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Résumé : Née à paris en 1911, Louise Bourgeois étudia d'abord les mathématiques puis partit vivre à New-York. Restée artiste marginale pendant de longues années, elle devint célèbre et représenta les Etats-unis en 1993, à la Biennale de Venise.Montrant des photographies familiales, le film retrace succintement la vie de celle-ci. Puis, les entretiens qui ont lieu dans son atelier de Brooklyn dévoilent l'univers et la personnalité de cette femme. Louise Bougeois explique son travail, la signification des objets sculptés, sa passion pour la géométrie. Toute son oeuvre s"'inscrit dans une optique psychanalytique : "La sculpture est la seule chose qui me libère..." dit-elle. Les traumatismes de son enfance la poursuivent et la rendent vulnérable. Ses quatre sculptures ou "cellules" ("Choisy", "Hands and Glass Balls", "Arch of Hysteria", "Eves and Mirrors" symbolisent la destruction du père et la recherche de l'immuable.

Résumé : Claude Viallat, né en 1936, dans le Gard où il vit toujours, fut membre de "Supports-surfaces". Ce mouvement des années soixante réfléchissait aux matériaux constitutifs de la peinture. C. Viallat peint sur toutes sortes de supports, tissus, bâches, draps. "Tout mon travail va être déterminé par le support" ou "C'est le système qui m'intéresse, non la forme" dit-il. Pour lui, la couleur dessine d'elle-même à l'intérieur de la forme. Le film montre l'artiste au travail expliquant sa démarche picturale : il peint non pour s'exprimer mais plutôt pour se cacher. Il réalise aussi des objets qui sont la mise en relation de divers éléments, des dessins de corridas. "Mon travail se fait dans le mouvement et la continuité...depuis 1966, je ne fais qu'une seule toile".

Résumé : Pendant plus de quarante ans, Georges Rouquier a célébré les beautés du monde rural et montré ses difficultés avec la conviction et la sincérité qui illuminent l'ensemble de son oeuvre de documentariste, du "Tonnelier" (1942) à "Biquefarre" (1983). C'est justement sur cette terre de l'Aveyron, qui a vu naître "Biquefarre" trente-sept ans après l'immortel chef-d'oeuvre "Farrebique" (1946), que ses amis cinéastes ont voulu rendre hommage au "patron". Hommage vivant à travers les entretiens avec Georges Rouquier, avec sa femme, Maria Rouquier, avec les protagonistes du cycle aveyronnais, qui expriment leur admiration pour l'homme et analysent l'impact que les films ont eu sur leur conception du passé et de l'avenir de l'agriculture.

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