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- Tous les mots : Grotesque (littérature)
Documents en ligne : 16
par Wright, Thomas (1810-1877). Auteur du texte
A. Delahays (Paris)
1875
Résultat de Gallica : Monographies
Dans Presses universitaires de Rouen et du Havre
par Bessire, Adrien
Austriaca
2023-09-26T02:00:00Z
Résultat de OpenEdition : Journals
par Gautier, Théophile (1811-1872). Auteur du texte
Michel Lévy frères (Paris)
1853
Résultat de Gallica : Monographies
Dans Société des Hispanistes Français
par Checa Vaquero, Diana
HispanismeS
2024-01-30T01:00:00Z
Résultat de OpenEdition : Journals
Dans Réseau interuniversitaire d'étude des littératures contemporaines du Río de la Plata
par Mallol, Anahí
Cuadernos LIRICO
2023-07-24T02:00:00Z
Résultat de OpenEdition : Journals
par Wright, Thomas (correspondant de l'Institut). Auteur du texte
au bureau de la "Revue britannique" (Paris)
1867
Résultat de Gallica : Monographies
Dans Université de Lille – Laboratoire CECILLE ULR 4074
par Fasquel, Samuel
Atlante
2023-06-22T02:00:00Z
Résultat de OpenEdition : Journals
Dans Réseau interuniversitaire d'étude des littératures contemporaines du Río de la Plata
par Bragado, María José Bruña
Cuadernos LIRICO
2023-07-24T02:00:00Z
Résultat de OpenEdition : Journals
Dans Université de Lille
par Lerousseau, Andrée
Germanica
2018-01-26T01:00:00Z
Résultat de OpenEdition : Journals
par Boulouque, Clémence. intervenant(s) ; Manea, Norman. intervenant(s)
Bibliothèque publique d'information
2008
Résultat de Replay
Résumé : Ancien acteur shakespearien, nostalgique d’un grand théâtre perdu, le personnage de "Simplement compliqué" s’autorise une fois par mois à porter la couronne de Richard III, le rôle de sa vie. Souvenirs de théâtre, préoccupations matérielles et considérations misanthropes rythment le discours de celui qui s’est définitivement séparé de ses contemporains : seule lui rend visite une petite fille, qui vient lui apporter du lait tous les mardis et vendredis, et dont la présence perturbe à peine le flot de paroles du vieil homme. Triste et grotesque, il est désormais le spectateur d’une vie qui s’est arrêtée.
par Hugo, Victor (1802-1885) ; Garel, Pierre-François (1985-....)
Editions Theleme
2012 -
-
Consultable à la Bpi
Résumé : Victor Hugo publie en 1827 sa pièce Cromwell qu'il présente comme le premier drame romantique. S'inspirant de l'art théâtral de Shakespaere, il propose une démarche nouvelle débarrassée des conventions passéistes de la tragédie, dont principalement celle de l'unité de temps, de lieu et d'action. Le drame raconte une histoire réelle, les héros sont humains et le vil côtoie le noble. L'espoir peut se transformer en actions, en tentatives de jouer son propre destin, mais le héros romantique est souvent maudit car la société et le peuple, qui font alors leur entrée sur scène, imposent une forme de fatalité et empêchent les hommes de réaliser leurs désirs. Cette conception de la nouvelle littérature fait l'objet de la Préface à Cromwell, où Victor Hugo explique la nécessité de refléter la société moderne telle quelle est : la scène de la vie, grotesque et misérable, noble et pleine d'espoir. Ce court texte rappelle les différents âges de la littérature et signe la rupture définitive qu'opère le Romantisme tel que Victor Hugo le fonde ici par écrit, et tel qu'il se révèlera lors de la bataille d'Hernani, en 1830. C'est le mouvement littéraire qui réunira sous son drapeau des auteurs tels que Chateaubriand, Lamartine, Musset, Sand, ou encore Nerval...
Résumé : Un soir de février, une voiture se dirige lentement vers un hameau isolé, au bout de l'autoroute, au-delà des collines, des friches et des bois. Dans le véhicule, deux frères. L'un d'eux vient toucher l'héritage du cousin Joseph, un ermite qui vivait dans une vieille masure. Un secret espoir les anime : ce sauvage a forcément dû laisser derrière lui un magot, des bijoux, quelques pièces d'or... Pour ces citadins revenus sur les lieux de leur enfance, (leur père et leurs ancêtres reposent tous dans le cimetière de ce hameau d'une vingtaine de toits), cette chasse au trésor va inaugurer la plus surprenante des aventures intérieures. Comme dans les anciennes tragédies, l'action se déroule sur deux journées d'un hiver qui semble ne jamais vouloir finir. Les dieux qui régissent cette terre sont grotesques et terrifiants. On les nomme Alcool, Hiver, Solitude... Ce 'pays perdu' où l'on n'arrive qu'en s'égarant, ne se dérobe-t-il pas depuis toujours ?