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Résumé : ""Annonces" esquisse le portrait de sept femmes qui composent sur un même thème. Elles prennent pour point de départ les récits des annonces faites à Hagar, Sarah et Marie, que rapportent l’Ancien Testament, le Nouveau Testament et le Coran. Ces sept femmes — chacune avec ses clefs de lecture : mythologie, histoire de l’art, poésie, psychanalyse, théologie — nous ouvrent la compréhension de ces récits… Ainsi, y mêlant leur propre histoire, leurs mythes personnels, elles en arrivent à évoquer des sujets tels que la naissance de l’image dans le monde chrétien ou celle du poème dans la Grèce antique. "Annonces" est un film sur le mouvement de la pensée, le pouvoir des mots, le secret de la voix, la séduction de l’image. " (Source editeur)

Résumé : "Nurith Aviv tisse des liens entre récits biographiques et récits sur le biologique. A partir de photographies issues de ses archives personnelles, des souvenirs et des réflexions que ces images éveillent en elle, la cinéaste va à la rencontre de chercheurs en neurosciences pour évoquer avec eux des sujets tels que la mémoire, les neurones miroirs, le bilinguisme, la lecture, l’odeur, ou encore les traces de l’expérience. " (Source Editeur)

Résumé : Beghin-Say fut un empire sucrier, Les banquiers de Dieu en dresse le portrait. Paul Malle, descendant de Louis, signe une oeuvre de mémoire à la fois industrielle et familiale.

Résumé : Aux portes d’Israël, dans le désert du Néguev, des migrants africains attendent un improbable visa pour la terre promise.

Résumé : Quatre amis, membres du parti communiste libanais dans les années 1980, s'étaient engagés dans la résistance contre l'ocupation israélienne et dans la guerre civile. Ils aspiraient, à l'époque, à créer une société non confessionnelle, démocratique, égalitaire et solidaire de la cause palestinienne...Aujourd"hui, ils retrouvent les traces de leur histoire et reviennent sur leur désenchantement : la guerre civile s'est achevée par la reprise en main des forces traditionnelles des pouvoirs politiques, économiques et sociaux. L'espace public est occupé par le confessionnalisme et dominé par la méfiance et la peur de l'Autre. Se créer une marge en dehors des logiques, mobilisation et propagande confessionnelles est une tâche quasi insurmontable.

Résumé : "Langue sacrée, langue parlée" est le prolongement d'une réflexion sur la langue que, déjà, Nurith Aviv avait placée au centre de son précédent film : "D'une langue à l'autre" (2004), où neuf personnes - écrivains, poètes, musiciens - analysaient la relation conflictuelle entre la langue de leurs parents, langue de l'enfance, et l'hébreu, langue nationale. "Langue sacrée, langue parlée" est conçu selon la même structure, alternant entretiens et longs travellings en train (le prologue même est composé des images enregistrées en 1897 par Alexandre Promio de la ligne de chemin de fer Jérusalem-Jaffa). Treize personnes cette fois, natives d'Israël, aussi judicieusement choisies que magnifiquement cadrées, vont livrer, tour à tour, le témoignage passionnant de leur relation personnelle à l'hébreu, qui, pendant des siècles, fut langue sacrée pour les juifs de la diaspora, et qui, par volonté politique, est devenu, au XXème siècle, une langue parlée au quotidien. Avec : Haïm Gouri, poète, écrivain, journaliste et réalisateur; Michal Govrin, écrivain, poétesse et metteur en scène de théâtre; Victoria Hanna, chanteuse associant musique et théâtre; Ronit Matalon, écrivain, professeur de Lettres; Roy Greenwald, poète et traducteur; Etgar Keret, romancier, auteur de bandes dessinées et réalisateur ("Les Méduses", 2007); Yitzhak Laor, poète, écrivain, dramaturge et critique littéraire; Shimon Adaf, poète, écrivain et musicien; Haviva Pedaya, essayiste, chercheur et poétesse; Yehuda Ovadya Fetaya, chantre de la synagogue Min'hat Yehouda à Jérusalem; Zali Gurevitch, poète, traducteur et chercheur; Michal Naaman, artiste plasticienne et Orly Castel-Bloom, écrivain.

