Recherche simple :

  •    Tous les mots : Acculturation
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en rayon : 260

Voir tous les résultats les documents en rayons

Résumé : Le socialisme eut son heure de gloire aux États-Unis entre 1885 et 1922. Cette histoire est connue. Ce qui l’est moins, toutefois, c’est la contribution de l’immigration française à ce mouvement politique. Des exilés de la Commune de Paris aux mineurs du nord de la France, nombreux sont les ouvriers et militants francophones qui ont poursuivi leurs luttes politiques aux États-Unis après y avoir élu domicile.L’historien Michel Cordillot nous rappelle dans ce livre les luttes, les espoirs et la vie quotidienne de ces socialistes français d’Amérique. Révolutionnaires du Nouveau Monde, c’est aussi un livre sur l’immigration. À travers l’histoire de ces drôles de Français d’Amérique, on découvre en effet toutes les difficultés, les espérances et les modalités d’acculturation au Nouveau Monde. Une expérience qui n’est pas sans rap­peler celle des Canadiens français exilés en ­Nouvelle-Angleterre, avec lesquels ces socialistes eurent parfois maille à partir. - Notre de l'éditeur

Résumé : La 4ème de couv. indique : "Ce livre raconte « une autre histoire » : parcourant cinq siècles, il présente, à partir aussi bien de textes d'une actualité proche que de récits plongeant dans les temps immémoriaux du mythe, la résistance d'un peuple à la négation de son existence. Le récit de leur résistance tenace à la colonisation et à la tentative d'extermination permet d'entendre directement leur parole, de les observer dans l'action, de les retrouver comme les partenaires d'une histoire commune où Euro-Américains et Amérindiens ont chacun joué leur rôle. Vus sous cet angle, les Amérindiens paraissent exemplaires : ils se sont opposés avec constance au vol de leurs terres, à la violence exterminatrice, à l'anéantissement de leurs structures sociales et de leurs cultures, saisissant les armes les plus propices - guerre, guérilla, recours légal, usage inversé de l'acculturation, ressourcement aux racines de la spiritualité ancestrale. Exemplaires dans leur refus de séparer la lutte pour la survie du combat pour l'identité, les Amérindiens concrétisent, par l'affirmation de leurs propres valeurs, le doute qui saisit le monde actuel sur le bien-fondé des civilisations technologiques, l'exploitation abusive des ressources naturelles, l'enfermement de l'homme blanc dans une vie consacrée au seul profit matériel."

Résumé : In the late nineteenth and early twentieth centuries, indigenous communities in the United States and Australia suffered a common experience at the hands of state authorities: the removal of their children to institutions in the name of assimilating American Indians and protecting Aboriginal people. Although officially characterized as benevolent, these government policies often inflicted great trauma on indigenous families and ultimately served the settler nations’ larger goals of consolidating control over indigenous peoples and their lands. White Mother to a Dark Race takes the study of indigenous education and acculturation in new directions in its examination of the key roles white women played in these policies of indigenous child-removal. Government officials, missionaries, and reformers justified the removal of indigenous children in particularly gendered ways by focusing on the supposed deficiencies of indigenous mothers, the alleged barbarity of indigenous men, and the lack of a patriarchal nuclear family. Often they deemed white women the most appropriate agents to carry out these child-removal policies. Inspired by the maternalist movement of the era, many white women were eager to serve as surrogate mothers to indigenous children and maneuvered to influence public policy affecting indigenous people. Although some white women developed caring relationships with indigenous children and others became critical of government policies, many became hopelessly ensnared in this insidious colonial policy. - Note de l'éditeur

