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Résumé : Le flûtiste Pierre-Yves Artaud fait répéter à ses élèves "Syrinx", de Claude Debussy, "Synchronie" et "Maya", de Yoshihisa Taïra, "Cassandra's dream song", de Brian Ferneyhough. Il joue enfin "Unity Capsule", autre oeuvre de Ferneyhough.

Résumé : La carrière menée par Svjatoslav Richter, l'impact qu'il a eu sur le public aussi bien que sur ses collègues sont irréductibles à tout modèle classique. Durant son enfance à Odessa il apprend seul la musique. il débarque à Moscou en 1937, dans la classe de Heinrich Neuhaus, l'un des pianistes les plus réputés de l'époque. Refusant de se plier à la discipline collective, Richter est à trois reprises chassé du conservatoire mais à chaque fois réadmis. Prokofiev le remarque et lui demande de jouer sous sa direction son cinquième concerto... A partir de cette date, Richter sillonne l'Union Soviétique, étoffant progressivement son répertoire. Pour des raisons peu claires, il n'est pas autorisé à se rendre à l'extérieur du bloc socialiste. En 1961, il se rend enfin à l'Ouest avec une série de huit récitals à Carnegie Hall, ses concerts font sur le monde musical l'effet d'un tremblement de terre. Il crée un festival en France en 1964, puis un autre à Moscou, mais disparaît aussi parfois pendant des mois. Depuis le début des années 80, il ne se produit plus qu'avec partition sur le pupitre dans des salles à peu près obscures. A près de soixante-quinze ans, il quitte Moscou en voiture au mois de juillet, pour n'y revenir que six mois plus tard. Entre-temps, il aura couvert le trajet jusqu'à Vladivostok et retour et donné cent cinquante concerts dans les villes et bourgades les plus reculées de la Sibérie.

Résumé : "Initialement, nous avons pensé à trois épisodes. Après reflexion, nous décidâmes finalement de le structurer en quatre parties, dont l'une serait traitée à la manière d'un film de fiction plutôt que d'un documentaire. En d'autres termes, ce n'était pas tant la réalité brute que sa reconstruction qui nous intéressait. Pour le deuxième épisode, celui qui consistait à mettre en scène une séance d'enregistrement, nous allâmes même jusqu'à prévoir quelle fausse note Glenn devrait s'appliquer à faire dans la Bourrée de la première Suite anglaise de Bach, de façon à rendre plausible la séquence (...). En revanche, et contrairement à ce qui a été écrit ici ou là, nos dialogues seraient improvisés et totalement spontanés, tout en suivant une trame dramatique parfaitement précise." Bruno Monsaingeon

Résumé : Dans un long entretien avec Lord Harewood, Maria Callas évoque différents moments importants de la carrière d'une chanteuse : la formation de la voix, le rôle du chef d'orchestre, le passage à la scène. Dans la deuxième partie, elle analyse certains rôles qui lui ont valu la célébrité comme Médée, Norma ou Violette.

Résumé : Michel Chapuis est un grand interpète, mais aussi un excellent improvisateur qui connaît toutes les subtilités du jeu des XVII et XVIIIèmes siècles. Dans ce film il joue sur deux instruments fabriqués par la famille Cliquot en 1710 et 1783. Ces moments musicaux sont entrecoupés d'entretiens avec Pierre Dubois ; M. Chapuis y explique avec simplicité les principes de l'esthétique classique : les notes inégales, l'ornementation , l'expression, etc.

Résumé : Pierre Boulez enseigne la direction d'orchestre à plusieurs élèves en leur montrant les correspondances exactes entre le geste et le son. Les cours portent sur ses oeuvres interprétées par l'Ensemble Intercontemporain et l'orchestre symphonique de la BBC avec Jessye Norman en soliste (extraits de la 10ème symphonie de Mahler et des "Sieben Früelieder" de Berg).