Résumé : La réalisatrice s'inspire de "Mrs Dalloway", roman de la folie et du suicide, pour tenter de cerner la personnalité de Virginia Woolf. Les premières photographies qui apparaissent à l'écran sont des photographies de famille prises par Julia Margaret Cameron, grand-tante de Virginia Woolf. Angelica Garnett, sa nièce, les commentera en évoquant des souvenirs. Le film témoigne de l'impossible émancipation de Virginia Woolf à cette époque et dans cette famille, de sa lutte contre la folie, de son engagement pour l'émancipation des femmes et de la création avec Léonard Woolf de la Hogarth Press, qui deviendra l'une des plus grandes maisons d'édition anglaise. La voix de Virginia Woolf, extraite d'une conférence enregistrée à la BBC en avril 1937, clôt ce portait. Ouvrages cités : "Mrs Dalloway", "Instants de vie", "Les Vagues", "Entre les actes", "La Mort de la Phalène", "La Traversée des apparences", "Une chambre à soi", ainsi que les "Journaux" et la "Correspondance".

Résumé : Dans l'immense ville de Chongqing, le dernier des vieux quartiers est sur le point d'être démoli et ses habitants relogés. le cinéaste se lie d'amitié avec le petit Zhou Hong et madame Xue Lian, derniers témoins d'un monde bientôt disparu.

Résumé : A travers les témoignages d'anciens membres du Parti communiste français, exclus ou démissionnaires, Mosco trace une histoire du "Parti". Il s'agit pour le réalisateur "d'une mise en images du stalinisme au quotidien", visant à montrer "comment il fut vécu ou subi par des militants qui sont parfois des personnnages hors pair"..

Résumé : Richard Dindo voulait depuis longtemps réaliser un film biographique sur Kafka, qui soit la description de son existence à partir de ses écrits biographiques. « [Le cinéma documentaire] doit trouver des mots et des phrases pour parler de ce qui n’existe plus, de ce qui n’est plus visible, de ce qu’il faut pouvoir s’imaginer. » Puisqu’il n’existe plus de témoins de sa vie, le réalisateur a choisi des comédiens et des comédiennes qui jouent le rôle des personnes qui ont le mieux connu Kafka. Ils « parlent à la place des morts, avec des phrases que ceux-ci ont jadis écrites sur leur relation à Kafka ». Ces « monologues intérieurs » évitent tout commentaire. Richard Dindo a ainsi mis en scène notamment Max Brod, le meilleur ami de Kafka et son éditeur ; il a publié une biographie de Kafka en 1937 ; Milena Jesenskà, qui a écrit plusieurs lettres à Brod pour lui décrire sa relation avec Kafka ; Gustav Janouch, fils d’un collègue de travail de Kafka, qui l’a rencontré en 1920 et a publié ses conversations avec lui ; Dora Diamant, la seule femme avec laquelle Kafka a réellement vécu et qui a écrit une lettre à Max Brod après la mort de Kafka. En contrepoint de ces monologues, Sami Frey lit admirablement des extraits des" Lettres à Milena", des Lettres à Felice Bauer, de la "Lettre au père" et des Journaux de Kafka. A l’image, des photos et des films d’archives et de nombreuses vues de Prague aujourd’hui. « Il n’est peut-être pas essentiel pour lire un écrivain de connaître sa vie, mais plus on la connaît, plus la lecture de ses livres devient passionnante et lumineuse et mieux nous les comprenons. Je voudrais que le spectateur après ce film sache un peu mieux qui a été Kafka, quelle a été sa vérité intime et ce qu’il nous apprend aujourd’hui. Et que le spectateur comprenne un peu mieux ce qui se cache derrière l’écriture comme travail, comme souffrance, comme insomnie, comme solitude. » (R. Dindo)

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