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  •    Sujet : Cinéma et guerre
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Résumé : "Des cinéastes français qui ont réalisé ou travaillé sur des films de guerre, disent comment il se sont penchés sur leur vision du genre, son évolution, la difficulté à l'aborder, tant d'un point de vue moral que technique. Qu'est-ce qui décide un réalisateur à choisir ce genre ? Est-ce un désir de pédagogie, de divertissement, de "propagande" ? Et comment mettra-t-il en image sa guerre ? Pourquoi choisir de reproduire celle-ci et pas celle-là ? Y a-t-il une différence entre notre époque et celle plus ancienne de "Apocalypse Now" par exemple ? Quels sont les besoins spécifiques à ce cinéma de reconstitution ?" (souce Adavision)

Résumé : Un ancien militaire ayant servi dans l'armée de l'air américaine lors de la guerre du Vietnam, assis face caméra à la table de son salon, chacun de ses deux fils de part et d'autre, leur raconte comment, suite à une opération particulière, il fut décoré de la "distinguished flying cross". Le montage du film présente son récit en une succession de phases annoncées par un carton et encadrées par des séquences de la guerre, tournées par des opérateurs militaires sur le terrain, et resonorisées avec des musiques spécialement créées pour évoquer le temps écoulé depuis. Le témoignage du soldat Wilkerson en acquiert une véritable profondeur historique.

Résumé : ""La première fois que j'ai entendu parler d'Israël, c'était à Beyrouth, et à propos d'un plat de sardines. J'avais 6 ans, Israël avait 2 ans." Le plat de sardines trônait sur la table de la tante du cinéaste, à Beyrouth. Elle s'emportait contre les poissons, symboles du port où son mari travaille depuis qu'ils avaient tous deux dû quitter la Palestine. Le temps a dissipé sa colère. Sur le Golan, les ruines de Kuneitra, détruite par l'armée israélienne, un cinéma en ruines, un ami cinéaste originaire de la ville syrienne (Muhammad Malas) et la vision de familles qui se crient des messages par mégaphone interposé de chaque côté d'une ligne de barbelés : images d'un passé qui travaille douloureusement ceux que la frontière israélo-syrienne a séparés." Citation extraite du Catalogue du festival Cinéma du Réel 2006

Résumé : « Des maquis des indépendantistes algériens jusqu’à la création du Centre Audiovisuel d’Alger et des ciné-pops, l’Algérie a marqué à jamais la vie d’homme et de cinéaste de René Vautier qui est affectueusement considéré comme le "papa" du cinéma algérien. » Il est décédé en janvier 2015.Un coffret de édité en 2014, rassemble désormais 15 films (fictions et documentaires). Le film "Déjà le sang de mai ensemençait novembre" parcourt l'Histoire, depuis la conquête de l'Algérie à Sidi Ferruch jusqu'aux massacres du 8 mai 1945 en donnant la parole à des personnalités françaises ou algériennes.

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