Résumé : Après avoir étudié le violon et le piano, Philippe Jaroussky a opté pour le chant : ce contre-ténor habituellement dévolu au répertoire baroque, nous offre ici une très belle approche de la mélodie française : mi-récital, mi-leçon de chant. Son professeur Nicole Fallien l'aide à retrouver, par un travail de grande rigueur, le naturel de la parole ou d'interprètes tels que Jacques Brel ou Maria Callas. Pour la partie récital, Jérôme Ducros accompagne au piano un choix de mélodies françaises : "A Chloris", Théophile de Viau/Reynaldo Hahn, "D'une prison", Paul Verlaine/Reynaldo Hahn, "Mandoline", Paul Verlaine/Gabriel Fauré, "Fêtes Galantes", Paul Verlaine/Reynaldo Hahn, "L'Heure exquise", Paul Verlaine/Reynaldo Hahn, "Colloque sentimental", Paul Verlaine/Claude Debussy. Leçon de chant et récital alternent, pour brosser le portrait d'un jeune chanteur talentueux habité par la passion de son métier.

Résumé : "L'orgue est un personnage, jamais un accompagnateur". Thierry Escaich, compositeur et organiste (titulaire de l'orgue de Saint-Etienne du Mont à Paris), présente son oeuvre, son itinéraire et son univers d'inspiration "au miroir" des compositions de Bach. Un jeu de portraits qui éclaire les liens du répertoire classique au mouvement de la création contemporaine. Le film le suit au travail, chez lui, en cours au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, en répétition et en concert. La seconde partie du film est consacrée aux répétitions d'une de ses oeuvres par l'ensemble vocal Sequenza 93.

Résumé : Au départ, en 1975, il s’agissait d'occuper les jeunes Vénézuéliens après l’école, principalement ceux des classes les plus pauvres. L'économiste, musicien (et plus tard ministre de la culture) José Antonio Abreu a alors proposé la création d’un réseau de plusieurs centaines d'orchestres d’enfants et de jeunes à travers tout le pays. Après une formation musicale de quelques mois, un instrument est prêté au jeune musicien, qui après quelques heures de cours, intègre l' orchestre de son quartier. Au bout de quelque temps, le jeune passe à un autre orchestre d’un niveau supérieur. La pyramide étant extrêmement large à la base (250 000 jeunes) la pointe est d’un niveau exceptionnel et cette pointe est le Simón Bolívar Youth Orchestra of Venezuela. Ainsi, le projet social est aussi devenu un projet artistique. Le documentaire de Enrique Sánchez Lansh retrace l’histoire de cette magnifique expérience, il se promène au sein de plusieurs orchestres et s'attache à quelques figures de musiciens et tout particulièrement à celle de Gustavo Dudamel (le tout jeune chef du Simón Bolívar Youth Orchestra, issu lui-même de cette formation). Le film se déroule lors de la préparation d'un concert à Bonn, au programme la troisième symphonie de Beethoven.

Résumé : Filmée selon son souhait dans les ateliers de fabrication des Pianos Fazioli à Sacile en Italie, Angela Hewitt explique dans sa langue – exemples musicaux à l’appui – sa conception des œuvres de Bach ainsi que ses raisons et la façon de les jouer sur un piano moderne, passant même du piano au clavecin pour montrer les différences interprétatives. Le film est découpé en chapitres : le phrasé, le son, l'articulation, le doigté, la main gauche, l'utilisation des pédales, le tempo, la dynamique, les altérations rythmiques, le rubato, la danse...Puis à partir d'exemples tirés du "Clavier bien tempéré", Angela Hewitt nous donne des méthodes de travail et de choix d'interprétation. Particulièrement recommandé aux pianistes, ce film permet également aux mélomanes d'écouter Bach autrement.

Résumé : Herbert von Karajan la qualifiait de "plus grande Carmen du vingtième siècle". Teresa Berganza est une grande spécialiste de la partition, du livret et de son interpétation.

Résumé : La phrase qui donne son titre à ce documentaire copieux reprend la déclaration du maestro à un chef apprenti: l'orchestre ne peut pas démarrer sans toi: c'est toi qui donne l'impulsion... En 1988, Valery Gergiev est nommé directeur artistique et directeur général au Théâtre Mariinsky de Saint-Petersbourg (l'ex Kirov de Leningrad). Le film raconte ce lien indéfectible entre le maestro bouillonnant, travailleur forcené et l'ensemble du personnel de cette vénérable institution. En 22 ans, Gergiev a fait du Mariinsky le phare culturel de la Russie. Le documentaire nous fait partager son quotidien, de chef d'orchestre mais aussi d'organisateur, d'administrateur. Gergiev raconte ses origines, ses passions musicales et ses admirations (Leonard Bernstein, en particulier). Gergiev porte la musique, la transmet avec une énergie et une exigence peu communes.

