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Résumé : Ce film nous plonge dans la vie d'un hôpital de pédopsychiatrie, au sein d'un groupe d'enfants présentant des troubles mentaux. Sans a priori, sans regard polémique non plus, nous partageons le travail inlassable, titanesque et profondément humain qui s'accomplit au jour le jour par les soignants et les éducateurs. Nous partons à la rencontre de personnes au destin hors du commun qui luttent au quotidien pour le bien-être des plus démunis. Le documentaire témoigne des joies et des douleurs de ces enfants malades et des défis de l'équipe médicale qui les accompagne.La Porte d’Anna nous invite dans le quotidien d’un hôpital de pédopsychiatrie, «La Fondation Vallée» à Gentilly, au sein d’un groupe d’enfants présentant des troubles mentaux. Nous poussons la porte du Pavillon Anna, du nom de la fille de Sigmund Freud, pour entrer dans un monde dans lequel les règles élémentaires de la communication sont chamboulées par des souffrances psychiques parfois situées aux confins du supportable. Mais grâce à la créativité des soignants et à la confiance que les jeunes leur accordent, la vie renaît, la parole se trouve, le partage peut exister...Sans a priori, sans regard polémique sur l’autisme, le documentaire salue le travail inlassable, titanesque et profondément humain qu’accomplissent au jour le jour les soignants et les éducateurs.Le film témoigne des joies et des douleurs de ces enfants malades et des défis de l’équipe médicale qui les accompagne. [Source : jaquette]

Résumé : Tout le monde l'appelle "Kev", ce rouquin au regard pâle qu'une assistante sociale a découvert, enfant, enfermé dans une chambre où il n'avait que les rayons du soleil pour jouer. Désormais adolescent, Kevin souffre d'une forme d'autisme si sévère que la plupart des institutions, dites spécialisées, ont longtemps refusé de l'accueillir. Clémence Hébert l'a suivi avec sa caméra, d'un lieu à l'autre. Celle, douée de la parole, et celui, qui vit en dehors, se sont apprivoisés à égalité de regards, avec la lentille d'un objectif comme seul medium de re-connaissance qui saisit ce qui palpite, surgit, s'étiole, et recommence. Un lien discontinu mais vivant. Fruit de sa longue expérimentation auprès de ceux qui en souffraient, Fernand Deligny avait forgé un mot qui condensait son idée du cinéma comme moyen pour penser l'autisme : "camérer", par opposition à "filmer". Autrement dit, "mettre dans la boîte des éclats", autant de tentatives pour créer un humain commun. Clémence Hébert s'inscrit dans ce sillage, elle qui parvient, sans discours, à nous faire voir le monde du côté de cet être radicalement autre.

Résumé : L'autisme reste une énigme. Une certitude cependant, il n'existe pas de remède : on ne guérit pas de l'autisme. Les personnes avec autisme vont vivre avec ce trouble tout au long de leur vie, et nos sociétés sont donc toutes confrontées à une même question : comment accompagner ces personnes ? La France a pris du retard dans ce domaine. En croisant les expériences d'autres pays (l'Italie, la Suède, l'Allemagne, et le Québec), nous pourrons éclairer la situation française et constater que des pratiques existent, qui permettent d'améliorer franchement la qualité de vie des personnes autistes. A chaque fois, il s'agit de véritables choix de société qui révèlent nos approches différentes de l'altérité. Mais nulle part, il n'y a de réponses simples à ce problème complexe.

Résumé : L'addiction peut s'immiscer dans nos vies quotidiennes sournoisement, sans que l'on y prenne garde. L'alcool, les drogues, les médicaments, les écrans et réseaux sociaux... l'étau se resserre pour faire de nous des consommateurs, toujours plus frénétiques et asservis. En tissant les témoignages de quatre anciens addicts à la réalité des consultations du centre d'addictologie de l'hôpital Sainte-Anne, où médecins et infirmiers reçoivent sans rendez-vous des anonymes, ce documentaire nous plonge au coeur de la bataille de la dépendance. Il y est question de vie et de mort, de goût de vivre, d'abdication et de liberté retrouvée. Un film de parole et d'écoute, au coeur du parcours de reconstruction.