Résumé : Despite being the archetypal diasporic people, modern Jews have most often been studied as citizens and subjects of single nation states and empires—as American, Polish, Russian, or German Jews. This national approach is especially striking considering the renewed interest among scholars in global and transnational influences on the modern world. Editors Ava F. Kahn and Adam D. Mendelsohn offer a new approach in Transnational Traditions: New Perspectives on American Jewish History as contributors use transnational and comparative methodologies to place American Jewry into a broader context of cultural, commercial, and social exchange with Jews in Europe, the Middle East, Asia, Australia, New Zealand, and South America.In examining patterns that cross national boundaries, contributors offer new ways of understanding the development of American Jewish life. The diverse chapters, written by leading scholars, reflect on episodes of continuity and contact between Jews in America and world Jewry over the past two centuries. Individual case studies cover a range of themes including migration, international trade, finance, cultural interchange, acculturation, and memory and commemoration. Overall, this volume will expose readers to the variety and complexity of transnational experiences and encounters within American Jewish history.Accessible to students and scholars alike, Transnational Traditions will be appropriate as a classroom text for courses on modern Jewish, ethnic, immigration, world, and American history. No other single work in the field systematically focuses on this subject, nor covers the range of themes explored in this volume. - Note de l'éditeur

Résumé : Lors d’un évènement majeur, les citoyens mobilisent les media sociaux pour obtenir ou partager des informations, prendre des nouvelles de proches, exprimer leur solidarité ou encore organiser une réponse à la crise. En France, les attentats du 13 novembre 2015, l’incident de Lubrizol en 2019 ou les crues soudaines dans les Alpes Maritimes en 2020 ont mis en lumière ces nouvelles pratiques, notamment par l’utilisation de hashtags spécifiques sur Twitter ou encore la création quasi simultanée d’une page Wikipédia relative à l’évènement. L’intégration de ces pratiques citoyennes complexifie le travail des gestionnaires de crise et les institutions publiques en charge, et ces nouveaux outil nécessitent également de nouvelles compétences et une acculturation en matière de communication de crise. Le projet MACIV (Management of Citizens and Volunteers : the social media contribution to crisis management) financé par l’Agence Nationale de la Recherche a pour objectif d’étudier les flux d’information et les initiatives citoyennes sur les media sociaux lors d’un évènement majeur afin d’accompagner les acteurs de la gestion de crise à les intégrer dans leurs pratiques. Il vise également le développement d’un module dédié à la gestion des volontaires et des initiatives citoyennes au sein d’une plate-forme dédiée. En étroite collaboration avec les principaux acteurs institutionnels français en charge de la gestion de crise (DGSCGC du Ministère de l’Intérieur; Zone de Défense et de Sécurité de la Préfecture de Police de Paris ; Service d’Incendie et de Secours du Var ; Association citoyenne VISOV), les quatre années du projet ont permis l’observation de situations de crise réelles dont la crise sanitaire, la mise en place d’exercices de sécurité civile : elles ont mis en lumière et discuté les enjeux de ces nouvelles pratiques.

Résumé : "Cet ouvrage qui recouvre une vingtaine d’années d’analyses et d’approfondissements souhaite, à l’aune de cette dynamique de recherches, produire une nouvelle synthèse sur l’histoire du sport à La Réunion. Il se compose d’approches ou de réflexions qui ont pu être élaborées dans le cadre de colloques ou de congrès nationaux et internationaux et qui prolongent notre thèse initiale. L’île de La Réunion est singulière par sa position géographique, par sa population, par son histoire. « Vieille colonie française », le territoire accède pleinement à la République en devenant « département d’outremer » par la loi du 19 mars 1946. Le questionnement, centré sur le sport comme objet de recherche, permet de mettre en évidence d’une manière particulièrement éclairante les résistances, les difficultés, les déceptions mais aussi les attentes, les espoirs et les réalisations de cette entreprise d’intégration et d’acculturation. Autour d’une trame chronologique, qui débute par la greffe du sport anglo-saxon dans les îles Mascareignes à la fin du XIXe siècle, l’ouvrage parcourt le XXe siècle pour aborder des pratiques sportives très actuelles relevant de l’histoire du temps présent. Ainsi, au regard de notre problématique majeure – la place des activités physiques dans les processus de colonisation et de décolonisation – le sport peut être observé comme pratique sociale, comme institution dans le champ politique, comme événement ou compétition, comme espace de revendications identitaires, comme moyen de formation et d’éducation, comme champ d’acteurs, sportifs et dirigeants, comme loisir associé au tourisme, ou bien encore comme argument du discours éducatif, social, politique… L’étude illustre trois thématiques majeures qui traversent l’histoire de La Réunion : celle du, des pouvoirs, celle des réseaux et enfin celle de l’identité. Parmi les nombreuses pistes qui s’ouvrent aux chercheurs dans le domaine fécond de l’histoire culturelle, cet essai appréhende quelques clés de lecture des fonctions du sport dans nos sociétés contemporaines."

