une théorie originale qui s'appuie sur des comparaisons de longue durée et à divers niveaux (ateliers, entreprises, secteurs industriels, pays). Analyse ensuite "la grande transformation hiérarchique" qui bouleversera travail et entreprises au cours de la seconde révolution industrielle.

Résumé : Présente une étude sociologique sur les normes sociales. Aborde les concepts de valeurs, normes et croyances. Interroge la notion de rationalité des acteurs à travers leurs attitudes. Analyse également les acteurs à travers l'inégalité des chances, les normes culturelles et les normes de la vie économique.

Résumé : S'attache à préciser le sens de la notion de priorité du juste. Quelles sont les raisons pour accorder priorité au juste devant le bien ? Quel principe de justice un acteur cherche-t-il à mettre en oeuvre lorsqu'il accorde la priorité au juste ? Ce principe se ramène à celui d'une justice avec accord unanime sur des règles permettant de surmonter un conflit.

Résumé : Etude sociologique sur la cohésion professionnelle s'appuyant sur l'analyse d'un groupe professionnel spécifique : les cheminots. Analyse des rôles de l'imaginaire professionnel et des représentations sociales au sein des sources, de l'organisation et de la dynamique de cette cohésion.

Résumé : La notion d'adhésion est de plus en plus utilisée pour désigner les processus d'engagement et d'affiliation à divers groupes. "Pourquoi adhère-t-on" et "Comment adhère-t-on" sont deux questions essentielles pour saisir ces processus. Les raisons psychosociologiques du phénomène d'adhésion sont ici repertoriées, à travers l'exemple de l'extrémisme de droite.

Résumé : Dans la lignée d'Emile Durkheim, il s'agit de repérer ce qui fait tenir ensemble les sociétés humaines. A la différence du célèbre sociologue, l'auteur juge que les solidarités sociales sont nombreuses, il s'attache à les dénombrer et à montrer les principes permettant à chacune d'assurer une fonction de cimentage des individus, des groupes et des réseaux en société.

Résumé : L'auteur retrace ici le parcours de la réflexion économique menée pour comprendre les mécanismes de l'évolution dans le domaine de la santé et trouver un remède au problème du déficit de la Sécurité sociale. Il étudie les usages du raisonnement économique dans le domaine de la santé depuis les années 1950 ainsi que l'activité sociale, institutionnelle et politique du travail des économistes.

Résumé : Montre que les pionniers de la sociologie scientifique sont souvent oubliés, notamment dans les analyses et développements intellectuels récents sur les relations internationales. Ces auteurs classiques n'ont pourtant pas négligé les carences organiques de la société internationale, l'ambivalence à l'échelle internationale, la lutte permanente entre Etats et l'évolution du milieu international.

Résumé : L'auteur tente de savoir si l'homme est programmé pour commettre des erreurs, puisque certaines d'entre elles sont récurrentes et même prévisibles. Il présente les recherches les plus récentes et divers exemples démontrant que l'énigme de l'erreur est obsédante pour qui veut comprendre le fonctionnement de notre vie collective car elle a de nombreuses conséquences sociales.

Résumé : L'économiste propose de faire la synthèse des modèles d'homo economicus et d'homo sociologicus, modèles utilisés dans les sciences sociales, pour analyser les modes de résolution de problèmes des individus, le fonctionnement des institutions dans lesquels ils s'inscrivent, mais aussi les règles des marchés financiers.

Résumé : Synthèse sur les différentes approches anthropologiques des systèmes de parenté. Présente les différents modèles théoriques, confronte ces systèmes à des applications concrètes et présente l'oeuvre des fondateurs de l'analyse structurale : M. Granet, C. Lévi-Strauss.

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