Recherche simple :

  •    Auteur : Chevrier, Jean-François (1954-....)
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en rayon : 39

Voir tous les résultats les documents en rayons

Résumé : L'oeuvre photographiée du portraitiste.

Résumé : La poétique de Stéphane Mallarmé, complexe et ouverte, est aux origines de nombreuses recherches poétiques et plastiques tout au long du XXe siècle. Mais il s'agit de dépasser les notions de symbolisme, de modernisme et de poésie pure. J.-F. Chevrier interroge les textes et les oeuvres d'une centaine d'artistes et d'écrivains, des années 1850 à la fin des années 1960.

Résumé : En cinq textes, l'auteur propose un essai sur l'art moderne et contemporain. Il s'intéresse notamment aux liens qu'entretiennent art, littérature et architecture.

Résumé : À la fin des années 1980, Jean-François Chevrier organise deux expositions qui ont fait date : Une autre objectivité et Photo-Kunst. En montrant comment la photographie se définit dès son apparition comme un procédé d enregistrement et comme un outil artistique, comme art et technique, il la situe, et l'art moderne avec elle, entre les beaux-arts et les médias. Il analyse alors la manière dont les artistes photographes s'emparèrent d une forme historique, le tableau. Quatre essais décrivent et discutent cette évolution historique, depuis les premiers débats sur le nouveau procédé jusqu'aux développements actuels de l'art documentaire. Ils sont accompagnés d une série d études monographiques. Les commentaires des travaux de Suzanne Lafont et Patrick Faigenbaum sont précédés d'une analyse des tentatives photographiques des peintres Bonnard et Matisse, et d un texte sur le « vitalisme plastique » de Brassaï. L'étude substantielle du modèle photographique dans l' uvre de Gerhard Richter et celle sur Bernd et Hilla Becher s'accompagnent de textes sur les photomontages de Josef Albers et John Heartfield. Deux essais sur Michelangelo Pistoletto, « artiste du miroir » et de la « reprise photographique », sont suivis d'une étude de l'oeuvre documentaire et spéculative d'Ugo Mulas.. Un essai sur la photographie situant cet outil au carrefour de l'art et de la technique. Le recueil se compose d'essais thématiques qui discutent de l'évolution de la photographie depuis le XIXe siècle, jusqu'aux développements de l'art documentaire.

Résumé : En cinq textes, dont deux inédits, Jean-François Chevrier propose une nouvelle approche de l uvre de Walker Evans (1903-1975). Le premier est une étude image par image d American Photographs, le livre d Evans paru en 1938 à l occasion de sa première rétrospective au Museum of Modern art. Le texte suivant commente un reportage réalisé par Evans sur le parti communiste américain pour le magazine Fortune en 1934. L auteur analyse ensuite le faux vrai dialogue entre Evans et Henri Cartier-Bresson autour de leurs images d Amérique, puis la réception de l oeuvre d Evans par les artistes américains des années 1960, et ses échos dans les travaux photographiques de Dan Graham. Dans le dernier texte, il met en relation Many Are Called (1966), le livre constitué de portraits anonymes pris dans le métro new-yorkais à la fin des années 1930, et les portraits dramatiques, « anti-pop », d Andy Warhol.. Une analyse de l'oeuvre du photographe américain Walker Evans (1903-1975).

Résumé : L'auteur envisage le thème des relations du corps selon deux approches : celle de « lacadémie hors delle-même » et celle du « monstre », et privilégie les oeuvres de trois artistes du XXe siècle : Henri Matisse, John Coplans et Raoul Hausmann.

Résumé : Une histoire de la place de l'hallucination dans l'art et la littérature depuis le début du XIXe siècle, qui marque les débuts de la psychiatrie, jusqu'à nos jours. Empruntant la formule d'hallucination artistique à Flaubert, l'ouvrage analyse les oeuvres d'écrivains et d'artistes tels que Blake, Nerval, Rimbaud, Hugo, Munch, Kafka, Artaud et Joyce.

Résumé : Monographie sur l'oeuvre du photographe canadien. Présente son travail sur la photographie, le cinéma et la peinture, et l'association dans ses tableaux photographiques de références culturelles, visuelles et littéraires européennes et nord-américaines, d'éléments autobiographiques, etc.

Résumé : Partie du dessin, A.-M. Schneider a ensuite abordé la peinture et le cinéma (expérimental) sans jamais abandonner le vocabulaire primordial du trait. Ses sources d'inspiration se partagent entre une intimité sans complaisance, anatomique plus que psychologique, et l'appel de "l'extérieur", sous la forme de références à l'actualité ou la littérature. Séquence d'images, 4 films et texte d'analyse. ©Electre 2016

Explorer les sujets liés :