Résumé : A la Villa Medicis, le claveciniste Scott Ross fait travailler à deux élèves des oeuvres de J.-S. Bach et de F. Couperin. Il interprète lui-même une pièce de Rameau.

Résumé : Le baryton José Van Dam n'aborde jamais un rôle sans en étudier l'aspect littéraire et historique, afin d'en percer, donc d'en rendre, toute la profondeur psychologique. Il dirige lors de cette séance deux chanteurs professionnels: Jean-Louis Soumagnas dans le rôle de Philippe II ("Don Carlos", de Verdi) et Vincent Le Texier dans celui de Golaud ("Pelléas et Mélisande", de Debussy). Il interprète aussi, seul, le rôle du prophète Jochanaan de "Salomé" (Richard Strauss).

Résumé : Le violoncelliste hollandais Anner Bylsma travaille avec quelques-uns de ses élèves les 1ère et 5ème suites pour violoncelle seul de Bach, le duo pour deux violoncelles de Gabrielli et "Votre Faust", de Pousseur.

Résumé : René Jacobs, dont la maîtrise vocale et la parfaite connaissance des styles baroques en font à la fois un interprète et un professeur recherché. Ici, il travaille avec ses élèves : G.F. Haendel : "aria Alla sua gabia d'oro" ; "aria de l'opéra Alessandro" ; "cantate Mi palpita il cor".

Résumé : Marek Janowski fait travailler la symphonie Jupiter, de Mozart, et l'ouverture d'Egmont, de Beethoven, à un jeune chef d'orchestre, Olivier Dejours. Cette rencontre filmée permet de découvrir les difficultés et la technique de direction d'orchestre, si secrète pour le public, si subtile. La leçon a été filmée en deux temps, face à l'orchestre et au piano, dans lestudio 103 de Radio France. Le maître et l'élève ont des échanges de vue particulièrement vifs, montrant la musique en train de se faire, émanant des gestes les plus efficaces pour conduire l'orchestre. Marek Janowski est, comme à l'accoutumée, rigoureux, vigilant et charismatique.

Résumé : Le pianiste Nikita Magaloff enseigne à trois de ses élèves Chopin, Schubert, Schumann. Il évoque ses souvenirs de Prokofiev, Bartok et Stravinsky. Il joue l'impromptu D 899 n°2 de Schubert, le "Tango" de Stravinsky, la "Barcarolle" de Chopin.

Résumé : “La répétition d’une œuvre musicale constitue une sorte de drame dont le sujet est le passage difficile du plan de l’écriture à celui de l'exécution. Le public, guidé par la présence, les explications et les exigences du chef d’orchestre et parfois du compositeur, participe lui-même à cette construction de la musique.” Pierre Schaeffer a constitué au sein de l’ORTF un véritable laboratoire d’innovations : le service de la recherche. Soucieux d’expérimenter de nouvelles relations au public, il a produit de 1965 à 1968 une série de portraits de grands musiciens. Proposées par le réalisateur Gérard Patris et par le musicien Luc Ferrari, ces émissions associent directement le public à l’audition musicale et lui permettent de mieux pénétrer le langage des œuvres. Programme du DVD 1: Hermann Scherchen dirige « L’Art de la Fugue » de J.S. Bach (1967). Parallèlement, son épouse évoque son souvenir devant ses enfants (Scherchen disparaît peu de temps après le tournage). Edgar Varese est mort quelques jours avant le filmage de la répétition d’une de ses œuvres. Un hommage particulier lui est rendu par les témoignages de Ferdinand Ouellette, Iannis Xenakis, Olivier Messiaen, Hermann Scherchen, André Jolivet, Pierre Schaeffer, Pierre Boulez et Marcel Duchamp. Deux de ses oeuvres sont interprétées : "Ionisation", dirigée par Konstantin Simonovic et «Déserts» par Bruno Maderna. Programme du DVD 2 : Olivier Messiaen dirige "Et Expecto Resurrectionem Mortuorum" (1965), Karlheinz Stockhausen "Momente" (1965). Le dernier titre est une rencontre en 1966 avec Cecil Taylor, l’un des créateurs du free jazz. Avec quelques autres musiciens : le bassiste Ron Silva, le saxophoniste Jimmy Lyons et le batteur Andrew Cyrille, ils improvisent une recherche de thèmes et de variations.

