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  •    Sujet : Critique littéraire -- 1900-1945
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Résumé : A. Thibaudet (1874-1936) est le critique littéraire de "La Nouvelle revue française" dans l'entre-deux-guerres, l'auteur de "La république des professeurs" et d'une "Histoire de la littérature française". Fondée sur de nombreux articles et livres, de multiples correspondances et des inédits, cette biographie s'attache à montrer les divers aspects et apports de cette personnalité.

Résumé : Analyse des procédés rhétoriques et poétiques d'oeuvres de fiction ayant pour objectif d'inculquer une idéologie au lecteur, au fil d'oeuvres d'auteurs divers comme Barrès, Bourget, Malraux ou Nizan. ©Electre 2018

Résumé : Réflexion sur l'oeuvre des trois poètes et mise en lumière de la critique de l'esthétique romantique intrinsèque à leur écriture poétique qui ouvre la voie à de nouvelles définitions de la poésie. ©Electre 2015

Résumé : En marge d'une réflexion philosophique qui s'est efforcée de penser la modernité, M. Raimond présente ici une défense et illustration, mais aussi une critique du monde moderne, par les écrivains français de l'entre-deux-guerres.

Résumé : L'histoire du théâtre hongrois dans les années 1920-1930. Pensées pour un théâtre populaire, les pièces hésitent entre représentation réaliste et mise en scène des désirs des spectateurs, pour raconter le parcours de personnages volontaires s'efforçant de s'élever au-dessus de leur condition. Ce répertoire est ensuite importé à Broadway avant d'être acheté et adapté par les studios hollywoodiens.

Résumé : Le roman, qui en tant que genre décrit le monde « tel qu'il est », se devait d'être interrogé par le surréalisme. Ce qu'on trouve, c'est qu'il n'y a pas un roman surréaliste, ni des romans tous différents les uns des autres, mais que ces exigences démultipliées ont fait surgir quelques modèles fondamentaux de l'invention romanesque.

Résumé : Etude sur les mutations du paysage théâtral français entre 1914 et 1950. Si le théâtre de divertissement garde son public, le théâtre d'art, jusque-là dominé, élargit le sien grâce à l'action réformatrice de J. Copeau et du Cartel et au réinvestissement des poètes et des romanciers. La consécration de P. Claudel, l'avènement de J. Giraudoux, la marge avant-gardiste sont les signes d'un âge d'or. ©Electre 2016

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