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Résumé : "Hana vient tout juste d’avoir dix-huit ans. Elle vit au Caire et a participé à la Révolution dès le premier jour, le 25 janvier 2011. Elle cherche, avec la grande spontanéité qui la caractérise et le regard neuf d’une jeune fille qui découvre l’engagement politique, un moyen de s’impliquer activement dans un changement en profondeur du pays. Dans sa famille, au sein d’un nouveau parti politique, dans son groupe d’amis avec qui elle crée un journal, ou encore dans la rue à la rencontre d’autres Égyptiens, elle essaie de trouver une place pour faire entendre sa voix."(film-documentaire.fr)

Résumé : Interviewé chez lui peu avant sa disparition, Nico Papatakis (1918-2010) raconte son parcours, de sa naissance d’une mère résistante éthiopienne et d’un père grec à ses rencontres avec Jacques Prévert, Jean-Paul Sartre ou Jean Genet, en passant par ses exils successifs. Selon lui, le cinéma est une arme de combat. Les extraits des "Abysses" (1963) des "Pâtres du désordre" (1967) ou des "Equilibristes" (1991) illustrent pleinement son adage. Dans le cadre sombre d'un appartement, le cinéaste, éternel exilé, parle de sa solitude. Il veut donner à voir le sentiment d’humiliation qu’il a toujours ressenti. Son cinéma est dès lors une œuvre de révolte, mais vouée à l’échec comme il l’explique en lisant un passage de son livre "Tous les désespoirs sont permis" (Fayard, 2003). Il soutient d’autres révoltés : en France, il produit "Un Chant d’amour" (1950) de Genet avec qui il vit une amitié houleuse ou, à New York, aide Cassavetes à finir "Shadows" (1959), un cinéma loin des codes d’Hollywood. Son premier film, "Les Abysses", allégorie de la Guerre d’Algérie, fait scandale à Cannes, racontant la révolte de bonnes contre leurs maîtres. Il évoque également la torture par le biais d’une comédienne qui joue une terroriste arabe et doit apprendre à bien crier, dans "Gloria Mundi" (1975, sorti en 2005). Son travail sur l’image et le son fuit le réalisme pour créer un cinéma paroxystique, qui passe sans cesse du tragique au grotesque.

Résumé : L'auteur a partagé le quotidien des habitants de l'isthme de Tehuantepec au sud du Mexique. Ces derniers luttent depuis 2011 contre l'installation d'un parc éolien. Il mêle récits de leurs rencontres, analyses politiques et réflexions historiques. Le film (2015) se situe entre le carnet de voyage et l'essai historique. ©Electre 2018

Résumé : Un essai consacré au documentaire Palmyre de Monika Borgmann et Lokman Slim. Réalisé lors de la révolution syrienne avec des Libanais détenus dans la prison de Palmyre, il mêle témoignages et scènes de reconstitution, jouant sur plusieurs temporalités. ©Electre 2022

Résumé : Synthèse sur les mouvements collégiens, lycéens et étudiants à Lyon et sa région durant la période de mai 1968. L'enseignement privé et les réformes issues de ces événements sont notamment abordés. Une analyse du film L'horloger de Saint-Paul de Bertrand Tavernier sorti en 1974 complète l'ouvrage. ©Electre 2023

Résumé : Quatre journalistes francophones se trouvaient à Pékin au printemps de 1989, E. Meyer était de ceux-là. Il a vécu le soulèvement étudiant et essaye de comprendre. Voici le film des évènements. ©Electre 2019

