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Résumé : Drawing on letter books and ledgers, diaries and journals, Peter Holland reveals how the first European settlers learned about their new environment: talking to Māori and other Pākehā, observing weather patterns and the shifting populations of rabbits, reading newspapers and going to lectures at the Mechanics’ Institute. Examining the knowledge they built up by these routes, Holland lays out how the settlers grappled with droughts and floods, worked out which plants and animals made sense, and worked out how to beat erosion and rabbits. - Note de l'éditeur

Résumé : Une réflexion sur la place de la femme noire dans une société où la masculinité, la blanchité et l'hétérosexualité sont la norme. L'auteur souligne l'urgence de briser les silences institués et met en avant les productions intellectuelles des femmes noires de l'histoire. ©Electre 2019

Résumé : Contributions dédiées à l'étude des conséquences de la mobilité géographique des personnes sur la construction de la connaissance, dans les domaines des sciences, des techniques et de la médecine, à l'époque de la Chine impériale tardive. Sont étudiés les cas des fonctionnaires, des artisans, des praticiens médicaux mais aussi des missionnaires catholiques ou des médecins coloniaux français. ©Electre 2018

Résumé : Cet ouvrage retrace les efforts déployés par la France pour établir une économie d'exportation du coton dans le Soudan français, du début du XIXe siècle à la fin de la Seconde Guerre mondiale. La culture du coton et la production artisanale de textiles ont longtemps constitué une part importante des économies régionales indigènes d'Afrique occidentale. Au XIXe siècle, l'industrie textile cotonnière française s'est développée au moment où la recherche de coton brut est devenue un enjeu central pour la France et son entreprise coloniale. Malgré les efforts importants déployés pour faire du Sénégal, puis du Soudan français, les sources privilégiées de matières premières, les politiques françaises ont échoué du fait des intérêts contradictoires des industriels, des fonctionnaires coloniaux, des experts en travaux publics, des agronomes et des marchands français vivant en Afrique. Mais la principale raison de cet échec est que les producteurs africains ont refusé de vendre leurs récoltes aux marchands français ou à l'État colonial. Les demandes locales et régionales de coton et de vêtements étaient plus incitatives pour les producteurs et les artisans. En montrant comment une économie locale à base régionale a résisté avec succès à la pression des marchés capitalistes européens et aux aspirations coloniales, l'ouvrage jette une lumière nouvelle sur l'hypothèse concernant le caractère des économies coloniales et leur intégration dans les marchés d'exportation mondiaux. Il remet ainsi en question l'idée selon laquelle l'hégémonie politique, militaire et intellectuelle des élites coloniales se traduisait directement ou facilement par une hégémonie économique régionale.

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