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Résumé : Analyse des outils permettant de comprendre l'évolution de l'art actuel. Evocation de Felix Gonzalez-Torres, Louis Althusser, Rirkrit Tiravanija ou Félix Guattari.

Résumé : De nombreuses contributions sur les expériences de partage dans l'art de la scène, à l'image de la participation, de l'immersion ou encore de l'interaction. Les auteurs interrogent l'art de la représentation dans ses dimensions intersubjectives, agissantes, imaginantes, cognitives et intermédiales. ©Electre 2018

Résumé : Le compositeur compare les pensées esthétiques européenne et japonaise avant d'interroger la temporalité et la spatialité de la musique, les notions de son et de timbre, ainsi que l'expérience de l'auditeur. L'écoute musicale est analysée dans sa dimension relationnelle et intersubjective. ©Electre 2018

Résumé : Essai dans lequel l'auteur élabore une esthétique environnementale, écologique et relationnelle à partir de la notion d'engagement esthétique, retournant la conception traditionnelle et kantienne d'une contemplation désintéressée. A partir de nombreux exemples issus des pratiques expérimentales du XXe siècle, il montre que le spectateur est devenu un contributeur du champ esthétique. ©Electre 2022

Résumé : Le philosophe met en évidence une forme de désinstitutionnalisation de la musique contemporaine née avec la révolution numérique. Adoptant un point de vue esthétique, historique et sociologique, il aborde la notion de musique relationnelle pour mettre en évidence un art désormais à la portée de tous et une pratique qui s'est démocratisée. ©Electre 2017

Résumé : Les contributeurs interrogent les formes d'hybridation entre l'art, le design et l'architecture, au-delà de la simple collaboration entre ces diverses pratiques. Leurs réflexions ouvrent de nouveaux champs sur le processus de création et la transversalité des expressions artistiques ainsi que de nouvelles perspectives en matière de pédagogie relationnelle et de recherche scientifique. ©Electre 2022

Résumé : Des études consacrées à la manière dont les cinéastes ont intégré les flux numériques dans la forme et le récit de leurs films, des fictions se déroulant intégralement sur l'ordinateur d'un personnage aux oeuvres qui réutilisent des images disponibles en ligne, notamment sur YouTube ou les caméras de surveillance. ©Electre 2022

Résumé : Des philosophes, des politologues et des historiens de la littérature étudient les systèmes de contrôle des flux migratoires et de la communication des sociétés modernes, ainsi que leur impact sur les sociétés démocratiques et les individus.

Résumé : Chercheurs et artistes croisent leurs propos transdisciplinaires pour explorer les paradoxes de l'ère contemporaine à propos de la crise de la présence humaine. Les auteurs soulignent la dualité entre présence et absence au coeur des expériences sensibles à l'heure des communications virtuelles, des écrans démultipliés et des villes exponentielles. ©Electre 2022

Résumé : Série d'entretiens avec le critique d'art Nicolas Bourriaud, créateur du concept d'esthétique relationnelle, promoteur des oeuvres de Pierre Huyghe et de Philippe Parreno ainsi que cofondateur du Palais de Tokyo. ©Electre 2016

Résumé : Une étude sur la filiation d'usages qui existe entre la télévision et Internet. Privilégiant la dimension corporelle, le chercheur, à travers le prisme des sciences de l'information et de la communication, a progressivement inséré d'autres disciplines telles que l'esthétique, la phénoménologie ou l'anthropologie visuelle. Avec un documentaire qui rend compte des méthodes visuelles utilisées.

Résumé : Comment décrypter les évolutions institutionnelles et marchandes qui définissent le contexte actuel de l'art, de ses médiations et de son marché ? L'étude de l'économie de l'esthétique relationnelle, apparue dans les années 1990, et du fonctionnement de deux sociétés financières jumelles d'ampleur mondiale, Artist Pension Trust et Mutual Art Inc, l'une destinée à sécuriser la vie économique des artistes adhérents au programme, l'autre à sécuriser les investissements des spéculateurs, offre des clés de compréhension passionnantes.Face à ces sociétés qui ambitionnent de contrôler le marché de l'art, face à ce qu'elles représentent et mettent en oeuvre de façon radicale et globale avec l'aide de curateurs et d'artistes, des choix s'imposent aux acteurs de l'art : y participer ou non. Cet essai fait le choix du refus, en expose les raisons et en appelle à une régénération de la critique d'art, inspirée par l'exemple d'artistes qui, tels la coopérative artistique Société Réaliste et Walid Raad, développent un art critique d'art sur le mode de la satire et de l'enquête.Un travail que la critique d'art a délaissé depuis longtemps, abdiquant toute fonction de contre-pouvoir et de contre-expertise au profit des investisseurs et des curateurs.

