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  •    Sujet : Campagnes électorales
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Résumé : Le Conseil d'Etat ayant annulé, pour "don d'argent en période éléctorale", les élections municipales de mars 2008 à Corbeil-Essonnes (Essonne), une nouvelle élection est organisée à l'automne 2009. Le maire sortant, l'industriel milliardaire Serge Dassault, sanctionné par le Conseil d'Etat, ne peut se représenter. Il est pourtant omniprésent dans la nouvelle campagne, posant sur les affiches en compagnie de son remplaçant, organisant réunions et sorties pédestres dans "sa" ville, sur les marchés comme aux pieds des immeubles "sensibles", ne changeant en rien ses méthodes : "Dans quel domaine ceux qui ne travaillent pas voudraient-ils travailler?" demande-il à la cantonade, confondant à dessein les rôles de maire et d'employeur privé, brouillant l'image de ce qu'est un service public, sans parler de celle de la démocratie.

Contenu : Corpus de sites en français sur l’élection présidentielle française de 2017.

Résumé : L'organisation des élections législatives à la Réunion en 1963, à l'issue desquelles Michel Debré fut élu député par plus de 85% des voix. Mettant clairement en évidence des pratiques frauduleuses, "Sucre amer" resta longtemps interdit.

Résumé : La première élection présidentielle au suffrage universel direct de la Ve République a lieu en décembre 1965. La compétition pour l'Elysée est pleine de surprises et de suspense. Les Français se prennent de passion pour cette élection, à laquelle ils participent à plus de 84%. Du côté des candidats, le président sortant et instigateur de cette réforme, le général de Gaulle, va essuyer les plâtres alors qu'il se voyait élu dès le premier tour. Il se qualifie pour le second tour avec François Mitterrand, écartant notamment le démocrate-chrétien Jean Lecanuet. Au cours de la campagne, pour la première fois, une place égale est faite à tous les candidats dans les médias.

Résumé : En 1960, la bataille des primaires pour l'investiture démocrate à l'élection présidentielle américaine est ouverte dans l'Etat du Wisconsin. Face à Hubert Humphrey, sénateur local, John Fitzgerald Kennedy, alors sénateur du Massachussetts. Utilisant pour la toute première fois une petite caméra portable avec prise de son synchronisée, Robert Drew et son équipe (Richard Leacock, Terrence McCartney Filgate, Albert Maysles et D.A. Pennebaker) ouvrent la voie au cinéma direct. Bien plus qu'une simple chronique , "Primary" est l'un des films majeurs du cinéma-vérité et un témoin unique de l'art d'être homme politique , aux Etats-Unis, au début des années 1960.

Résumé : "Mars 1993, législatives. Nous filmons le troisième épisode de notre saga marseillaise, après Marseille de père en fils (1989) et La Campagne de Provence (1992). Le moins local des trois car le rejet massif de la gauche trouve ici sa traduction sans que les spécificités marseillaises ne troublent le jeu national : la mise à mort ayant eu lieu avant, on travaillait déjà sur les obsèques et le deuil. Cette nature de campagne impliquait un dispositif filmique particulier, deux types de mise en scène. La première, du côté de la production du discours : une déambulation physique et politique avec les acteurs sur l’usure des partis, le discrédit des hommes politiques et les interminables conséquences de la chute du communisme. L’étonnant est que les analyses, presque masochistes, semblent communes d’un bord à l’autre de l’échiquier politique. La seconde, du côté de la réception du discours : des scènes de campagne où les protagonistes sont aux prises avec leurs électeurs potentiels, le contact est rude. Marseille en mars : les hommes politiques vont mal et tout le monde le leur dit. " (J -L. C.)

