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Résumé : C'est l'histoire d'un livre sur le yoga et la dépression, la méditation et le terrorisme. L'aspiration à l'unité et le trouble bipolaire. Des choses qui n'ont pas l'air d'aller ensemble, et pourtant. C'est l'histoire d'un écrivain qui voit avec satisfaction qu'il a peut-être enfin réussi sa vie, trouvé un équilibre, et qui voudrait bien écrire un livre "souriant et subtil sur le yoga" qu'il pratique depuis 25 ans. Il dirait ceci : "Ce que j'appelle yoga n'est pas seulement la bienfaisante gymnastique que nous sommes si nombreux à pratiquer, mais un ensemble de disciplines visant l'élargissement et l'unification de la conscience. Le yoga dit que nous sommes autre chose que notre petit moi confus, apeuré, et qu'à cet autre chose nous pouvons accéder." Mais à peine lancé dans cette histoire, le beau tableau craque, les failles ressurgissent, les mensonges et les trahisons réapparaissent, l'abîme s'ouvre. La vie dérape. La vie intime et amoureuse, et la vie du monde également : terrorisme (attentats de Charlie Hebdo en 2015), crise migratoire... Et si tout n'était qu'illusions ? Non seulement Emmanuel Carrère propose un récit personnel de ce qu'est le yoga pour lui mais il en fait un formidable miroir romanesque pour raconter l'horreur de soi autant que la patience avec laquelle nous voulons aimer les autres, nous sauver, réussir notre vie.

Contenu : Procession. Childqueen. Another time lover. Delphine. Thoughts around tea. Joy. Wings. Mother maybe. Second wind. ...

Résumé : Qu'est-ce que Yin Yang, l'emblème de la pensée chinoise ? Le sinologue, écrivain et conférencier Cyrille J-D Javary nous propose, à travers un récit imagé, de revenir sur cette notion longtemps incomprise de la pensée occidentale. Réponse philosophique et pratique formulée par le peuple chinois face à l'alternance des saisons, Yin Yang pose pour principe que tout change perpétuellement et nous épargne ainsi la gageure aristotélicienne de devoir penser le monde de façon unitaire. Autrement dit, une chose peut être à la fois une et son contraire, tout dépend du moment et de l'endroit depuis lesquels on l'observe. Accepter cette harmonie originelle, c'est faire des rapports inédits dans des domaines qui nous sont familiers, comme l'authenticité de soi ou la séparation des sexes. C'est s'ouvrir à une réflexion qui ne cesse pas de désarçonner nos certitudes les plus ancrées

Résumé : Intellectuel engagé et professeur au Collège de France, Michel Foucault (1926/1984) est une figure contrastée. Mort du Sida en 1984, il a laissé une œuvre inachevée qui continue d'inspirer de nombreux penseurs de notre temps. Prison, éducation, folie, pouvoir, sexualité sont ses thèmes de prédilection. Le film de François Caillat fait dialoguer les concepts Foucaldiens parfois contradictoires avec maestria . Il nous guide dans l'élaboration d'une pensée qui se nourrit de la vie, mêlant extraits d'entretiens avec Michel Foucault, témoignages de penseurs ou anciens amis, images d'époque, interviews d'intellectuels d'aujourd'hui. (Source éditeur). "Trente ans après sa mort, Michel Foucault (1926-1984) est célébré dans le monde entier. Auteur d'un enseignement très riche, qui porte autant sur la critique des normes et des institutions que sur l'histoire des prisons, de la médecine, de la folie ou de la sexualité, ce philosophe-historien plaît aux libéraux, aux sociaux-démocrates, aux érudits et aux rebelles de tous bords. Les uns et les autres voient en lui, tour à tour, un ardent défenseur de l'invention de soi, un généreux réformiste, un somptueux commentateur des textes de l'antiquité greco-latine et, enfin, un brillant militant de la cause des minorités. En bref, l'œuvre foucaldienne est plus que jamais à l'ordre du jour (...)" (Elisabeth Roudinesco, lemonde.fr, 7 mai 2014).

