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Résumé : Mars 1989, les élections municipales. La ville va enfin trancher les conflits qui la rongent depuis la mort de son ancien maire, Gaston Deferre. Une seule question se pose : qui va lui succéder? «Le premier pari de ce film, écrit Michel Samson, c’était que les hommes politiques de la ville avaient des choses à dire sur la ville et sur leur fonction. Cela impliquait une seule chose, petite et immense : prendre le temps de les écouter. Longuement, patiemment. Au cours de ces séances qu’ils ont parfois dû trouver interminables, car ils sont plus accoutumés à parler vite et mal que lentement et bien, ils ont tous fini par parler. Peut-être parce qu’on ne leur demandait pas de livrer des secrets mais le fond de leur pensée – ou, plus encore, le fond de leur sentiment.» (Michel Samson) «Marseille de père en fils regorge d’histoires d’amitiés indestructibles ou trahies, de fraternités malheureuses, de fils prodigues et d’autres indignes, plutôt que de confrontations idéologiques. Le père est d’ailleurs la figure omniprésente de ce film, sauf que ce n’est pas le même pour tous. Il y a bien sûr, pour la gauche déchirée entre Robert Vigouroux et Michel Pezet, Gaston Deferre qui vient régulièrement d’outre-tombe donner, sourire aux lèvres, une leçon de politique ou de morale. Il y a, pour Jean-Claude Gaudin, le père réel à qui il déclare, dans une belle séquence, sa fidélité perpétuelle...» (Stéphane Bouquet, «Les Cahiers du cinéma» n°521). En contrepoint, des Marseillais qui viennent d’Algérie ou d’Arménie, nous disent comment ils aiment cette ville qui, parfois, le leur rend mal.

Résumé : Législatives 1997 : Jean-Louis Comolli nous entraîne à nouveau dans un récit de campagne, mais cette fois-ci du côté du secret, presque de la conjuration... L’intrigue se noue autour du Front National. «Dans «La Campagne de Provence» (élections régionales, 1992), Jean-Claude Gaudin déclarait - haut et fort - refuser toute alliance avec le Front National. Pendant ce temps, Bruno Mégret constatait que le FN avait déjà remporté la victoire idéologique - et le film montrait combien la campagne de l’ensemble des partis se faisait sur ses thèmes, ses idées, ses mots d’ordre - et de renchérir «la victoire idéologique précède toujours la victoire politique». Cinq années ont passé depuis, Bruno Mégret cette fois est candidat à la députation. La victoire politique du Front National, dans les Bouches-du-Rhône en tous les cas, est une menace qui se concrétise de plus en plus et le jeu de la droite face à cette menace devient de plus en plus nuancé, de plus en plus partagé, de plus en plus dangereux. Alors il y a la campagne officielle - là où les déclarations tonitruantes figurent les assauts contre l’ennemi - et puis, comme en aparté, se joue plus subtilement la question des alliances » (Catherine Bizern) «Décrire pour dénoncer ne suffit plus. Forcer le trait pour dénoncer, non plus. (...) Filmer avec de la profondeur (de champ, de scène)... En relief, mettre en relief. Filmer le tournant politique du FN, c’est à dire travailler patiemment la pâte politique du moment, c’est à dire donner du corps et de la présence à l’ennemi, pour qu’il apparaisse dans sa puissance, tel qu’il est aujourd’hui sur la scène politique – une menace à prendre au sérieux. Ici, l’horreur n’est pas caricaturale. Elle est dans la pensée logique, dans le raisonnement, le calcul, la négociation. L’horreur est dans l’accomplissement de l’alliance la plus méditée. Faiblement encore, la parole politique ose articuler ce qu’elle s’interdisait quelques mois plus tôt.» (J.-L. C., «Trafic» n°24)