Résumé : Damien Samedi a 43 ans. Quand il était enfant, dans son village wallon en bord de Meuse, on l'appelait le "Petit Samedi". Pour sa mère Ysma, Damien est toujours son gamin, celui qu'elle n'a jamais abandonné lorsqu'il est tombé dans la drogue. Un fils qui a, malgré tout, cherché à protéger sa mère. Un homme qui tente de se libérer de ses addictions et qui fait face à son histoire pour s'en sortir.

Contenu : Expertise de professionnels sur l''alcool et autres addictions et annuaire des structures de soins en alcoologie.

Résumé : Une unité de soins pilote de maternologie en milieu hospitalier à Saint-Cyr l'Ecole en région parisienne. Là sont accueillies des mères en très grande souffrance après la naissance de leur bébé. Cette souffrance (taboue dans nos sociétés de la performance et de la naissance idyllique) est bien au-delà du baby blues et consiste dans la difficulté pour certaines femmes de se sentir mère et d'aimer leur enfant après l'accouchement (trouble qui atteindrait 10% des femmes selon l'OMS). Le film montre divers aspects de la thérapie dont "la vidéo clinique" (filmage de la mère et du nourisson au moment des tétées pour déchiffrer jusqu'au ralenti les comportements). Le film suit le parcours de trois femmes et de leur enfant et propose un entretien avec une mère suivie dans cette unité de soins deux ans après son hospitalisation. Les conjoints sont aussi filmés, ils parlent de leur ressenti dans la grave dépression de leur compagne. Le film se fait l'écho du grand désir pour les mères de construire le lien avec leur enfant.

Résumé : Aymeric a trois ans et demi lorsque ses parents, Lydie et Marc, apprennet qu'il est atteint d'autisme sévère. On dit à Lydie et à Marc qu'il faut faire le deuil de leur enfant, qu'Aymeric ne parlera jamais, n'ira pas à l'école et ne vivra pas parmi les autres. Malgré ce terrible diagnostic Lydie et Marc luttent, s'informent et se forment aux thérapies comportementales importées des Etats-Unis et du Canada, comme le PECS, le TEACCH, l'ABA. Ils filment leur enfant. Huit ans d'archives, soit une matière exceptionnelle, nous permettent de suivre les progrès et les apprentissages d'Aymeric qui à dix ans, parle, écrit, est scolarisé en CM1 dans une école ordinaire. L'espoir est là, dans tout ce travail accompli au long des années malgré les difficultés. Le film s'attache à montrer que l'autisme qui toucherait un enfant sur 150 n'est pas une maladie mais un handicap dont on ne guérit pas. Par ailleurs la France est très en retard en ce qui concerne les thérapies comportementales sur lesquelles reposent les apprentissages qui améliorent la qualité de vie des autistes et peuvent réduire leurs troubles du comportement. Le parcours d'Aymeric est exemplaire. Pour décrire à la fois les difficultés et les raisons d'espérer, pédopsychiatres, psychologues, parents d'enfant et d'adulte autistes témoignent..

Résumé : A partir de témoignages de parents d'enfants autistes, du travail menés par des associations et des difficultés rencontrés par les professionnels le film propose de montrer la situation de la prise en charge dans les pays du nord de l'Europe, comme la Suède qui est très en avance, et en Afrique, au Maroc ainsi qu' au Cameroun qui n'en sont qu'au commencement.

Résumé : Des hommes et des femmes, soldats, patriotes convaincus à leur départ, rentrent aux Etats-Unis après avoir combattu en Irak. Le retour est difficile, toutes leurs certitudes vacillent voire s'effondrent ; ils souffrent de syndrome posttraumatique. Ils témoignent de leur mal-être et de leurs grandes difficultés à redevenir un être humain et à réapprendre la vie quotidienne devenue insupportable. "(...) Etayé par leur parole vibrante, empreinte de révolte, et par les poignantes "protests songs" composées par l'un d'eux, ce beau film rappelle utilement que toute guerre fait des ravages bien au-delà de la ligne de front. (...)" (Sophie Bourdais, Télérama, septembre 2011).

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