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  • Editeur : Les Editions Montparnasse [éd., distrib.]
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Résumé : Tout à la fois histoire de l'Arbre et des arbres et évocation des similitudes et des différences entre l'Arbre et l'Homme, le film est un voyage aux origines et à travers le monde (Madagascar, Namibie, Californie, Europe) à la rencontre poétique des arbres, ces personnages extraordinaires nommés baobab, séquoia, platane mais aussi arbre étrangleur, arbre qui marche, arbre fou...

Résumé : Accompagnement jusqu'au bout de la vie de Michèle par son frère, le réalisateur. Michèle, chercheur, artiste et féministe atteint depuis 10 ans d'un myélome incurable témoigne de son "métier de malade" et de son combat pour une fin de vie dans la dignité.

Résumé : "Troisième industrie mondiale après le pétrole et l'électricité, l'eau est en passe de devenir la première ressource de profits. Sa raréfaction accélérée, les problèmes d'accès sont devenus problématiques : 30 000 personnes meurent chaque jour de n'avoir pas pu bénéficier de l'or bleu. Trois ans d'enquête auprès de scientifiques, d'écologistes et d'entreprises, pour cerner le problème numéro un : la privatisation de l'eau, au profit des géants mondiaux, les français Vivendi et Suez et le britannique Thames Water. On a la gorge sèche lorsqu'on apprend que le Conseil mondial de l'eau, censé arbitrer les conflits entre États, entreprises et citoyens, est dirigé ouvertement par les représentants de Vivendi, Suez ou Veolia..." (Grégory Marin, lhumanite.fr, 18 novembre 2008). Pour son enquête, la réalisatrice a sillonné le monde des Etats Unis à l’Afrique du Sud en passant par le Rajasthan et la Bolivie,

Résumé : Boris Cyrulnik est en France le théoricien de la résilience. Selon lui : "dans le champ de la santé mentale toutes les théories sont des illusions mais des illusions nécessaires car elles donnent une cohérence à la démarche du thérapeute et une sécurité au patient." De plus il souligne une certaine porosité actuelle dans les pratiques des thérapeutes qui peuvent proposer une psychothérapie comportementale et la psychanalyse. Les patients eux-mêmes peuvent au cours de leur vie avoir recours successivement à ces deux types d'approche de leurs symptômes.

Résumé : Christophe André est psychiatre à l'Hopital Sainte-Anne à Paris et psychothérapeute. Son travail s'inscrit dans la mouvance des TCC (Thérapies comportementales et cognitives). Selon lui, "on peut distinguer la psychiatrie et la psychothérapie en comparant les médicaments à la bouée de sauvetage qui permet de ne pas se noyer et la psychothérapie aux leçons de natation qui permettent de nager". Christophe André se considère avant tout comme un soignant et pense que la psychothérapie est un soin qui doit être évalué. Les TCC exigent des exercices pratiques ce qui les rapprochent de la philosophie stoïcienne. Elles sont particulièrement efficaces dans le cas des phobies. Par ailleurs Christophe André préconise la méditation de pleine conscience (attitude héritée des sagesses orientales) qui crée un état mental armant le patient contre le stress et la dépression.

Résumé : Ingénieur des Arts et Métiers, Gonzague Masquelier s'est d'abord orienté vers la relation d'aide avec les toxicomanes en Afrique. Puis ce fut la rencontre avec la Gestalt créée par un psychiatre- psychanalyste de formation, Fritz Perls, psychothérapie qui vise à la résolution des troubles émotionnels et comportementaux par un travail sur les processus psychologiques et corporels de l'individu. Pour ce faire le thérapeute met en scène le symptôme du patient-client dans le but de lui faire découvrir, expérimenter et intégrer de nouvelles façons de jouer et de vivres ses difficultés. La Gestalt est une approche humaniste qui vise entre autres à une capacité d'adaptation augmentée du patient et l'envisage dans sa globalité. Gonzague Masquelier est le directeur de l'Ecole Parisienne de Gestalt (EPG) où se déroule la formation des gestalt thérapeutes.

Résumé : Addictologue, Docteur en Neurosciences, psychiatre, Alain Dervaux est praticien hospitalier dans le service d'addictologie de l'Hôpital Sainte-Anne à Paris. "A l'origine considérées comme une faiblesse morale, les addictions sont maintenant considérées comme des maladies d'évolution chronique, caractérisées notamment par la fréquence des rechutes." En addictologie où les polyaddictions ou le passage d'une addiction à l'autre sont courants une approche globale étape par étape est nécessaire ; elle inclut les approches pharmacologiques, psychothérapeutiques, les comorbidités addictologiques et psychiatriques et l'accompagnement social. Tandis que les approches cognitivo-comportementales vont mettre en place les stratégies du changement de comportement, de la gestion du craving, de la prévention des rechutes en en identifiant les signes avant-coureurs, les approches psychodynamiques d'inspiration psychanalytique permettent, elles, de questionner le rapport à l'autre, à la loi, au désir, au plaisir, à la temporalité, à l'estime de soi. Le recours aux thérapies familiales systémiques est aussi possible car il permet d'aborder la complexité des problématiques familiales.

