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  •    Auteur : Beckett, Samuel (1906-1989)
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Résumé : "Aux limites de la poésie et du théâtre, des personnages de fin du monde manifestent leur épuisement, qui est aussi celui du langage."

Résumé : * Écrit en anglais, commencé en 1986 et achevé en 1988. Première publication : Stirrings Still, illustrations par Louis Le Brocquy, New York, Blue Moon Books / Londres, John Calder, 1988. Ce texte a ensuite été repris intégralement dans le Guardian. Traduction française par l'auteur au cours des derniers mois de 1989.

Résumé : Deux vagabonds, Vladimir et Estragon, se retrouvent sur scène, dans un lieu (« Route de campagne avec arbre ») à la tombée de la nuit pour attendre « Godot ».

Résumé : Texte en prose écrit en français, ébauché en 1966 et terminé en 1970. Comme un thème que propose un compositeur, auquel les interprètes musiciens peuvent apporter toutes sortes de variations personnelles, c’est un thème que Samuel Beckett nous propose dans Le Dépeupleur. Il crée avec une rigueur mathématique et géométrique un microcosme totalement clos, un « cylindre surbaissé » qu’il peuple d’une foule d’êtres captifs. Il y fait régner des castes, des hiérarchies très précises, et des lois extrêmement rigoureuses. Pour autant, l’interprétation du thème reste ouverte et c’est même dans la multiplicité des lectures qu’il suscite que réside son infinie richesse.

Résumé : Oh les beaux jours. Pièce en deux actes pour deux personnages, écrite en anglais entre 1960 et 1961. Traduite en français par l'auteur en 1962. La première représentation, avec Madeleine Renaud dans le rôle de Winnie et Jean-Louis Barrault dans celui de Willie, eut lieu en septembre 1963 au Festival du Théâtre de Venise, où elle remporta un immense succès. Fin octobre 1963, la pièce fut reprise par ces mêmes acteurs à Paris au Théâtre de l'Odéon. Elle a figuré ensuite durant de très nombreuses années au répertoire de la Compagnie Renaud-Barrault.Première publication en anglais : Happy Days, New York, Grove Press, 1961. Première publication de la traduction française aux Éditions de Minuit en 1963.Pas moi. Pièce en un acte pour une bouche, écrite en anglais. Première publication : Not I, Londres, Faber and Faber, 1973. Pré-publication de la traduction française par l'auteur dans la revue Minuit, n°12, 1975.

Résumé : Dans Fin de partie il y a déjà cette notion d’immobilité, cette notion d’enfouissement. Le personnage principal est dans un fauteuil, il est infirme et aveugle, et tous les mouvements qu’il peut faire c’est sur son fauteuil roulant, poussé par un domestique, peut-être un fils adoptif, qui est lui-même assez malade, mal en point, qui marche difficilement. Et ce vieillard a ses parents encore, qui sont dans des poubelles, son père et sa mère qu’on voit de temps en temps apparaître et qui ont un très charmant dialogue d’amour.

Résumé : Après avoir étudié à Cork, Murphy, être tourmenté natif de Dublin, vit maintenant à Londres avec Célia, une Irlandaise dont le métier s’exerçait sur le trottoir. Célia a abandonné son activité et Murphy, quant à lui, n’exerce aucun métier, la notion même de travail étant radicalement contraire à sa nature. Oisif acharné, il n’aime rien tant que d’être harnaché dans un fauteuil à bascule et s’y bercer longuement. Cela apaise son corps et lui permet alors de vivre dans son esprit : " abîme inintelligible ” et “ sphère pleine de clarté, de pénombre et de noir ”. Une exploration qui lui procure un tel plaisir “ que c’était presque comme une absence de douleur ”. Cependant leurs maigres économies vont s’amenuisant. Répugnant à regagner le trottoir, mais menaçant de le faire, Célia entreprend de persuader Murphy de trouver un travail. En voulant à tel point changer son homme, elle va le perdre. Aiguillonné par la peur de voir s’éloigner Célia, et grâce à sa rencontre avec un étrange “ poète de cabaret ” infirmier à ses heures, Murphy trouve enfin un emploi d’infirmier dans un asile d’aliénés, ce qui lui convient à bien des égards. Les malades lui inspirent de l’envie, échappés qu’ils sont du “ fiasco colossal ” ils connaissent, eux, le “ paradis des cellules matelassées ”.

Résumé : S. Beckett utilise de la musique comme protagoniste dans les pièces radiophoniques incluses dans cet ouvrage. La nature de la radio le libère de créer un champ visuel concret pour un public ainsi prenant un pas de plus vers un langage non-visuel et universel.©Electre 2018

Résumé : Ecrit en 1945, à l'occasion des expositions d'Abraham et de Gerardus Van Velde aux galeries Mai et Maeght, ce texte livre le point de vue de Beckett sur la critique en général et la critique d'art en particulier.

Résumé : A travers les nombreuses pièces de théâtre de Samuel Beckett diffusées à la radio, ce sont les intégrales et interprétations mises en scène qu'il a lui-même validées qui ont été choisies.

Résumé : Roman écrit en français en 1946, où apparaît le premier des couples beckettiens, montrant cet éternel besoin de l'interlocuteur, quête de l'autre et échange incertain, voire impossible, qui forme le mouvement dramatique de l'oeuvre.©Electre

Résumé : Dans la 1re pièce, qui est en un acte avec un personnage, Krapp, un vieillard, écrivain raté et clochardisés, se confront à sa vie passée en écoutant des bobines de magnétophone où il s'est enregistré lui-même, 30 ans plus tôt. Le 2e texte est une pièce radiophonique en 1 acte avec 5 personnages.©Electre 2018

Résumé : Malone attend sa mort dans sa chambre exiguë, un crayon à la main. Il décrit son état et invente une série de personnages, une autre vie au point d'oublier la frontière entre réel et imaginaire. Le voilà qui devient tour à tour ses personnages. A travers Malone, l'auteur s'exprime sur l'acte d'écrire et sur la complexité des rapports entre un écrivain et sa création. Suite de Malloy. ©Electre 2019

Résumé : En 1949, pour la revue Transition, Samuel Beckett évoque sous forme de dialogues les conversations sur l'art et la peinture qu'il avait eues au cours des années précédentes avec Georges Duthuit, critique et historien d'art, directeur de la revue.

Résumé : Recueil des poèmes de jeunesse de l'auteur, poèmes qui semblent bien lointains et étrangers de ses oeuvres plus tardives mais dont on retrouve les thèmes en écho dans l'ensemble de son oeuvre.

Résumé : Ce premier volume de la correspondance de l'écrivain aborde la genèse de ses premières oeuvres et dévoile l'influence de Joyce sur celles-ci. Ces lettres esquissent le portrait d'un Beckett hanté par la peur de la maladie et de la déchéance physique, mais fidèle en amitié.

Résumé : Ce 2e volume s'ouvre au début de la Seconde Guerre mondiale, période à laquelle S. Beckett écrit ses premières oeuvres en français. Il explique la construction de son esthétique dans ces lettres qui retracent la transformation d'un auteur peu connu en un écrivain de renommée internationale. Cette édition propose des notes et des biographies de correspondants. ©Electre 2015

Résumé : Molloy est un vagabond qui n'a pas de mémoire. Pour vivre, il invente sans cesse des histoires. Moran, détective de l'agence Youdi, enquête sur lui, mais est rapidement piégé en s'identifiant à lui.©Electre 2018

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