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Résumé : Les choix de Sharon et Sharona Galsulkar, derniers éducateurs de la communauté Bene Isarël, diaspora juive à la veille de disparaître, installée dans la région de Bombay depuis 2000 ans.

Contenu : Moje Rece = Mes mains. Ani Maamin = J'attend le Messie. Wo das Lager steht = Là ou il se dresse le camp. Moyshe'lech shloime'lech. Tancz Dziewczyno! = Danse, jeune fille. Es brent = Ca brûle. Song von der kuhle = Chanson du ventre creux. Erev from Kippur = Le soir de Kippour. Spalona Matka = La mère brûlée. Die exekution. Zog nit keinmol = Ne dis jamais : c'est mon dernier chemin. Kartoschsky = Des patates !. Shtiler-shtiler = Silence, silence !. Judischer Todessang = Requiem juif. Dos yiddishe kind = L'enfant juif. Ukrzyzowany = Le crucifié 1944. Die Lebende Steine. Nizkor = Souvenons nous. Was uns auch begegnet hier = Ce que nous avons trouvé ici

Résumé : Le réalisateur, né en Ethiopie, qu'il a quittée pour Israël à l'âge de 6 ans, dans le cadre de l'opération Moïse des Nations-Unies, n'a pu être rejoint par sa famille que 6 ans après. Après le traumatisme de la séparation et de l'intégration dans une nouvelle société, c'est alors à la redécouverte de son identité culturelle et familiale d'origine qu'il a dû faire face. Mais c'est à son frère adoptif Sisaï, lui aussi né en Ethiopie et arrivé en Israël avec la famille du réalisateur, qu'il consacre son film. Sisaï, au moment du film, est en train de terminer son service militaire dans l'armée israélienne, va lui-même devenir père, et apprend que son père biologique, resté en Ethiopie, et qu'il n'a jamais vu, est retrouvé...La rencontre avec ce père, chrétien pratiquant, dans son pays natal, est un grand moment qui aide Sisaï à recoller tous les morceaux de son identité, malmenée entre l'Ethiopie, la guerre qui y a fait rage et a été à l'origine du départ en Israël, Israël, le judaïsme, la chrétienté et la laïcité. Le lien entre tous ces éléments est constitué par le père et la mère du réalisateur, également parents adoptifs de Sisaï, également déracinés dans leur pays d'accueil, mais porteurs et transmetteurs, à leur manière discrète mais indestructible, de ces valeurs universelles que sont l'amour des parents pour leurs enfants, la bienveillance envers ses semblables humains, quels qu'ils soient, d'où qu'ils viennent et quoi qu'ils aient pu faire (le père biologique de Sisaï a disparu un jour sans explication, en abandonnant la mère et l'enfant à naître -il s'est avéré, lors des retrouvailles, qu'il avait lui-même été victime de la guerre en cours).

Résumé : Avi Mograbi déteste le mois d'Aout. Au fil des trente et un jours de ce mois quelconque, il sillonne les rues avec sa caméra, rattrapé par la paranoïa et la violence quotidienne en Israël.

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