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Résumé : Que se passe-t-il dans une cour de de récréation d'école maternelle?comment les enfants investissent-ils cet espace réservé à leur imaginaire,qui verra leurs jeux,leurs bagarres,leurs premieres peurs..?

Résumé : Pendant les vacances d'été, les enfants d'un petit village situé au Sud-Est de Téhéran passent la journée chez une institutrice à la retraite qui tient l'une des dernières écoles traditionnelles de la région.

Résumé : "Il existe encore , un peu partout en France, ce qu'on appelle des classes uniques : de ces classes qui regroupent, autour du même maître ou d'une institutrice tous les enfants d'un même village, de la maternelle au CM2.La vie de tous les jours, pour le meilleur et pour le pire. C'est dans l'une d'elles, quelque part au coeur de l'Auvergne, que s'est tourné ce film." Nicolas Philibert.

Résumé : La Neuville racontée par ses fondateurs : Fabienne d'Ortoli, Michel Amram et Pascal Lemaître. C'est en 1973 que cette école /internat vit le jour en Normandie à La Neuville du Bosc. Le projet pédagogique mis en place avec le collaboration et autour des principes éducatifs de Françoise Dolto et de Fernand Oury, repose sur une forte participation des enfants dans la vie quotidienne (cuisine, rangement,...) comme dans les décisions relevant du fonctionnement et du règlement de l'école. Le scolaire est un des multiples éléments de l'éducation. En 1982 Le Groupe d'action pédagogique, Ecole de la Neuville déménage en Seine-et-Marne. Sur la façade de l'école on peut lire : "...un milieu qui autorise un enfant à exprimer ce qu'il pense, ce qu'il désire, ses jugements, et où l'enfant sent qu'il est partie prenante. Il n'est pas un parasite ou un objet de cette école, il est un sujet vivant dans cette école" (F. Dolto). "Un milieu institutionnalisé où la loi naît de la parole, où la parole naît de la loi ; d'une loi autre bien sûr, d'une loi qui autorise le désir." (F. Oury)

Résumé : A l'école maternelle Jacques Prévert de Le Mée sur Seine, plusieurs fois par mois, Azouaou, Abderhamène, Louise, Shana, Kyria ou Yanis, âgés de 3 à 4 ans, assis en cercle autour d'une bougie allumée par Pascaline, l'institutrice, commencent à discuter librement et tous ensemble de l'amour, la liberté, l'autorité,la différence, l'intelligence ...etc..Ainsi apprennent-ils à s'exprimer, s'écouter, se connaître et se reconnaître tout en réfléchissant à des sujets normalement abordés dans le système scolaire français, en classe de terminale! C'est qu'ils font de la philosophie !

Résumé : "L'Education en questions" propose d'explorer le patrimoine pédagogique afin de nourrir la détermination des éducateurs et ressourcer leur action au quotidien. Le principe est de réfléchir avec les pédagogues d'hier aux questions éducatives d'aujourd'hui. La présentation est faite par Philippe Meirieu, professeur en Sciences de l'Education. Le DVD se compose de 4 films successifs de chacun 13 minutes : 1/Janusz Korczak(1878-1942) : Comment surseoir à la violence? , réalisé par Thierry Kübler. 2/Maria Montessori(1870-1950) : Peut-on apprendre à être autonomes?, réalisé par Marie Frapin. 3/Célestin Freinet(1896-1966) : Comment susciter le désir d'apprendre?, réalisé par Thierry Kübler. 4/Fernand Oury(1920-1997) : Y a-t-il une autre loi possible dans la classe?, réalisé par Maurice Ferlet.

Résumé : Le film se décline dans le concret des actions pédagogiques d'une structure pionnière qui accueille les élèves exclus temporairement de l'école pour des raisons de discipline. Le local se situe dans l'enceinte d'un collège ZEP (Zone d'éducation prioritaire) en banlieure parisienne. Des éducateurs encadrent ces écoliers récalcitrants et abordent les raisons de leur sanction. Il est question de contrat, de rôles donnés et de rôles à prendre. Les réalisateurs observent attentivement comment les enfants "reçoivent" la parole des adultes, leur écoute, leur ennui, leur refus, leur acquiescement. Si les écoliers sont mutiques ou presque, c'est que les éducateurs sont dans l'attente des "bonnes réponses". Mais le corps tout entier parle. Et c'est à ce langage que les réalisateurs sont réceptifs. [extrait du catalogue Unifrance Films]

Résumé : Au coeur des Alpes, en Suisse, l'école privée de Zuoz apprend à des gosses de riches venus des quatre coins du monde, les vertus du libéralisme, de la discipline et de la civilité. Le régime de cet internat est sévère, à l'image des hautes montagnes enneigées qui l'entourent : pas d'écarts, pas d'excès, de la mesure en toutes choses. Faute de quoi les punitions tombent....Le moindre retard : dix pompes, un penchant trop fort pour les boissons alcoolisées : le renvoi. Peu de cours dans ce film centré sur le fonctionnement de l'internat , mais le bureau des peines ne chôme pas, qui distribue, avec une science consommée de la mise en scène et de la rhétorique, les leçons de morale, les interdictions de sortie, les avertisements et les ultimatums...Les élèves prennent le pli, bon gré, mal gré...(Yann Lardeau)

Résumé : Le micro-lycée de Sénart à Lieusaint, en Seine-et-Marne, est un établissement public qui accueille des jeunes en décrochage scolaire complet, et qui les mène au baccalauréat en utilisant une méthode pédagogique particulièrement efficace, puisque , chaque année, environ 80% des élèves réussissent cet examen de fin d'études secondaires.

Résumé : C'est en développant une approche historique, sociologique, et ludique que le film raconte l'évolution de l'enseignement primaire de Jules Ferry à nos jours. Des archives, des comparaisons internationales et le suivi de trois écoliers français illustrent la réflexion menée sur le système éducatif français.

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