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Résumé : Le gospel est né d'une tradition remontant au XVIIIe siècle. Bravant les interdictions, les esclaves noirs improvisaient a capella pour communiquer dans les champs de coton. Aujourd'hui, ces chants constituent la base du culte des églises pentecôtistes et baptistes. Témoignages de prédicateurs et extraits musicaux offrent ici un large panorama de la pratique actuelle du gospel aux Etats-Unis. Le révérend Aubrey Ghent explique que le gospel est un support essentiel dans sa mission d'évangélisation, permettant l'expression de sentiments allant de l'exultation à l'angoisse. Lors des offices religieux, certains fidèles poussent leur ferveur jusqu'à la transe appelée "revival". Si les puristes tels que les révérends Philip et Charles Campbell tiennent à distinguer le gospel du blues et du jazz, c'est parce qu'ils considèrent que leur musique est sacrée et qu'elle est oeuvre de rédemption. Ainsi, certains chanteurs témoignant de leur passé de toxicomane ou délinquant, expriment devant la communauté leur désir de "rachat" spirituel et de réinsertion sociale.

Résumé : Réalisé d'après le livre de François Bizot : "Le Portail" où celui-ci évoque un épisode tragique de sa vie au Cambodge. Ethnologue dans ce pays depuis 1965, il fut arrêté par les Khmers rouges en 1971. Comme les autres prisonniers, il semblait destiné à la condamnation à mort. Ses interrogatoires avec le chef du camp d' internement Douch débouchent sur des discussions...presque amicales. Il sera libéré et retourne à Phnom Penh pour réintégrer son poste à l'Ecole française d'Extrême-Orient jusqu'en 1975. A la prise de pouvoir des Khmers rouges, il sera évacué vers la Thaïlande comme tous les étrangers.En 1988, Bizot retourne au Cambodge et découvre que Douch était devenu l'un des plus grands tortionnaires du 20e siècle : Il était l'un des hommes de main de Pol Pot et reconnaît avoir perpétré 40.000 exécutions au nom de l'idéal communiste. Prisonnier, il attend son procès devant un tribunal international pour crimes contre l'humanité. Bizot rencontre un ancien assistant de Douch qui décrit les tortures infligées au camp S 21.On assiste, dans la séquence finale, à une courte entrevue entre Bizot et Douch. Bizot retrouve un homme comme les autres : " je n'ai pas vu un monstre, j'ai vu un homme, et c'est ce qu'il y a de plus terrible justement, qu'il soit un homme comme moi".

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