Résumé : Trois grands thèmes sont ici abordés : la circulation des traditions relatives aux spectacles de théâtre en Asie et tout particulièrement les échanges entre cultures lettrées et populaires (processus demprunts, dacculturation, de vernacularisation) ; formes et moyens dexpression, techniques de lacteur, musique et scénographie ; le rôle du contexte politique et du pouvoir.

Résumé : Présente le bouddhisme, sa liberté et ses acculturations réussies, en quatre parties : les éléments constitutifs de cette religion que sont les Trois Joyaux (le Bouddha, le Dharma et le Samgha), la formation du Grand Véhicule, du bouddhisme chinois et de ses grandes écoles de pensée, le bouddhisme tibétain et ses particularités, et enfin les relations entre bouddhisme et christianisme.

Résumé : L. Legrand, exégète en Inde, s'intéresse à l'itinéraire de l'apôtre Paul, qui se tourna vers l'Occident plutôt que vers le Midi et l'Orient pourtant aussi présents à l'horizon mental juif et gréco-romain que l'Espagne, et met en question une perspective trop occidentale sous-jacente aux études pauliniennes. Un nouveau regard sur le pluralisme des Eglises apostoliques et leurs acculturations.

Résumé : Depuis le début du XXIe siècle, la gestion des risques a connu une véritable révolution culturelle qui s'est accélérée depuis 2014, ce qui imposait de revoir la seconde édition publiée alors de façon à adapter les réponses aux 100 questions à l'ère post-Covid dans laquelle nous sommes entrés, même si la pandémie continue de sévir dans certaines parties du monde. La complexité et l'ambiguïté de monde est encore exacerbée avec les bruits de bottes en Europe de l'Est mettant les risques des réseaux d'approvisionnement au centre du système. Par-delà la série impressionnante de catastrophes de toutes natures, la révolution en marche résulte d'une lame de fond dans l'opinion publique qui exprime son besoin de sécurité dans le temps et dans l'espace, selon un calendrier accéléré par les moyens d'information globaux et immédiats. L'impact des médias sociaux se fait de plus en plus pressant avec une exigence accrue de développement soutenable, même si les instruments pour le mesurer manquent encore. Avec le concept de gouvernance d'entreprise, dont les versions au niveau de l'Union européenne, mais aussi en Grande-Bretagne et en France, exigent plus des managers qu'une conformité fiduciaire, un nouveau chapitre de la responsabilisation des dirigeants s'est ouvert avec ce qu'il est convenu d'appeler les risques ESG (Environnement, Société, Gouvernance). Le développement de l'ERM (Enterprise-wide risk-management) accompagne l'éclatement de la fonction de gestion des risques qui est devenue une des missions fondamentales de chaque responsable opérationnel, le propriétaire des risques qui pèsent sur l'unité qu'il dirige. Les unités plus petites (les entreprises de taille intermédiaire (ETI) ou les PME/PMI, par exemple) ne peuvent plus faire l'économie de la gestion des risques qui devient chaque jour davantage une exigence de leurs donneurs d'ordre ou de leurs clients, un attribut de la qualité des biens ou services qu'elles produisent. L'évolution des normes, telle la version 2018 de l'ISO 31000 imposait également de revoir ces questions, non pas tant dans leur énoncé que dans leurs réponses pour qu'elles restent un outil pertinent d'acculturation, initiation à la gestion des risques pour tous les managers. L'ambition des 102 questions rassemblées dans cet ouvrage est de montrer à tous les responsables comment la gestion des risques est devenue un instrument incontournable de leur performance qui leur permettra d'atteindre plus sûrement et plus efficacement non seulement les objectifs de leur organisme mais mêmes les leurs propres ! La dernière question ajoutée à cette édition ouvre en effet la boîte de pandore de l'avenir du risk-management dans un monde post-covid, devenu encore plus complexe et plus volatil du fait des retombées de la guerre en Ukraine.

Explorer les sujets liés :