Résumé : "Mon désir de réaliser ce film trouve son origine et son élan initial dans une image – qui deviendra la toute première, une image donc qui donne à voir et entendre un étrange attelage composé du percussionniste sénégalais Adama Dramé, des Percussions de Strasbourg et des Percussions de Treffort. Cette scène suscita en moi le désir de savoir de quoi, de quel travail elle résultait. Et c’est sans doute le véritable sujet du film que de tenter de répondre à cette question : qu’est-ce qui à rendu possible un "faire la musique" d’une telle intensité, d’une telle force." ( Alain Fabbiani)Les Percussions de Treffort ont été fondées en 1979 par Alain Goudard, suite à une sortie de l'ESAT à un concert des Percussions de Strasbourg.Le film retrace, à partir d’entretiens et d’images de spectacles, l'histoire de cette formation. Le sujet n'est pas le handicap, mais les enjeux de la création collective : apprendre à s'écouter, à écouter les autres, à jouer ensemble, trouver la bonne forme musicale, la place du corps, de la représentation... Sont ainsi abordées, en toute simplicité, les questions les plus essentielles et les plus délicates de toute interprétation musicale.

Résumé : En 1975, Benoît Jacquot réalise un entretien filmé avec le contre ténor Alfred Deller. À une série de questions formulées en voix off, Alfred Deller rappelle quelques éléments de sa biographie : de ses débuts comme chanteur de chœur, sa capacité à chanter encore soprano à seize ans,à la fondation du Deller Consort en 1950, cet « ensemble de musique de chambre vocale » qu'il voulait aussi discipliné qu'un quatuor à cordes. Des extraits de récital, en solo, assis à côté du luthiste Robert Spencer, ou de répétition en groupe, comme des réflexions sur la justesse de la musique de Purcell (« Il ne place jamais de faux accent sur les mots alors que Haendel les multiplie ») complètent cette rencontre captée à une époque où le timbre de contre-ténor pouvait encore surprendre.

Résumé : Les vedettes de ce documentaire ne sont pas les pianistes qui répètent leurs prochains concerts. Mais Stefan Knüpfer, une des chevilles ouvrières du Konzerthaus de Vienne, et le collaborateur privilégié des plus grands, qui participe à leur côté à la quête du « son parfait ». On suit, par exemple, avec passion la saga de la préparation de l’enregistrement de « l’art de la Fugue » de Bach par Pierre-Laurent Aimard. Celui-ci a choisi le piano n°109, mais il devra en trouver un autre et faire encore d’autres choix déchirants avant le jour J de l’enregistrement.« Depuis que nous réalisons des films, nous connaissons le travail continu qu'exige un tel projet et l'influence de ce travail sur nous-mêmes et nos vies. Cela nous a permis de comprendre mieux la relation spéciale qu'ont Stefan Knüpfer et les pianistes à leur profession voire vocation. Notre estime pour ces personnes'surdimensionnelles' est devenue dès lors encore plus grand. Nous avons senti la passion des héros de notre film dès les premières recontres et nous voulons que les spectateurs soient aussi émus de cette passion. Au seuil de de la puissance humaine se trouve quelque chose d'inommable, quelque chose de plus grand que la vie. Peu importe si on l'appelle "l'infini" , ou "l'art'' , ou "dieu". Nous l'appelons tout simplement Pianomania. »

Résumé : En 2000, Irene Langemann réalisait un film sur les enfants prodiges de Russie, dix ans plus tard elle retrouve les protagonistes de ce documentaire. Leur situation a bien changé : les enfants surdoués d'hier ne sont à présent que d'excellents pianistes parmi d'autres. Et pour trouver leur place dans ce milieu hautement concurrentiel, ils doivent encore et encore travailler, se présenter à tous les concours, accepter toutes les invitations, donner des cours particuliers... Et malgré toutes ces difficutés, garder intact leur amour de la musique.

