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  •    Sujet : Conditions sociales -- Russie
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Résumé : "La Sarmatie, territoire transnational qui s'étend à l'Est de la Vistule, de la Baltique à la mer noire, Koepp la retraverse avec la jeune génération d'aujourd'hui, d'un pas aussi juste que celui de l'accordéoniste aveugle suivi dans les travées d'un marché. Russie, Lituanie, Biélorussie, Pologne, Moldavie, Ukraine : dans ces paysages qui ont inspiré les écrivains et subi les pires exactions, le cinéaste enregistre le long témoignage de plusieurs de ses jeunes amies- des propos d'une telle densité que ces femmes accèdent presque au statut de génies des lieux. Leur rapport à leur terre d'origine se résume en un mot - l'exil -, mais ce mot se déploie à l'infini : exil linguistique (du roumain appris en alphabet cyrillique sous le joug soviétique), exil affectif quand Elena dit n'avoir compris qu'au Musée de l'Holocauste de Washington que son village avait été le théâtre de meurtres de masse. Koepp capte enfin, avec une mélancolie jamais complaisante, le paradoxe douloureux selon lequel ceux qui refusent de s'exiler finissent par se sentir les plus solitaires de tous." Charlotte Garson, in Catalogue festival Cinéma du réel 2014

Résumé : Une jeune fille cherche par tous les moyens à rencontrer son prince charmant. Une réalisatrice décide de faire le point sur son propre couple. De la rencontre de ces deux histoires se dessine un tableau cinglant et drôle des vies et idéaux des deux femmes – issues de deux générations différentes – dans la Sibérie d’aujourd’hui, au cœur d’une société cruelle et avide.

Résumé : Loin de la grisaille et de l'agitation de la ville existe un autre territoire. Un territoire où se mêlent fête, escalade, et nature sauvage. Un territoire où se réfugier, s'aventurer, vivre ensemble. Un territoire où l'on vit, où l'on respire, comme rarement en Russie, la liberté.

Résumé : C'est l'hiver. Un arrêt d'autobus dans un bourg de Russie....Le paysage et les habitants, leur mode de vie et leur comportement sont embrassés dans un unique mouvement de caméra, un long travelling panoramique.

Résumé : Quelque part en Russie "Sergueï Loznitsa explore dans ce premier court-métrage un état limite à travers des images somptueuses où ténèbres et lumières se répondent. Comme il le fera dans les films suivants, le cinéaste choisit de filmer un lieu unique, la salle d'attente d'une gare, réunissant une communauté de passage, les dormeurs, dans l'attente de l'aube qui verra l'arrivée du train (...) Le son est aussi important que l'image, sinon davantage" (Serge Meurant, extrait d'Images documentaires n°50/51, 2004).

Résumé : "Un jour d'automne, je loue une chambre dans un appartement communautaire à Saint-Pétersbourg (Kommunalka, en russe). Je photographie ses habitants. Les années passent, hantée par mes anciens voisins, je décide de revenir filmer leur vie quotidienne" Françoise Huguier. Ce mode de vie, intimement lié à l'histoire soviétique de la Russie, n'en reste pas moins d'actualité.

Résumé : V. Kossakovski est né à Saint-Pétersbourg le 19 juillet 1961. C'était un mercredi. Le jour de ses 25 ans, alors qu' il doit renouveler la photographie de son passeport, il aperçoit chez le photographe de nombreux portraits de ses contemporains. Il décide alors de retrouver toutes les personnes nées à Saint-Pétersbourg le même jour que lui. Ce jour-là sont nés 50 garçons et 51 filles. Il lui faut 4 ans pour les retrouver et obtenir d'eux qu'ils soient filmés dans leur quotidien, le plus souvent chez eux. A travers ces rencontres dont il prélève des fragments de longueur inégales, Kossakovski esquisse la carte imaginaire d'une génération et s'interroge sur sa vie....

Résumé : Une route dans le désert, une famille à bord d’un minibus bringuebalant, une route rectiligne. A chaque étape, devant la poignée de spectateurs qui se trouvent au bord de la route, la famille donne un spectacle de cirque. Le fils soulève un poids avec ses dents. Le père fait marcher les plus petits de ses enfants sur du verre pilé. Un aiglon est capturé dans la steppe. Trop jeune pour voler, il observe d’un œil indéchiffrable le chien qui mange dans sa gamelle et les humains qui s’affairent.«Pourquoi ces images documentaires, si simples, exercent-elles un pouvoir d'émerveillement ? Dans "Highway", rien n’est en effet plus étonnant que cette sensation, à travers des images, de toucher la vie. Bouger, respirer, regarder… cohabiter au sein d’une famille qui parle peu. Dans "Paradis" (Scastje), l’émerveillement pouvait naître devant un enfant que l’on regardait lutter contre le sommeil avant de tomber – littéralement – de fatigue. Dans "Le Jour du pain", Dvortsevoï filme un coucher de soleil, et l’on ne se souvient pas d’en avoir vu un si beau au cinéma. Dans "Highway", c'est encore l’ordinaire qui se révèle extraordinaire. Réalité transfigurée. Presque sacrée…» (Ph. Piazzo, Aden, nov.-déc. 2001)

Résumé : Un jeune instituteur se souvient de l'arrivée dans son village de Biélorussie, un beau jour de 1939, de la nouvelle institutrice. Alors élève dans la classe où enseignait la jeune femme, Il en devint secrètement et profondément amoureux, et ne put jamais oublier cet amour de jeunesse...

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