Résumé : La caméra de Mariana Otero filme des moments de vie au Courtil, Institut Médico Pédagogique à la frontière franco-belge hors du commun, où depuis 1984, Alexandre Stevens, psychiatre et psychanalyste forme des intervenants et des cliniciens soucieux de la singularité subjective. L'accompagnement des enfants psychotiques se fait au jour le jour selon une éthique qui vise non à contraindre les enfants mais à aider chacun d'eux à trouver une place dans le monde et dans le langage en étant à chaque seconde à l'écoute de ce qui le constitue comme sujet. Cette éthique en action et en propositions essaie pour chacun d'eux de trouver des solutions particulières, singulières qui pourront aider Allysson, Amina, Evanne, Jean-Philippe, Mattéo... à vivre plus apaisés. S'intéressant aux enfants comme aux thérapeutes Mariana Otero, avec ce film qui semble progresser du tâtonnement vers une sorte de lumière, réussit à ouvrir une brèche dans l'énigme vivante qu'est chaque enfant psychotique et par là-même nous aide à comprendre un peu ce qu'est la folie.

Résumé : "Peu de gens le savent, y compris peu de musulmans et enbcore moins de chrétiens, dans le Coran, Jésus et Marie occupent une place éminente. Comment le juif de Galilée, après s'être mué en Christ fondateur du christianisme, est devenu au début du VIIème siècle de notre ère, au coeur de la péninsule arabique, "le messie Jésus, fils de Marie", le Jésus musulman du Coran, l'ultime prophète avant le Prophète Mahomet ? A partir de l'analyse minutieuse de tous les termes de deux versets de la sourate IV du Coran, évoquant à leur manière la crucifixion de Jésus "en apparence", cette série documentaire soulève peu à peu toutes les questions que pose le texte, tant dans ses dimensions théologiques que littéraires et historiques. C'est au carrefour des trois formes du monothéisme, dans la continuité du judaïsme de Moïse et du judéo-christianisme de Jésus, que nous mène cette enquête qui cherche à reconstituer l'émergence de l'islam dans une région païenne, très marquée pourtant par les influences bibliques et la proximité des églises syriaques." Gérard Mordillat, Jérôme Prieur

Résumé : "Peu de gens le savent, y compris peu de musulmans et enbcore moins de chrétiens, dans le Coran, Jésus et Marie occupent une place éminente. Comment le juif de Galilée, après s'être mué en Christ fondateur du christianisme, est devenu au début du VIIème siècle de notre ère, au coeur de la péninsule arabique, "le messie Jésus, fils de Marie", le Jésus musulman du Coran, l'ultime prophète avant le Prophète Mahomet ? A partir de l'analyse minutieuse de tous les termes de deux versets de la sourate IV du Coran, évoquant à leur manière la crucifixion de Jésus "en apparence", cette série documentaire soulève peu à peu toutes les questions que pose le texte, tant dans ses dimensions théologiques que littéraires et historiques. C'est au carrefour des trois formes du monothéisme, dans la continuité du judaïsme de Moïse et du judéo-christianisme de Jésus, que nous mène cette enquête qui cherche à reconstituer l'émergence de l'islam dans une région païenne, très marquée pourtant par les influences bibliques et la proximité des églises syriaques." Gérard Mordillat, Jérôme Prieur

Résumé : "Peu de gens le savent, y compris peu de musulmans et encore moins de chrétiens, dans le Coran, Jésus et Marie occupent une place éminente. Comment le juif de Galilée, après s'être mué en Christ fondateur du christianisme, est devenu au début du VIIème siècle de notre ère, au coeur de la péninsule arabique, "le messie Jésus, fils de Marie", le Jésus musulman du Coran, l'ultime prophète avant le Prophète Mahomet ? A partir de l'analyse minutieuse de tous les termes de deux versets de la sourate IV du Coran, évoquant à leur manière la crucifixion de Jésus "en apparence", cette série documentaire soulève peu à peu toutes les questions que pose le texte, tant dans ses dimensions théologiques que littéraires et historiques. C'est au carrefour des trois formes du monothéisme, dans la continuité du judaïsme de Moïse et du judéo-christianisme de Jésus, que nous mène cette enquête qui cherche à reconstituer l'émergence de l'islam dans une région païenne, très marquée pourtant par les influences bibliques et la proximité des églises syriaques." Gérard Mordillat, Jérôme Prieur

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