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Contenu : France Alzheimer est un réseau d’associations au service des malades et de leur famille. Depuis 1985, date de sa création, elle œuvre pour soutenir les familles des malades, informer l’opinion et les pouvoirs publics, contribuer à la recherche et former les bénévoles et les professionnels de santé.

Résumé : A travers 8 documentaires, la maladie d'Alzheimer est abordée du point de vue de ce qu'il est encore possible de vivre et de ressentir pour la personne atteinte afin d'améliorer sa qualité de vie. "Je me souviens mieux quand je peins" montre l'impact positif des pratiques artistiques (peinture, poterie, collage,...) et des activités créatrices comme la danse, la poésie, les visites au musée pour ralentir les effets de la maladie. S'appuyant sur des découvertes scientifiques soulignant que la maladie s'attaque en dernier aux parties du cerveau qui régissent les émotions et la créativité, le film met en valeur des approches thérapeutiques différentes et novatrices de ce fléau.

Résumé : Quatre années durant, les réalisateurs ont suivi trois patients engagés dans l'"essai hippocampe" mené à la Pitié-Salpétrière, haut lieu de la recherche mondiale contre la maladie d'Alzheimer. Il s'agit de montrer l'effet d'un médicament sur la maladie. Produit-il une réduction de l'atrophie de l'hippocampe, région stratégique dans les phénomènes de mémorisation ? La molécule peut-elle empêcher la destruction de l'hippocampe ? Le film nous immerge dans le quotidien du service de neurologie du grand hôpital parisien nous faisant coudoyé deux temps différents : celui de la science qui n'est pas celui des malades.

Résumé : "Sans musique, la vie ne mériterait pas d'être vécue" résume Bernard Lechevalier, chercheur Inserm et pionnier en France des recherches sur les liens entre la musique et le cerveau. Ce film à la fois scientifique et poétique montre combien la musique et la danse peuvent métamorphoser la vie quotidienne de patients atteints de la maladie d'Alzheimer. C'est ce qui fut observé entre 2010 et 2013 pour une quinzaine de personnes de l'association OSE accueillis en séjour thérapeutique à l'Abbaye de La Prée par les petits Frères des Pauvres et Pour Que l'Esprit Vive. Cette expérience, commentée par des spécialistes des maladies neurodégénératives, des chercheurs en neurologie, neuropsychologie, psychologie cognitive et par des artistes, interroge également notre rapport à la maladie et à sa prise en charge.

Résumé : "C'est ma promenade sentimentale…" dit Yves qui rend chaque jour visite à sa femme, Henriette, atteinte par la maladie d'Alzheimer et hospitalisée dans un centre spécialisé brestois qui fait référence Kuzh Heol. Henriette ne reconnaît plus Yves cependant pour cet “aimant” la visite quotienne à sa femme permet de continuer le chemin ensemble malgré tout. Le film s'articule autour de séquences qui montrent la vie d'Yves où le vide s'installe dans la maison, la vie à Kuzh Heol ainsi que des témoignages de personnes liées à Alzheimer.

Résumé : Comment l'art-thérapie, approche par stimulation cognitive, prise en charge non médicamenteuse peut aider des patients qui présentent la maladie type Alzheimer. S'appuyant sur la plasticité neuronale, l'art-thérapie peut redonner un bien-être physique, psychique et corporel au malade tout en s'inscrivant dans une démarche humaniste qui vise à faire vivre jusqu'au bout des moments inouis aux patients.

Résumé : L'Institut des Maladies Neurodégénératives (IMN) de Bordeaux associe la recherche fondamentale, préclinique et clinique dans le cadre des maladies neurodégénératives et plus particulièrement dans la maladie de Parkinson. Cette maladie, dont l'origine est mal connue, touche 150 000 personnes en France. Différents chercheurs de cet institut nous expliquent son mécanisme et les traitements qui existent. Actuellement, le processus qui déclenche la maladie est bien compris : la disparition progressive de populations de neurones qui produisent la dopamine (les neurones dopaminergiques), situés dans la substance noire (sur le tronc cérébral). Cette disparition neuronale entraîne le dysfonctionnement d'un réseau appelé ganglions de la base qui affecte d'abord la maîtrise du mouvement du patient. L'équipe d'Erwan Bézard, de l'IMN, propose des solutions pour le traitement de la maladie de Parkinson comme le médicament L-Dopa (la dopamine manquante est remplacée par un précurseur), qui vise à diminuer certains symptômes comme le tremblement. Les chercheurs s'intéressent également aux effets secondaires induits par la L-Dopa et proposent une solution de chirurgie par stimulation cérébrale profonde. Cette opération a été mise au point en 1993 par les Drs Abdelhamid Benazzouz, Christian Gross et Bernard Bioulac. Elle est pratiquée actuellement à l'hôpital Pellegrin. Elle permet de réduire les problèmes moteurs des patients.

Résumé : La maladie fait souvent basculer la vie des familles dans une épreuve difficile. Parfois, comme pour Didier Jambart et Henri David, ce sont les effets secondaires d'un traitement qui en est la cause. Tous deux atteints de la maladie de Parkinson sont victimes d'un médicament commercialisé par le laboratoire GSK qui leur fait développer un comportement addictif (au jeu, au sexe...), entraînant mensonges et vols pour assouvir leurs pulsions. Retour sur une affaire judiciaire qui a défrayé la chronique...

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