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Résumé : 1946-2006 : Dans le cadre des 60 ans de la départementalisation de l'île de La Réunion, deux chercheurs présentent un regard croisé consacré à l'histoire du temps présent de l'île de La Réunion. Yvan Combeau examine les années de l'après-guerre (1942-1946) et les propositions de lois qui conduisent à la loi du 19 mars 1946. Il étudie la place de La Réunion dans la politique des gouvernements de la quatrième République (1946-1958). Dans cet "après-1946" : entre Colonie et Département, plusieurs thématiques et axes de recherches sont analysés : la création de deux partis nationaux (R.P.F, P.C.F.), de deux cultures politiques (gaulliste et communiste) ; le poids des retards coloniaux et le département abandonné ; le tournant des années 1956-1958. Gilles Gauvin remet en perspective l'histoire de la IVe et de la Ve République à la lumière des "Années Debré". Pour comprendre l'ambition de l'ancien Premier Ministre pour le département insulaire, il faut en effet l'analyser à l'aide de trois concepts : la Nation, la République et la Démocratie.

Résumé : Patrick Pesnot veut savoir quels ont été les rapports entre Klaus Barbie et les services secrets américains.

Résumé : La réhabilitation expresse de la Libye, admise à nouveau à prendre sa place dans le concert des nations, a de quoi surprendre. Certes, le colonel Kadhafi a admis posséder des armes de destruction massive et s'est engagé à les détruire. Mais c'était le même homme que le Président Reagan traitait de "chien enragé du Proche-Orient" dans les années 80. Et après la tragédie du 11 septembre 2001, Washington considérait que la Libye était l'un des sept pays qualifiés de commanditaires du terrorisme. Le revirement est donc spectaculaire. II a un fort goût de pétrole : le sous-sol libyen est riche et les experts estiment qu'il est encore sous-exploité. D'autre part, il est certain que Kadhafi avait besoin de rétablir une situation sociale dégradée et une économie en perte de vitesse...

Résumé : C’était une première : la prise de contrôle en pleine mer d’un paquebot... Acte de piratage ou spectaculaire manifestation politique ? Pour les propriétaires du bâtiment battant pavillon portugais et pour le gouvernement de Lisbonne, il ne fait nul doute que les vingt-cinq hommes qui se sont emparés du navire sont des pirates qui doivent être traités comme tels. Mais pour les hommes du commando et d’une façon générale pour les opposants à la dictature de Salazar, c’est une action politique. D’ailleurs, les pseudo-pirates n’ont-ils pas proclamé tout de suite que le Santa-Maria – aussitôt repabtisé Santa-Liberdade – est désormais une parcelle de territoire portugais libéré...En cette année 1961, cet évènement aura des répercussions considérables sur l’avenir du Portugal et marquera le commencement de la fin d’un régime totalitaire vieillissant et d’une société figée depuis plus de trente ans. L’aventure un peu folle du capitaine Galvao et de ses hommes sera l’amorce de ce qui deviendra treize ans plus tard la "Révolution des Œillets", une drôle de révolution conduite par des militaires. Mais des militaires progressistes, anticolonialistes et, pour certains d’entre eux, proches des communistes... Autre particularité, cette révolution fomentée par des officiers subalternes, a été pacifique. Et si, malgré tout, il y a eu une poignée de morts, ils sont le fait d’une population qui a voulu se venger de la police secrète, la sinistre PIDE.Une curieuse révolution donc, qui voit les habitants de Lisbonne descendre dans la rue et glisser dans les canons des fusils des œillets, la fleur de ce mois d’Avril au Portugal.

Résumé : 1995. Depuis l'horreur des camps nazis, on n'avait jamais vu cela sur la terre de la vieille Europe... Un véritable génocide. Ainsi s'exprime le secrétaire général de l'O.N.U, Kofi Annan, en évoquant le massacre de Srebrenica où 7500 bosniaques ont trouvé la mort - ceux dont les corps ont été retrouvés - tandis que des milliers d'autres ont disparu pour toujours. Mais qui sont les vrais responsables des massacres de Srebrenica ? Et pourquoi a-t-on laissé faire ? Monsieur X revient sur cette tragédie qui comporte encore de nombreuses zones d'ombre.

Résumé : Abdul Quadeer Khan a organisé une sorte de marché noir de l’atome. Mais il a bénéficié de nombreuses complicités dans son pays, le Pakistan, mais aussi à l’étranger : les grandes puissances sont loin d’être innocentes, même si, officiellement, elles militent pour le respect du traité de non-prolifération nucléaire et sa signature par les derniers pays qui renâclent encore : Israël, l’Inde et le Pakistan !

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