Résumé : Praticien renommé de la thérapie familiale et de la thérapie de couple, Serge Hefez, responsable de l'unité de thérapie familiale à la Pitié-salpêtrière, est aussi psychiatre et psychanalyste. Il a vaincu les conflits entre psychanalyse et thérapie familiale. Cette dernière réunit et confronte le groupe familial. L'amélioration de l'état du porteur du symptôme est corrélé au changement de chacun dans le groupe.

Résumé : Dans les années 60 Philippe Grauer s'est impliqué dans l'introduction en France de psychosociologie et de la psychologie humaniste américaine (Carl Rogers). Il suit les enseignements structuralistes de Barthes et Greimas, introduit Le Mouvement du potentiel humain, propage la psychologie humaniste, achève une psychanalyse en 1992, devient psychanalyste indépendant. Il participe à l'établissement de la profession de psychothérapeute, crée en 1985 le CIFPR (Centre Interdisciplinaire de Formation à la Psychothérapie Relationnelle. il définit la multiréférentialité "comme la prise en compte de la diversité des modèles et disciplines en sciences humaines cliniques, comme l'art d'articuler des systèmes en respectant leurs aspects contradictoires dont aucun n'acquiert por autant ni le statut de tiers eclu, ni de terme hégémonique.... Ma psychopratique, autrement dit ma clinique, consiste à me laisser surprendre par ce qui dans l'entre-deux relationnel psychothérapique survient ou surgit, souvent furtivement, en moi, à le saisir et remettre dans le commerce, le commerce des hommes comme on disait au XVIIIème siècle, à le faire tenir tenir dans le circuit dialogual en cours, afin de tâcher ensemble de voir en quoi et comment cela peut éclairer la situation et alimenter le processus de subjectivation...Mes valeurs se situent du côté de l'humanisme, d'un éco-humanisme respectueux de la nature, du respect de la diversité des écoles et doctrines, dont aucune ne sombrerait dans l'arrogance ou le désir d'hégémonie. Mes valeurs résident dans l'exigence de formations variées, critiques, longues et rigoureuses, et de références aux organismes historiquement repérables capables de cautionner de façon responsable la pratique de la psychothérapie relationnelle." (Philippe Grauer)

Résumé : Elève de Tobie Nathan puis Professeure de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à l'Université Paris Descartes, Marie-Rose Moro est psychanalyste et présidente de l'Association Internationale d'EtnoPsychanalyse (AIEP). "C'est pour, une nouvelle fois, réconcilier deux passions, celle de la psychanalyse et celle de l'anthropologie que j'ai cherché et trouvé sur mon chemin la perspective transculturelle à laquelle je me suis formée en particulier auprès de Nathan. Dans les années 1980, il était le représantant de l'etnopsychanalyse en France. C'est ainsi que je suis devenue pédopsychiatre et psychothérapeute d'enfants et d'adolescents et que j'ai créé à l'hôpital Avicenne une première consultation transculturelle pour les enfants de migrants et leurs parentsben adaptant le dispositif transculturel pour la seconde génération et en soulignant, l'importance, pour les enfants de migrants, de la langue maternelle et des stratégies de métissages....Je m'occupe maintenant de la maison de Solenn, Maison des adolescents de l'hôpital Cochin à Paris depuis 2008 où j'ai crée une nouvelle consultation transculturelle pour les enfants de migrants et une consultation transculturelle pour les enfants de l'adoption internationale." (M.-R. Moro). Très engagée dans la formation à la psychothérapie des jeunes médecins et des psychologues, M.-R. Moro a créé en 1998 le premier diplôme universitaire de psychiatrie transculturelle à la Faculté de médecine de Bobigny.

