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Contenu : Ce site présente la transcription des manuscrits de Madame Bovary.

Résumé : "Condamné à mort ! Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids !" Réquisitoire brûlant contre la peine de mort, "Le dernier jour d'un condamné" est une oeuvre incontournable, un des symboles majeurs de l'engagement politique de Victor Hugo. Pas à pas, mot après mot, nous suivons les derniers instants d'un homme condamné à mort marqué tour à tour par la peur, la révolte et la résignation. Face au réalisme des émotions contradictoires qui traversent successivement le personnage nous nous surprenons à nous identifier à lui et à partager sa lente agonie. Ainsi, c'est à travers la voix singulière et familière de Frédéric Mitterrand que nous redécouvrons la beauté, l'humanité et la puissance réaliste de l'écriture de Victor Hugo. Une lecture fine et profonde qui offre une résonance toute particulière à cette oeuvre courte mais saisissante comme un cri de rébellion humaniste.

Contenu : Comment je saurai. Y'a pas un homme qui soit né pour ça. Un mot de Prévert. L'air du temps. Les ombres. La solitude. Et un jour, une femme. Dix choses. Terre. Le temps joue contre nous. La légende de Carlos Gardel. Quelques mots

Résumé : La Chine, deux ans avant les Jeux Olympiques de 2008 : au centre de Pékin, non loin de la place Tiananmen, derrière d’imposants panneaux à la gloire du progrès chinois, un immense chantier de démolition. C’est le vieux quartier ouvrier de Qianmen qui fait peau neuve. Ici, sous prétexte d’assainissement et de lutte contre la misère, on rachète tout un quartier populaire pour le démolir et proposer à la place une nouvelle image de Pékin : projet politique conçu dans l’urgence, pour lequel il faut mettre à la rue plus de quatre cents personnes qui habitent encore ces maisons. Sans un mot de commentaire, plongeant directement dans la réalité quotidienne, Olivier Meys va au devant de ces hommes et de ces femmes, réduits à vivre dans les décombres de leurs foyers, qui refusent de partir et mettent en cause un pouvoir qui se joue des hommes et de leurs vies. De longs plans-séquences montrent la colère des habitants, leur révolte contre le montant des indemnisations et la spéculation foncière, leur détermination à rester jusqu'au bout, leur angoisse parce qu'ils ne savent où loger et n'ont pas l'argent nécessaire, la tristesse des relogés dans des tours de banlieue où ils ne connaissent personne.

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