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Résumé : En s'appuyant sur des rapports de police et des notes diplomatiques, ainsi que sur de nombreux extraits des textes de Victor Hugo lus en voix off, Axel Clévenot retrace l'exil de l'écrivain de 1851 à 1870. Les textes sont illustrés par des images tournées en décor réel, notamment à Jersey et Guernesey, par des mises en scène dans des décors créés à la palette graphique, inspirés des dessins de Victor Hugo, dans lesquels évoluent des acteurs incrustés par infographie, ainsi que par des dessins, encres, manuscrits, photographies. Le réalisateur a voulu opposer deux points de vue, l'œil du policier et le regard du visionnaire, donnant à voir deux conceptions opposées de l'ordre social et politique d'une époque. Contrairement au film d'Henry Colomer sur le même thème, qui donnait à entendre le souffle des textes de Victor Hugo, dans celui-ci, à visée pourtant plus didactique, on peine à entendre la voix de Hugo, noyée dans la musique et le flux du commentaire et des images. Le travail de création des décors (Jean-Damien Charrière) est considérable, mais le parti pris du réalisateur d'utiliser des comédiens en costumes n'échappe pas à une certaine imagerie d'Épinal.

Résumé : "Goulag", en quatre parties, évoque l'histoire des goulags analysant le système soviétique de répression, des îles Solovki à la Kolyma, par des extraits de films d'archives mêlés à des entretiens de survivants. A l'origine, c'est une colonie d'internement et de travail collectif où les détenus purgent leus peines. L'extrême rudesse des conditions de vie, la faim, le froid, l'épuisement, les mauvais traitements, enfin l'organisation concentrationnaire visent à anéantir physiquement et moralement l'individu. Les détenus politiques sont nombreux (les paysans réfractaires à la collectivisation, les intellectuels, les savants, les artistes...) et cohabitent avec les prisonniers de droit commun subissant souvent la loi du "milieu". En 1937-1938, Staline déclenche de vastes purges et des nouveaux camps de "redressement" sont créés. La délation est érigée en système.Il est encore difficile aujourd'hui d'établir des statistiques précises sur le nombre des arrestations et des éxécutions. Quinze millions de Russes auraient séjourné dans les camps. la moitié d'entre eux seraient morts."Le Génie du mal" est un film sur la vie du compositeur Alexandre L. Lockchine, accusé d'avoir été un dénonciateur. Il s'inspire de la biographie, du même titre, écrite par son fils.

Contenu : Sonate pour clarinette et piano, op. 167 / Camille Saint-Saëns. Andante et allegro / Ernest Chausson. Première rhapsodie / Claude Debussy. Sonate pour clarinette et piano, op. 164 / Francis Poulenc. Tema con variazioni / Jean Françaix. Méditation de Thaïs / Jules Massenet

Résumé : Fernando Pessoa, poète portugais, né et mort à Lisbonne (1888-1935) a peu publié de son vivant : quelques poèmes dans des revues et un seul ouvrage "Messagem". À sa mort, on découvre chez lui une malle pleine de manuscrits, que ses amis peu à peu vont éditer. Il est aujourd'hui considéré comme un des écrivains majeurs du XXème siècle. Il n'y a pas un auteur Fernando Pessoa, mais plusieurs. Auteurs distincts et qui, quoique fictifs et créés par Fernando Pessoa, ont leur style et leur univers propre. Pessoa les a nommés lui-même "hétéronymes". Dans le domaine de la production littéraire, Fernando Pessoa est un cas unique. Son œuvre renvoie à un processus de création complexe. C'est dire la difficulté à laquelle le réalisateur de cet essai cinématographique s'est confronté en tentant d'évoquer l'œuvre de l'intérieur, à partir de ses principaux thèmes et des mécanismes de création mêmes de Pessoa. "C'est une fiction, pour autant que l'œuvre de Pessoa, fiction de ses propres fictions, supprime radicalement la séparation entre le réel et l'imaginaire. Les textes de Fernando Pessoa proviennent des œuvres poétiques des hétéronymes majeurs, Alvaro de Campos, Alberto Caiero, Ricardo Reis, du "Livre de l'intranquilité" de Bernardo Suares et du "Cancioneiro"... Dans l'œuvre de Pessoa, c'est l'ouïe qui très souvent déclenche la vue; c'est le son écouté qui ramène des images, images suspendues "entre la vie et la mort, entre le souvenir et la perception, entre le mensonge et la vérité, entre la première fois et sa répétition". Les scènes et les personnages de ces récits de fiction ont été convoqués de façon analogue. Les textes de Pessoa s'intercalent entre les actions, entre les personnages, entre le personnage et lui-même.» (Jean Lefaux)

Contenu : 39. Los Angeles imaginary. Chimera. Alchimie. Ode to Aklaff. Jeux d'anches. Les treize soleils. Speed-freeze (part 1). Speed-freeze (part 2). Le seuil (part 1). Le seuil (part 2)

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