Résumé : Structuré en six parties le film aborde la question ignorée et taboue du statut des praticiens à diplôme étranger hors communauté européenne. Au début un document d’archives : un groupe de médecins exhibent la pancarte : « Contre l’invasion métèque, faites grève ». La voix off commente : "cette photo de 1935 montre à l’évidence que la venue des étudiants et l’embauche de médecins étrangers dans notre pays n’est pas un fait nouveau et faute de les considérer comme des praticiens aux mêmes qualités que les nôtres on peut dévoyer les mouvements de revendications vers un tout autre chemin que celui qui est essentiel : soigner. » Plus d'un demi-siècle après, la parole est donnée à des praticiens originaires du Maghreb, d’Afrique noire, d’Amérique latine, d’Asie, d’Europe de l’Est dont les parcours sont exemplaires. Les chefs de service s’expriment sur les conditions de recrutement, de travail, de rémunération de leurs collègues, la précarité économique, affective, sociale à laquelle ils sont confrontés, position d’une extrême difficulté pour qui doit soigner c’est-à-dire répondre à la fragilité de l’autre. Pourtant ces médecins désirant rester en France pour des raisons politiques, économiques ou sociales font tourner les services d’urgences, pallient au manque de médecins, s’investissent dans leur métier, la recherche, leur relation aux patients. De plus être exilés induit une fragilité. Taïeb Ferradji, pédopsychiatre à l’Hôpital Avicenne aux côtés de Marie-Rose Moro énonce : « Partir n’est jamais chose facile même si c’est un choix délibéré et assumé. Il faut se défaire de tout ce qu’on a été, essayer de s’approprier les règles fixées par d’autres. Mourir un peu à soi-même pour exister à nouveau car il n’y a pas de retour en arrière possible. » Dans un tel contexte une hyperesthésie de l’hostilité peut être parfois dévastatrice dans la mesure où elle est capable de détruire le désir de soigner, d’être aux racines d’un doute paralysant car « la médecine française, milieu plutôt fermé, a peur de l’étranger. » Face à ce rejet jamais affiché mais ressenti des voix ont le courage d'affirmer qu’ « avoir un personnel polyglotte est une richesse ». Comme le souligne le Dr The-Dan Hoang cette situation interroge les mots gravés sur les frontons de toutes les mairies : « Liberté, Egalité, Fraternité »

Résumé : "Faire des photos, et faire des films, est une façon de toucher quelqu'un. Les gens sont devenus le thème majeur de mes collections. Collectionner ressemble fort à un acte de foi. C'est un acte de création, un moyen de se connaître en même temps qu'une occasion de prendre part aux passions d'autrui. Les photographies - et les films - cherchent le contact, et elles le trouvent. Depuis quelques années, je raconte l'histoire de mes amis ainsi que ma propre histoire. On pourrait dire que je fais un roman. Un roman avec des photos, des films, des cahiers, des dessins, des cartes postales, et encore une foule de choses que je collectionne, que j'accumule dans un vaste mais fragile musée sentimental et imaginaire. Cette façon de faire implique le don de soi (le sacrifice ?), la confrontation avec les autres (l'amour ?), la remise en question permanente de son être et de son paraître. L'amitié est devenue pour moi un langage. Grâce à l'acte photographique - et cinématographique - les amis photographiés - ou filmés - deviennent pour un moment des stars. Gloire éphémère certes, mais c'est le propre de la vie. Ainsi, depuis ce paradis perdu que nous nous entêtons à essayer de retrouver, nous cherchons à produire des images et des ombres dans les ondes de lumière et les poussières du temps, à croire en une magie qui peut accomplir les miracles brefs et éphémères." (Boris Lehman)

Contenu : [CD 1 - 1969-1975 ] Les choses de la vie (La chanson d'Hélène / Romy Schneider). La veuve Couderc (suite). Le chat (final). Max et les ferrailleurs (générique). César et Rosalie (générique). Le fils. Le train (la traversée). Liza. Deux hommes dans la ville (thème de Gino). La grande bouffe. La valise (le commandant). L'horloger de Saint-Paul (générique). Lancelot du lac (générique). Touche pas à la femme blanche. Vincent, François, Paul et les autres (générique). Le juge et l'assassin. Adieu poulet (générique de fin). [CD2 - 1976-1978 ] Le locataire (the tenant). Les galettes de Pont-Aven. Pas de problème. Sept morts sur ordonnance. Barocco (générique). La dernière femme (thème principal). Le juge Fayard dit le shérif Fayard (générique). Mado. Un taxi mauve. Des enfants gâtés (Paris jadis). La vie devant soi (générique). Le crabe-tambour (le crabe-tambour). Mort d'un pourri (mort d'un pourri). Rêve de singe (rêve de singe). Flic ou voyou. L'adolescente (suite). Le sucre. [CD3 - 1978-1982 ] Une histoire simple. Le toubib (générique). Tess (procession). Est-ce bien raisonnable?. La femme flic (suite). Le guignolo (guignolo romantique). Le mauvais fils (générique). Allons z'enfants (ouverture). Beau-père (belle fille). Contes de la folie ordinaire. Coup de torchon (je suis mort il y a si longtemps). Hôtel des Amériques. Il faut tuer Birgitt Haass. La guerre du feu. Le choix des armes. Une étrange affaire. J'ai épousé une ombre

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