Résumé : Née en 1978 à Pantin, de parents algériens, Zahia Ziouani est inscrite à huit ans au conservatoire où elle s’initie à la guitare classique puis à l'alto avant de découvrir le métier de chef d’orchestre. En 1996, elle fait la rencontre de l’immense Sergiù Celibidache qui l’accepte dans sa classe de direction d’orchestre. Diplômée en analyse, orchestration et en musicologie, titulaire de plusieurs prix de conservatoires, elle dirige depuis 1998 l’Orchestre symphonique Divertimento. Une formation de 60 à 90 musiciens, selon les œuvres, composée de musiciens reconnus et de nouveaux talents, qui travaille surtout sur la musique symphonique du XIXe et du XXe siècle. Zahia Ziouani cherche à élargir son répertoire : elle travaille également dans le champ des musiques de film ou du jazz. Premier chef d’orchestre invitée de l’Orchestre Symphonique d’Algérie depuis 2007, elle y dirige des œuvres symphoniques et lyriques, et des œuvres du répertoire arabo-andalou. Elle dirige le conservatoire de Musique et de Danse de Stains où elle a crée un festival.Le film suit la chef d'orchestre dans ses diverses activités : les répétitions (avec l'Orchestre Divertimento avant un concert à la Cité de la musique, ou à Alger), son travail de pédagogue au Conservatoire de Stains, mais aussi son travail administratif, de communication... Et sa visite de l’Espace Musiques de la Bpi. Le personnage est très attachant et nous montre concrètement comment se met en place la diversité et se travaille le « vivre ensemble ».

Résumé : Trouver et révéler dix nouvelles voix pour interpréter le répertoire de la musique baroque, tel est le but de l'académie Le Jardin des Voix, créée par le chef d'orchestre William Christie. Le film le suit dans ses recherches à Londres , New York, Paris lors des auditions des candidats.

Résumé : "Fruit d'une collaboration entre Fischer- Dieskau et Monsaingeon étendue sur plusieurs années, ce documentaire est une rétrospective complète de la vie et l'oeuvre du célèbre baryton." De nombreuses interprétations : Lieder et airs de Franz Schubert, Robert Schumann, Richard Strauss, Gustav Mahler, Giuseppe Verdi. "La Voix de l'âme" est l'un des neufs films consacrés au grand chanteur, par le réalisateur Bruno Monsaingeon. Ils sont tous édités en un coffret accompagné d'un livre de 200 pages ; vous pouvez voir aussi :dvd2 Dietrich Fischer-Dieskau - Robert Schumann ; dvd 3 : Dietrich Fischer-Dieskau - Franz Schubert ; dvd 4 :Franz Schubert, Die Schöne Müllerin - Le Maître Chanteur leçon 3 ; dvd 5 Paroles Ultimes; dvd 6 Schubert en vrac.

Résumé : "Dietrich Fischer-Dieskau , célèbre baryton allemand admiré internationalement, est connu pour ses interprétations , le contrôle parfait de la note, la couleur de sa voix, mais aussi son sens rythmique exceptionnel et sa diction impeccable. Sa réputation en tant que chanteur lieder est si grande- avec un répertoire de plus de 3.000 chansons – que l’on en oublierait sa longue liste de rôles d'opéra. Dans cette conversation Fischer-Dieskau dévoile pour la dernière fois à la caméra, les secrets d’une carrière exceptionnellement longue (plus de 50 ans). et confie ses dernières pensées à Bruno Monsaingeon qui les a recueillies pour la postérité. Fischer-Dieskau est mort en mai 2012 à l'âge de 86 ans" (Ideale Audience - Filmé à Berg (Allemagne), 2008-2009.."Paroles ultimes" est l'un des neufs films consacrés au grand chanteur, par le réalisateur Bruno Monsaingeon. Ils sont tous édités en un coffret accompagné d'un livre de 200 pages ; vous pouvez voir aussi :dvd 1 : La Voix de l'âme - dvd2 Dietrich Fischer-Dieskau - Robert Schumann ; dvd 3 : Dietrich Fischer-Dieskau - Franz Schubert ; dvd 4 :Franz Schubert, Die Schöne Müllerin - Le Maître Chanteur leçon 3 ; dvd 5 Paroles Ultimes; dvd 6 Schubert en vrac.

