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Résumé : Vincent Giraud, philosophe et professeur à l'université de Doshisha, nous propose d'aborder la pensée médiévale latine sous l'angle de la notion fondamentale de la Création. Non pensée par les Grecs, la création de toutes choses fut à la base des réflexions médiévales sur de nombreux sujets comme l'être, le bien, le beau. Sur une période de presque mille ans, le philosophe fait découvrir une pensée riche, évolutive et dynamique. De la tradition néoplatonicienne à la christianisation de celle-ci par saint Augustin et à l'effort déployé par Anselme de Cantorbéry pour prouver Dieu de façon rationnelle, l'auteur donne à voir un spectaculaire mouvement de la pensée, porté par une société médiévale en pleine mutation. Mais au-delà du plaisir d'entendre vivre une pensée si riche, c'est à philosopher sur l'être des choses avec les penseurs médiévaux, que Vincent Giraud nous convie dans ces leçons.

Résumé : Les Presses Universitaires de France et Frémeaux & Associés proposent cette biographie du Roi Arthur, racontée et expliquée par Alban Gautier, professeur d'histoire médiévale à l'université de Caen. Le roi Arthur a-t-il existé ? Arthur est un personnage tout aussi littéraire et mythique qu'historique à proprement parler. Depuis la Grande-Bretagne du Vè siècle, lors du déclin de l'Empire romain, jusqu'à nos jours, Arthur n'a cessé d'exister sous plusieurs visages. Sa figure héroïque a servi à des usages politiques diamétralement opposés, chez les Gallois du IXe siècle, les Plantagenêts, les rois de la dynastie des Tudors. Replacer le personnage dans son époque signifie replacer le personnage dans ses époques. C'est cette énigme historique qu'Alban Gautier se propose ici d'explorer.

Résumé : L'héritage grec, c'est assurément Athènes, la philosophie et la démocratie. C'est aussi Sparte qui, avant de s'enfermer dans la discipline guerrière, aimait la poésie, la musique et la danse. C'est le rayonnement de la brillante civilisation crétoise, l'ouverture sur la mer et sur le monde. La Grèce a connu des âges sombres et des luttes fratricides, mais elle avait fait de la beauté un art de vivre pour éduquer le citoyen et le rendre responsable dans la cité.

Résumé : La civilité nouvelle apparaît au XVe siècle, au début d'une période que les historiens ont appelée Renaissance. Elle correspond à un idéal de culture et de sagesse désigné par le terme humanisme. A une époque où la noblesse des cours se battait souvent à coups de poing et coups de pieds, des philosophes ont cru bon d'instruire les jeunes princes des règles de civilité à l'honneur chez les citoyens grecs et romains de l'Antiquité. C'est alors que sont nés les manuels qui dictèrent les comportements à adopter selon les lieux et les circonstances. Largement diffusés grâce à cette technologie nouvelle qu'était l'imprimerie, ces manuels de civilité ont ainsi défini, au fil des siècles, la courtoisie, la politesse, le savoir-vivre et le bonnes manières.

Résumé : Le phénomène urbain est apparu vers -3500 avant notre ère. La ville se différencie du village par son organisation sociale et les activités de ses habitants dont certains, comme les marchands, les scribes et les prêtres, s’occupent exclusivement des échanges ou de tâches intellectuelles. Elle établit donc des relations sociales d’un type nouveau, fortement hiérarchisées. Avec l’invention de l’écriture, vraisemblablement stimulée par le commerce, la ville a favorisé la diffusion des idées et des inventions.

Résumé : Vers 1300, les marchands, autrefois méprisés, sont les maîtres des villes. Ceux que l’on surnommait « les pieds poudreux » sont désormais sédentaires et l’on envie leur richesse. Les techniques commerciales se diversifient: des changeurs fixent le cours des monnaies, la lettre de change et le crédit apparaissent. Les marchands participent aux foires où ils échangent leurs marchandises pour des produits de luxe en provenance des pays d’Europe ou d’Orient. Ils se regroupent en association, organisent des caravanes et établissent bientôt des monopoles. C’est le début du grand commerce international à partir de deux axes principaux : les Pays-Bas et les villes italiennes.

Résumé : Rome, une ville éternelle, une société ingénieuse formée d'ethnies disparates sous la protection des dieux. Une petite bourgade aménagée sur une colline entourée de marécages qui en un millénaire a bâti un Empire de 5 millions de kilomètres carrés d'espace, sillonné de 90 000 kilomètres de routes. Rome, c'est la guerre incessante, mais aussi la joie et l'art de vivre hérités de la civilisation étrusque ; la littérature et la poésie inspirées de la culture grecque.

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