Résumé : Législatives 1997 : Jean-Louis Comolli nous entraîne à nouveau dans un récit de campagne, mais cette fois-ci du côté du secret, presque de la conjuration... L’intrigue se noue autour du Front National. «Dans «La Campagne de Provence» (élections régionales, 1992), Jean-Claude Gaudin déclarait - haut et fort - refuser toute alliance avec le Front National. Pendant ce temps, Bruno Mégret constatait que le FN avait déjà remporté la victoire idéologique - et le film montrait combien la campagne de l’ensemble des partis se faisait sur ses thèmes, ses idées, ses mots d’ordre - et de renchérir «la victoire idéologique précède toujours la victoire politique». Cinq années ont passé depuis, Bruno Mégret cette fois est candidat à la députation. La victoire politique du Front National, dans les Bouches-du-Rhône en tous les cas, est une menace qui se concrétise de plus en plus et le jeu de la droite face à cette menace devient de plus en plus nuancé, de plus en plus partagé, de plus en plus dangereux. Alors il y a la campagne officielle - là où les déclarations tonitruantes figurent les assauts contre l’ennemi - et puis, comme en aparté, se joue plus subtilement la question des alliances » (Catherine Bizern) «Décrire pour dénoncer ne suffit plus. Forcer le trait pour dénoncer, non plus. (...) Filmer avec de la profondeur (de champ, de scène)... En relief, mettre en relief. Filmer le tournant politique du FN, c’est à dire travailler patiemment la pâte politique du moment, c’est à dire donner du corps et de la présence à l’ennemi, pour qu’il apparaisse dans sa puissance, tel qu’il est aujourd’hui sur la scène politique – une menace à prendre au sérieux. Ici, l’horreur n’est pas caricaturale. Elle est dans la pensée logique, dans le raisonnement, le calcul, la négociation. L’horreur est dans l’accomplissement de l’alliance la plus méditée. Faiblement encore, la parole politique ose articuler ce qu’elle s’interdisait quelques mois plus tôt.» (J.-L. C., «Trafic» n°24)

Résumé : De juin 1991 à juin 1992, neuf mois d'une bataille politique violente et angoissante, en Provence,à l'occasion des élections régionales.« J’ai voulu me livrer là à une grande réhabilitation des hommes politiques », expliquait Michel Samson, qui a vécu lui-même jusqu'à trente ans à Marseille et qui apparaît très souvent à l’écran, personnage à part entière du film, même s’il parle peu. De cent dix heures de rushes, Jean-Louis Comolli et Anne Baudry, la monteuse du film, ont dégagé caractères et intrigues, comme dans une tragédie antique : « Ce n’est pas un hasard si l’on parle de représentation, de scène ou d’acteur en politique : ce métier là se rapproche du théâtre. Il s’agit de jouer sur un mode symbolique nos haines et nos passions. »

Résumé : Mars 1989, les élections municipales. La ville va enfin trancher les conflits qui la rongent depuis la mort de son ancien maire, Gaston Deferre. Une seule question se pose : qui va lui succéder? «Le premier pari de ce film, écrit Michel Samson, c’était que les hommes politiques de la ville avaient des choses à dire sur la ville et sur leur fonction. Cela impliquait une seule chose, petite et immense : prendre le temps de les écouter. Longuement, patiemment. Au cours de ces séances qu’ils ont parfois dû trouver interminables, car ils sont plus accoutumés à parler vite et mal que lentement et bien, ils ont tous fini par parler. Peut-être parce qu’on ne leur demandait pas de livrer des secrets mais le fond de leur pensée – ou, plus encore, le fond de leur sentiment.» (Michel Samson) «Marseille de père en fils regorge d’histoires d’amitiés indestructibles ou trahies, de fraternités malheureuses, de fils prodigues et d’autres indignes, plutôt que de confrontations idéologiques. Le père est d’ailleurs la figure omniprésente de ce film, sauf que ce n’est pas le même pour tous. Il y a bien sûr, pour la gauche déchirée entre Robert Vigouroux et Michel Pezet, Gaston Deferre qui vient régulièrement d’outre-tombe donner, sourire aux lèvres, une leçon de politique ou de morale. Il y a, pour Jean-Claude Gaudin, le père réel à qui il déclare, dans une belle séquence, sa fidélité perpétuelle...» (Stéphane Bouquet, «Les Cahiers du cinéma» n°521). En contrepoint, des Marseillais qui viennent d’Algérie ou d’Arménie, nous disent comment ils aiment cette ville qui, parfois, le leur rend mal.

Résumé : Sixième film de la série "Marseille contre Marseille", il suit, en 2001, dans leur campagne électorale, deux femmes, toutes deux militantes socialistes, responsables politiques locales, filles d'immigrés maghrébins, nées dans les quartiers Nord de la ville, Samia Ghali( devenue députée en 2007) et Nadia Brya.

Résumé : Le réalisateur suit la campagne pleine de rebondissements des élections municipales de 2008 du village de Fleury d'Aude, en terre éminemment occitane du Languedoc.

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