Recherche simple :

  •    Sujet : Femmes -- Conditions sociales
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en ligne : 148

Voir tous les résultats les documents en ligne

Résumé : New York abrite la communauté française la plus importante des Etats-Unis. A travers le portrait de cinq femmes expatriées dans la ville-monde, Pierre Brouwers compare les modes de vie à New York et en France. Chacune des cinq Françaises nous fait partager une tranche de vie articulée autour de son travail, de sa famille, et de ses activités quotidiennes. En filigrane : une étonnante redécouverte de New York. Un documentaire captivant.

Résumé : Dans la région du lac Naivasha, au Kenya, pullulent les fermes horticoles produisant chaque année pour plus de 400 millions (chiffres de 2009, indiqués dans le film) d'Euros de fleurs vendues ensuite aux enchères aux Pays-Bas, employant , dans le pays de production, plus de 300 000 personnes.Mais à quel prix le Kenya est-il un des maillons les plus productifs de la filière de l'industrie mondialisée des fleurs? Sur place, en 2009, le réalisateur découvre des conditions de travail d'un autre âge : la plupart des directeurs et chefs d'équipe sont des hommes, la plupart des employés sont des femmes, travaillant de 7 h du matin parfois jusqu'à 11 h du soir, recrutées pour leur jeune beauté , et contraintes de coucher avec leur supérieur si elles veulent garder leur emploi, quant elles ne sont pas licenciées dès qu'elles tombent malades, contaminées par les produits chimiques employés sans protection dans les fermes. Les petits pêcheurs locaux souffrent de la pollution du lac dans les eaux duquel se déversent directement les eaux usées des fermes, faisant se raréfier les ressources halieutiques, tandis que les employés revendicatifs de l'application de la législation du travail ne voient pas leurs contrats renouvelés et sont contraints soit au chômage non indemnisé, soit à la pratique de rudes travaux dans le secteur informel, comme celui de founir de l'eau (du lac!) , transportée en bidons à dos d'ânes, à la population locale, l'Etat n'assumant pas ce devoir de service public.Et , comme l'indique un des employés , ce ne sont pas les films publicitaires tournés par les sociétés propriétaires des fermes pour attirer les touristes et les investisseurs qui rendront compte de cette réalité cachée. Le film , lui, y parvient admirablement.

Résumé : Dans "A la Petite Roquette", Marguerite Duras interroge la directrice de la prison pour femmes de la Petite Roquette, aujourd'hui fermée.

Contenu : Site bibliographique anglophone sur les femmes en Afrique élaboré par un bibliothécaire américain spécialiste de l'Afrique.

Résumé : Publié en 1975, ce texte est le premier en France à avoir publiquement dénoncé la pratique de l'excision.

Résumé : A propos de son film tourné en 2005 au Maroc et dans des banlieues françaises, dans l'accompagnement d'une caravane de femmes Marocaines informant et sensibilisant les populations, particulièrement les femmes maghrébines , à propos de l'injustice et de l'obscurantisme dont elles sont encore , et parfois plus que jamais , victimes , de la part de leur entourage bafouant leurs droits élémentaires d'êtres humains, le réalisateur J.P. Thorn écrit ceci : "Filmer la beauté des femmes, leur courage, leur intelligence...plutôt que toujours la haine, le "sang à la une" du terrorisme, dans lesquels se complaisent trop souvent des médias qui n'aboutissent qu'à stigmatiser le monde arabe et paralyser d'effroi nos démocraties. Le cinéma du côté des planteuses d'arbres, plutôt que de celui des incendiaires ou des pompiers (aussi héroïques soient-ils!). Oui, il existe dans le monde musulman (jusqu'ici, dans nos banlieues) un formidable mouvement des femmes pour la liberté et l'égalité. C'est un espoir pour l'humanité ! "J.P.Thorn signe un film de résistance de la vie contre le racisme de genre.

Résumé : Ajuma, 60 ans, récemment veuve, est une «fiancée de guerre» coréenne. Elle a épousé un Américain à la suite de la guerre de Corée, a émigré aux Etats-Unis et coupé les ponts avec la terre de ses ancêtres sans jamais réussir à s’intégrer à sa nouvelle famille, ni à s’adapter à l’American way of life. «And Thereafter II» rappelle «L’Histoire du Japon racontée par une hôtesse de bar» de Shohei Imamura. Comme dans le film d’Imamura, le film repose sur la relation de confiance et d’amitié qui s’établit peu à peu entre le cinéaste et son personnage. Le refus initial d’Ajuma d’être filmée par peur de raviver des souvenirs pénibles, sa solitude, son repli, sont vaincus par l’insistance du réalisateur : « S’instaure alors entre eux un jeu du chat et de la souris où se mêlent la séduction, la manipulation et la sincérité, l’intérêt et la générosité, le flirt et les scènes (…) Hosup Lee se sert d’intertitres pour dévoiler, au cours du film, son making of, et confronter avec humour le projet initial avec ce qu’il devient entre les mains d’Ajuma : au chat et à la souris, la souris gagne toujours. » (extr. du catalogue du festival Cinéma du réel 2007)

Résumé : Enregistrement de cinq entretiens diffusés sur France-Culture du 7 au 11 janvier 2013. Cofondatrice du MLF, psychanalyste ou encore députée européenne, Antoinette Fouque revient sur son parcours, depuis son enfance à Marseille jusqu'à aujourd'hui.

Explorer les sujets liés :