Résumé : Psychanalyste, psychologue clinicien, Dario Morales travaille au Centre hospitalier Saint-Anne à Paris. Clinicien engagé dans la société il a mis en place une pratique de psychothérapies auprès de détenus de Maisons d'Arrêt. "La clinique en prison est plus riche qu'à l'hôpital psychiatrique car du fait de la problématique du passage à l'acte, on n'y rencontre pas uniquement des psychotiques mais une population assez hétéroclite composée de tous les sujets ayant eu des difficultés avec la société. Certains ont commis des délits, d'autres des crimes. La justice ne s'interesse qu'aux faits mais les sujets ne viennent pas en psychothérapie pour relater des faits. Ils attendent que le psychothérapeute s'intéresse à eux et ils cherchent à lui confier la part de vérité qui est en eux. La prison est un lieu presque expérimental où le sujet est séparé de la réalité sociale et où il peut admettre une certaine castration qui peut faire advenir une parole libérée de la pulsion. La prison n'est pas non plus le lieu où l'on peut considérer qu'on met un terme à un travail psychothérapeutique. Un travail ne peut se terminer que là où le sujet est confronté au réel du social. En prison on ne fait que démarrer un travail." (Dario Morales)

Résumé : Aymeric a trois ans et demi lorsque ses parents, Lydie et Marc, apprennet qu'il est atteint d'autisme sévère. On dit à Lydie et à Marc qu'il faut faire le deuil de leur enfant, qu'Aymeric ne parlera jamais, n'ira pas à l'école et ne vivra pas parmi les autres. Malgré ce terrible diagnostic Lydie et Marc luttent, s'informent et se forment aux thérapies comportementales importées des Etats-Unis et du Canada, comme le PECS, le TEACCH, l'ABA. Ils filment leur enfant. Huit ans d'archives, soit une matière exceptionnelle, nous permettent de suivre les progrès et les apprentissages d'Aymeric qui à dix ans, parle, écrit, est scolarisé en CM1 dans une école ordinaire. L'espoir est là, dans tout ce travail accompli au long des années malgré les difficultés. Le film s'attache à montrer que l'autisme qui toucherait un enfant sur 150 n'est pas une maladie mais un handicap dont on ne guérit pas. Par ailleurs la France est très en retard en ce qui concerne les thérapies comportementales sur lesquelles reposent les apprentissages qui améliorent la qualité de vie des autistes et peuvent réduire leurs troubles du comportement. Le parcours d'Aymeric est exemplaire. Pour décrire à la fois les difficultés et les raisons d'espérer, pédopsychiatres, psychologues, parents d'enfant et d'adulte autistes témoignent..

Résumé : "Encadrés par des comédiens et des musiciens, les pensionnaires de La Borde préparent une représentation d' " Opérette" de Gombrowicz. Sans commentaire, tout en délicatesse, Nicolas Philibert filme cette institution "pas comme les autres", célèbre pour le travail de recherche psychothérapeutique qu'y ont initié le médecin Jean Oury et le philosophe Felix Guattari. C'est l'été, on répète une pièce de théâtre dans le parc du château, il règne une douce ambiance bucolique. Pourtant, le réalisateur n'escamote rien de la souffrance psychique qui assaille par moments les patients, ni ne dissimule les médicaments distribués chaque jour dans des coupelles. On s'attache à Claude, courbé, qui se tient la tête, à Sophie qui dessine, à Michel qui, avec intelligence et humour, nous accuse de l'avoir rendu fou - "soigné ? C'est la moindre des choses ! " Entre la première et la dernière image, notre regard sur la maladie a changé, nous avons sauté avec douceur dans cet "entre nous" du lieu. Et le travail de chacun nous est devenu si familier que nous applaudissons avec le public les scènes finales de la représentation". M.G / Marie-Christine Balcon. cop. Images de la culture Copyrights & Crédits

Résumé : Et si un astéroïde se dirigeait droit sur la Terre ? Question des plus angoissantes... Au-delà ce scénario-catastrophe, les météorites, astéroïdes et comètes sont interrogés par les scientifiques dans leur rapport à l'origine de la Terre et de la Lune. Et si, dans le futur, les astéroïdes se révèlaient une nouvelle source d'énergie et de minerai pour l'Homme ?.

Résumé : Nénette, orang-outan née dans les forêts de Bornéo en 1969, réside depuis le 16 juin 1972 à la Ménagerie du Jardin des Plantes à Paris. Nénette a donc plus de quarante ans. En liberté, elle n'aurait jamais atteint cet âge vénérable. Mère de jumeaux elle partage sa vie de membre d'une espèce protégée, de "rareté", à la fois pensionnaire, "rentière velue, impératrice du rien faire et du désoeuvrement " avec son fils Tübo. Elle passe cette existence de captivité derrière l'épaisseur d'une vitre et la regardant dans la "singerie" on arrête pas de penser à ce qu'elle pourrait penser. " C'est un film sur le regard, la représentation. Une métaphore du cinéma, du documentaire, en particulier, comme captation et comme capture. Puisque filmer l'autre c'est toujours l'emprisonner, l'enfermer dans un cadre ; le figer, à un moment donné. Derrière sa vitre, Nénette est un miroir. Une surface de projection. Une confidente idéale. Elle garde tous les secrets. " (Nicolas Philibert)

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