Résumé : Le film ne décrit pas seulement le mouvement de mai en France mais souligne la dimension internationale de la contestation étudiante partout présente dans le monde en 1968. C'est une vaste fresque évoquant les principaux évènements de cette année là. Aux Etats-Unis, c'est l'éclosion du phénomène hippy en Californie avec sa musique et ses drogues et les manifestations sur les campus américains ; C'est aussi l'assassinat de Martin Luther King et de Robert Kennedy, la radicalisation de la guerre du Vietnam. En Tchécoslovaquie, le Printemps de Prague est écrasé par les chars soviétiques et Jan Palach s'immole par le feu. A México, à la veille des jeux olympiques, la révolte des étudiants se solde par un massacre. Des émeutes éclatent en Allemagne, à Madrid, Rome : partout, l'université semble la plaque tournante de la révolution. En France, elle commence sur le campus de Nanterre. Cohn-Bendit en est le principal meneur. L'escalade de la violence menace de transformer la révolution en guerre civile et met en echec le gaullisme. Mais cette "révolution manquée va révolutionner la société". 1968, ce sont les illusions perdues dans le bloc de l'Est comme à l'Ouest. Réalisé à partir d'archives souvent inédites, d'extraits de films, sans interviews ni témoignages avec une musique très présente recréant l'atmosphère de l'époque (Bob Dylan, Janis Joplin...etc.), c'est un documentaire qui peut mener à la réflexion.

Résumé : Les auteures interrogent la façon dont les artistes représentent la violence au Mexique depuis 1968, année marquée par des révoltes et notamment le massacre de Tlatelolco. Parmi les oeuvres étudiées, se trouvent les romans de l'écrivaine Elena Garro, de l'auteur Roberto Bolano et le film Roma d'Alfonso Cuaron. ©Electre 2021

Résumé : Nouvelle édition de C'est toujours la vie qui gagne (*) dans une version enrichie et augmentée, notamment par deux reportages en Grèce qui montrent les bouleversements en cours dans ce pays. * Initialement publié en 2011 aux Editions Choiseul. Ce qui enchante, c'est la multiplicité des niveaux de lecture selon que l'on est rêveur ou cynique, pessimiste ou optimiste. Au premier degré, c'est Tintin au Congo. Courts récits d aventure, truffés d'anecdotes drôles ou terrifiantes. Personnages falots ou truculents, romanesques ou pathétiques. A lire avec gourmandise. Un peu de recul et l'on côtoie Don Quichotte. Monde brutal et dérisoire où la mégalomanie et la Kalachnikov transforment les voyous en héros et réciproquement. Sur le fil du rasoir entre utopie romantique et mers de sang. A vivre comme un film d action avec les bons et les méchants, stars et figurants de nos actualités. Mais Bertrand Rosenthal nous livre aussi un peu de son intimité professionnelle. Celle que, par éthique, il a, au fil d'une carrière de reporter, volontairement assignée à résidence en son for intérieur. Le métier d informer impose un devoir de neutralité qui contraint à tempérer les émotions, à bannir admiration et mépris, jubilation et colère, amour et haine. Etre témoin, c'est n'être ni juge ni partie, ni ami ni ennemi. Pour autant, l homme n'est pas de bois. Ces élans refoulés se gravent en quelques notes prises à la volée sur un coin de carnet, émois griffonnés pour donner à la mémoire son lot de consolation. Sans leçons à donner. Juste pour rendre un peu de leur liberté à des tranches de vie ou de mort sacrifiées sur l'autel de l objectivité journalistique. Les coups de gueule sont feutrés, les révoltes tamisées, les impuissances domptées au fouet de l'ironie. Avec l'humour en guise d'espérance. Comme une ombre de L'Etranger. Fidel Castro compare la révolution à une bicyclette : plusieurs vitesses, mais pas de marche arrière. L'image vaudrait-elle pour l'humanité ?

Résumé : Dans cet essai, l'auteur évoque le combat moral qu'il a mené contre son père, Veit Harlan, réalisateur du film Le Juif Süss (1940), considéré comme l'une des pires productions antisémites de l'Allemagne nazie. Son fils révolté raconte comment il a tenté d'obtenir de son père l'aveu de sa faute. Il évoque également l'hypocrisie de la société allemande contemporaine vis-à-vis du IIIe Reich.

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