Résumé : En 1957,Glenn Gould donna un total de huit concerts en Russie (à Moscou et à Léningrad), en pleine guerre froide. il interpréta des oeuvres de Jean-Sébastien Bach, alors que la nature religieuse d'une grande partie du compositeur l'empêchait d'entrer au répertoire russe, il joua et parla de la musique atonale occidentale, un tabou en Union soviétique. il apparut comme un "visiteur venu d'une autre planète" pour les amateurs d'art et les intellectuels russes". Avec les témoignages de : Vladimir Ashkenazy, Rostropovitch, Andreï Kontchalovski.

Résumé : Chef d'orchestre de renommée internationale, Jean-Claude Casadesus a fondé l'Orchestre national de Lille et le dirige depuis quarante ans . Il se remémore pour nous son enfance; sopn éveil à la musique et parle de sa passion de porter la "grande musique" partout : hôpital, prison , usine... Le film dure 52 minutes et est accompagné de nombreux estraits musicaux.

Résumé : De la moitié des années 40 au début des années 60, parcours de l'âge d'or de la carrière de Sinatra.

Résumé : Film d'entretiens avec l'artiste, tourné en 1995, ponctué de nombreuses archives. Yehudi Menuhin, chez lui , à Mykonos, commente les extraits vidéo qui retracent sa vie et sa carrière..

Résumé : Récit de la gestation d'un disque imaginaire. "Grand échalas aux doigts arachnéens, sorte de Joey Ramone de l'avant-garde, le mythique guitariste free Jean-François Pauvros s'y dévoile au quotidien dans son fief de Boulogne-sur-Mer. L'occasion de scènes cocasses et poétiques, entrecoupées de sessions en compagnie de ses frères d'âme, Xavier Boussiron et Marie-Pierre Brébant, Charles Pennequin, Vincent Fortemps, Arto Lindsay ou encore Keiji Haino". (Chronicart, Julien Bécourt)

Résumé : Compositeur parvenu à la plein maîtrise de ses moyens, touche-à-tout passionné, amoureux de littérature et de photographie, Pascal Dusapin est de ceux qui savent mettre la musique contemporaine à la portée du plus grand nombre... Ce documentaire explore son univers à l'aide d'un fil conducteur, l'énigmatique "Perelà"...

Résumé : Pendant plusieurs mois, Thierry Augé a filmé la Classe d'Initiation à la Direction d'Orchestre dirigée par Philippe Ferro. Il nous fait découvrir les difficultés des élèves pour apprivoiser leurs mains afin de transmettre à l'orchestre l'interprétation musicale qu'ils défendent... De leurs premiers gestes maladroits jusqu'au face à face avec l'orchestre et la tension du concert...

Résumé : Dans ce film documentaire, Jean-Gabriel Périot dresse en creux le portrait d’un groupe de femmes pour qui la musique est un moyen de résister et de sortir de l’isolement. Le compositeur Thierry Escaich collabore à cette réalisation en composant la musique originale du film, interprétée par neuf musiciens de l’Opéra national de Paris.

Résumé : Femme, d'origine algérienne, née dans le 93 : Zahia Ziouani n'avait pas vraiment les meilleurs atouts pour devenir musicienne. Et plus encore chef d'orchestre ! Après avoir créé sa formation musicale, Divertimento, qui rassemble 20 nationalités de musiciens, surtout originaires de Seine-Saint-Denis, elle mène une double carrière : des master-classes au service des meilleurs élèves des écoles municipales de musique de son département, et une carrière en solo, comme chef invitée de l'Orchestre national d'Algérie ou au sein d'orchestres européens, à l'affiche des meilleurs festivals français... Son destin est une belle réponse à une société française qui impose souvent un plafond de verre à cause des origines sociale, culturelle et géographique. Au fil d'un agenda dense, nous l'avons suivie sur une longue saison. Tous ceux qui l'ont côtoyée depuis vingt ans lui reconnaissent son charisme de chef d'orchestre, son talent de pédagogue obnubilée par la transmission et l'esprit de partage, mais la voient aussi comme une visionnaire de la politique nécessaire pour lutter contre la fracture culturelle en France. Un portrait fort, sans complaisance, à l'image de son énergie sans faille.

Résumé : L'Opéra d'Alger ouvre ses portes en 2016, mais l’Algérie reste très éloignée de cette forme d’expression musicale. Karim Moussaoui s’interroge sur ce que serait un Opéra dans la culture musicale algérienne. Le cinéaste part dans le désert à la recherche des mystérieuses divas du Taguerabt.

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