Résumé : Contributions d'un colloque (2011) mettant en relief la complexité des voix qui sous-tendent l'élaboration des étiquettes qui ont marqué l'histoire de l'art contemporain. L'ouvrage aborde également le système de l'art et tente de trouver les liens entre la critique d'art, la diffusion, la présentation, l'institutionnalisation et la patrimonialisation des oeuvres et l'historiographie.. « École », « mouvement », « avant-garde » ou autres « ismes »: l'historien d'art contemporain se réfère constamment à des catégories qui, loin d’être neutres, sont porteuses de discours. L’historicisation des « courants », tels que l’expressionnisme abstrait, l’art minimal, le Body-Art, le néo-expressionnisme ou encore le néo-dada, peut laisser entendre une forme de reconduction du projet des avant-gardes historiques. Mais leur statut ambigu – un courant recouvre-t-il un style, une période, un projet esthétique, un label ou une technique de marketing? – est symptomatique de la mutation profonde, depuis les années 1960, du fonctionnement du système artistique (marché, institution, critique), tout comme de la nature des intentions créatrices. Ce phénomène d’historicisation des pratiques sous forme de courants se poursuit sur les deux dernières décennies du XXe siècle (avec Esthétique relationnelle, les Young British Artists, le bio-art…), tandis que de très nombreux groupes, collectifs, coopératives ou entreprises continuent d’apparaître sur la scène artistique. À l’inverse des étiquettes mentionnées précédemment, leurs noms signalent un projet ou une intention commune – de l’Internationale situationniste et du groupe ZERO à Présence Panchounette, des Yes Men à Société Réaliste –, sans nécessairement suggérer l’élaboration d’une nouvelle esthétique. Si ces configurations, en tant qu’identités collectives arbitraires et autodéterminées, semblent également s’inscrire dans le legs politique des avant-gardes, elles le redéfinissent radicalement. Dépassant le simple constat de ce double héritage, paradoxal, du phénomène avant-gardiste, les études rassemblées dans cet ouvrage proposent de réfléchir aux stratégies de dénomination adoptées par les différents acteurs du monde de l’art, aux divers types de coalition définis ou revendiqués par les artistes, enfin aux pratiques artistiques que celles-ci recouvrent. (Présentation éditeur)

Résumé : Monographie la plus récente et la plus complète consacré à cet artiste belge d’origine espagnole héritier d’Ensor, de Broodthaers et de Beuys, connu pour ses performances et installations qui débordent et contestent l’esthétique dite relationnelle à laquelle on pourrait être tenté de les assimiler. Nous, les œuvres d’art…, avant d’être le titre emblématique de cette monographie presque exhaustive consacrée à plus d’un quart de siècle de création et d’actions artistiques d’Angel Vergara, né en 1958, incarne l’esprit de son œuvre dont l’ambition semble conjuguer le paradigme duchampien selon lequel tout peut accéder au statut d’œuvre d’art et l’injonction de Joseph Beuys qui invite chacun à devenir artiste, soit cette proposition paradoxale : tout le monde peut être une œuvre d’art. C’est que l’artiste entend repousser jusque dans ses derniers retranchements la distinction factice et idéologique propre au marché de l’art entre la scène et le public, entre l’art et la vie, en proposant notamment des cafés implantés dans des lieux à vocation culturelle qui ne soient pas de simples simulacres de commerces mais de véritables lieux de convivialité et de spiritualité où s’opèrent simultanément différentes formes d’échanges. C’est en effet ce principe que l’on retrouve à l’œuvre dans ses différents actions et interventions artistiques dans l’espace public, parfois à l’échelle de toute une agglomération comme à Revin (France), et plus généralement dans ses « actes et discours » sous la forme d’alter ego tels que Straatman, le Vlaamse Black, voire le roi des Belges ou celui de l’art, feu Jan Hoet. Que l’on ne se méprenne pas, il ne s’agit pas pour Angel Vergara de figurer des personnages, aussi archétypaux soient-ils, et encore moins de célébrer les œuvres d’art cristallisées et réifiées dans leur aura et leur lustre institutionnel — Angel Vergara n’est pas pour rien l’héritier du pyromane Marcel Broodthaers même lorsqu’il entre dans Bruxelles juché sur un camion de pompiers – mais d’activer des dispositifs qui entendent inscrire une éthique de l’échange au cœur même de l’esthétique comme moyen et jamais comme fin.©editeur

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