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Contenu : Encyclopédie intéressante sur le monde de la sculpture avec une prédilection pour le XIXe siècle

Résumé : Première biographie du sculpteur du XIXe siècle Aimé-Jules Dalou. Parmi ses créations, la plus célèbre s'appelle "Le Triomphe de la République" érigée place de la Nation à Paris.

Résumé : Puisant dans la thématique révolutionnaire, Delacroix invente dans "La Liberté guidant le peuple" une allégorie aux sens multiples, témoignant d'une nouvelle forme de sacré.Dans "Le Regard captif", Ingres fasciné par l'Orient et les courbes du nu féminin, peint, sur une toile circulaire vingt-cinq femmes nues. L'examen des archives de l'artiste et l'analyse en laboratoire permettent de reconstruire l'histoire du tableau.Courbet, dans "La Place du mort" représente une cérémonie funéraire avec quarante-six personnages "ordinaires" et un chien. Influencé par Rembrandt et Goya, il pousse le réalisme jusqu'au grotesque et signe là, selon ses propres propos, l'enterrement du romantisme.

Résumé : A partir des dessins de Victor Hugo et de nombreux extraits de son oeuvre littéraire, le réalisateur évoque les années d'exil de l'écrivain à Guernesey. Les clairs obscurs, le dynamisme flamboyant de son trait, la stylisation des sujets soulignent le rythme, la musicalité et le lyrisme des textes lus en voix-off.

Résumé : "Les Jardins publics" sont une série de neuf panneaux décoratifs peints par Vuillard en 1874 : à partir de leur analyse esr reconstitué l'itinéraire du peintre. "Un Dimanche après-midi à la Grande Jatte'" (1884), fut présenté à la dernière exposition des Impressionnistes. C'est une toile très grande avec une lumière étrange, un fourmillement de petites taches. Ainsi Seura va-t-il marquer les générations ultérieures d' artistes : fauves, cubistes...Toulouse-Lautrec peignit deux panneaux afin de décorer le stand de la Goulue à la foire du Trône (1895) : le film analyse donc cette "Décoration pour la baraque de la Goulue" évoquant l'atmosphère du Paris noctambule de la Belle Epoque.

Résumé : Géricault s'inspira d'un naufrage survenu en 1816 au large de la Mauritanie. Il y eut de nombreux écrits à propos de ce drame. Le peintre en dessine toutes les phases et en moins d'un an (1819) réalise la marine la plus étonnante de son temps : "Le Radeau de la Méduse". David, engagé dans la vie politique, participa à la Terreur puis devint le peintre officiel de l'Empire. Dans "Les Sabines" (1799), il s'inspire de l'histoire de la Rome antique, peignant sur une vaste toile des personnages grandeur nature. Marqué par la mode antique de son époque, le tableau renferme de nombreux anachronismes mais offre une allégorie de la France en proie aux luttes fratricides. "La Lettre, la flèche et le balai" est un panorama de l'oeuvre de Goya. Puis, le film s'attache à montrer le parallèlisme évident des deux toiles : "Les Jeunes" et "Les Vieilles" où le peintre souligne certains traits des personnages : déjà perce la caricature sociale goyesque.

Résumé : Les trois peintres annoncent ce que l'on a appelé l'art moderne. "La Haute note jaune" évoque la période arlésienne de Vincent Van Gogh (1853-1890), analyse "La Chambre d'Arles", toile à la fois simple et étrange où la palette du peintre est dominée par la couleur jaune. Dans "Harmonies sauvages", l'itinéraire de Paul Gauguin (1848-1903) de la Bretagne à la Polynésie marque son évolution artistique. Il vit à Tahiti puis dans les îles Marquises où il mourra. . La toile "Arearea" ( "Amusements") est décrite avec précision. En Polynésie, à la recherche de son rêve, Gauguin donne le meilleur de sa peinture : s'inspirant de vieilles photographies, il montre des scènes de la vie quotidienne où les maoris sont idéalisés. Par les motifs décoratifs de certaines de ses toiles, il se rapproche de l'Art nouveau. "La Violence du motif" est celle de Paul Cézanne (1839-1906) qui, né à Aix-en Provence, revient y vivre, fasciné par la montagne Sainte-Victoire. Il fera 45 aquarelles et 36 tableaux intitulés "la Montagne Sainte-Victoire". Dans ceux-ci, il ne cherche pas, comme Monet, à traduire les variations de la lumière dans un même paysage. Son expérience est avant tout formelle car la montagne l'obsède par la simplicité et la force. Paul Cézanne retranscrit non pas ce qu'il voit mais ce qu'il ressent.

Résumé : Il n’y a pas un Gustave Doré, mais plusieurs : illustrateur, peintre, dessinateur, caricaturiste, sculpteur mais aussi gymnaste, alpiniste, violoniste… Doré est un homme de tous les excès, tant dans sa production artistique que dans son comportement. Ce sont ces multiples facettes que ce film éclaire…

Résumé : Film d'exposition. Comment cet autodidacte, sans connaissances académiques, a-t-il bien pu être le précurseur de mouvements allant du cubisme à la psychanalyse en passant par le surréalisme ? Eclairé par le regard de quelques grands artistes avant-gardistes de l'époque (Picasso, Apollinaire, Delaunay puis Kandinsky, Ernst ou encore Chirico), qui ont su reconnaître en lui l'un des leurs, le film explore ce mystère contenu dans sa vie et son œuvre, et le met en scène dans la prolongation de sa peinture.

Résumé : À l’automne 1878, Vincent Van Gogh organisa un prêche pour les pauvres dans une communauté minière de Borinage, une province wallone de Belgique. Il passa deux ans dans la misère avant de savoir ce que le destin lui réservait : il allait devenir un grand peintre. Ce choix transformera l’histoire de sa vie et celle de la peinture pour toujours. Les éléments clefs de la narration de ce film sont les lettres que le jeune Van Gogh envoie régulièrement à son frère. A cela s’ajoute un mélange d’évocation et d’interviews d’experts, aidant à faire la lumière sur les premiers jours du jeune Van Gogh en tant que peintre.

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