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Résumé : Suite à son séjour en Espagne entre décembre 1936 et janvier 1937, la journaliste témoigne de la guerre civile et relate la lutte des républicains face aux fascistes. Elle décrit la situation politique et militaire ainsi que ses rencontres avec des combattants et des intellectuels de l'époque comme A. Malraux. ©Electre 2019

Résumé : Se penche sur la dimension révolutionnaire de la guerre civile espagnole. Analyse les causes de l'échec des révolutionnaires espagnols, souligne les renoncements des dirigeants anarcho-syndicalistes que l'insurrection populaire avait placés en situation d'exercer le pouvoir et de mener la lutte contre le fascisme. Les photos et les témoignages restituent l'ambiance de ces mois de tragédies.

Résumé : Essai sur la révolution espagnole, notamment le rôle du POUM par l'un de ses militants les plus représentatifs. Récit, enquête et témoignage de celui qui a côtoyé les compagnons de Victor Serge et de Léon Trotski, qui a dénoncé vivement les crimes staliniens et la dénaturation du processus révolutionnaire. Avec un portrait du révolutionnaire Andreu Nin. ©Electre 2016

Résumé : Staline fut en Espagne, comme en URSS, un bureaucrate cynique et un bourreau paré des couleurs de l'humanitarisme. Recherche et réflexion sont ici centrées sur les années 1936-1937, où éclate, mûrit et reflue la révolution espagnole.

Résumé : Lors de la révolution sociale espagnole de 1936, B. Durruti est un membre actif de la CNT à Barcelone. Pour défendre l'Aragon assiégée par les fascistes, il rejoint le front de Saragosse avec une colonne de 3.000 hommes. L'auteur étudie l'évolution des milices antifascistes dans un contexte de militarisation, notamment lors de la création de l'armée populaire de la République. ©Electre 2024

Résumé : Retrace l'histoire de la Colonne de fer pendant la révolution espagnole et analyse son enjeu politique. Elle fut l'emblème du refus de la militarisation des milices décidée par le gouvernement sous la pression du Parti communiste. Des faits minutieusement retracés au moyen d'interviews de certains survivants de cette colonne, et de nombreux documents de l'époque traduits de l'espagnol.

Résumé : Selon l'historien anglais C. Ealham, la construction, à partir des années 1830, du quartier de Barcelone dit "quartier chinois" (bien qu'aucun immigré chinois n'y habite) aurait été décidée par les élites barcelonaises de l'époque, qui voulaient écarter les classes populaires. Pendant la révolution de 1936, les comités des quartiers portèrent un projet de renouvellement urbanistique, faisant de l'urbanisme un instrument de la lutte des classes. ©Electre 2014

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