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Résumé : Pourquoi les mangas passionnent-ils autant de lecteurs de tous âges à travers le monde ? Y a-t-il une formule magique au succès des mangas shonen One Piece, Dragon Ball, Bleach, My Hero Academia… ? Avec plus de cent cinquante planches présentées, cet ouvrage, parfait guide tant pour les novices que pour les amateurs, décrypte tous les types de personnages (héros, méchant, sensei…), les mythes fondateurs, le langage, les lieux d'apprentissage ainsi que les étapes cruciales de la formation des héros. Revivez les folles aventures de Naruto, Goku, Luffy et leurs amis, et plongez dans l'univers merveilleux des mangas !

Résumé : La 4e de couv. indique : "La ville de Saint-Étienne se dévoile comme un laboratoire vivant d’exploration des qualités d’usage des espaces publics, rue, ruelle, place, parc, square, friche, parvis, trottoir, passage, escaliers… Ce livre en décrit pas à pas les méthodes, les expérimentations et leurs résultats. En un faisceau de points de vue, les enquêteurs guident le cheminement du lecteur. Selon leur curiosité, leur étonnement ou leur connaissance singulière, selon leurs compétences disciplinaires ou d’usage, plus de cent trente étudiants, enseignants, habitants, chercheurs ou praticiens, ont prélevé dans le réel des représentations subjectives de la vie urbaine sensible. Ils relatent des expériences de promenades et décrivent des scènes ordinaires observées ou enregistrées. Les « je » et les « nous » ne figurent pas des auteurs mais procèdent d’une mise en partage et en débat dès l’énonciation puis au moment de la retranscription écrite. Le lecteur peut entrer à son tour dans l’espace de la connaissance intersubjective, soit parce qu’il est lui-même un fin connaisseur de la ville, soit au contraire parce qu’il découvre telle ou telle ressemblance ou dissemblance avec bien des caractères d’autres villes qui lui sont familières."

Résumé : La 4e de couverture du volume 1 indique : "S’étendant sur une période de plus de 500 ans, le royaume méroïtique a étendu son influence jusqu’aux bords du Nil Moyen. Bien qu’il soit difficile d'en déceler clairement les limites précises, ce royaume couvrait environ mille cinq cent kilomètres de la vallée du Nil, depuis la frontière égyptienne jusqu’au sud de l’actuelle ville de Khartoum, ainsi que des territoires annexes à l’est et à l’ouest. L’objectif premier de cette étude est de comprendre l’organisation des centres urbains aux bords du Nil en établissant des comparatifs entre les sites précédemment fouillés (tel le palais de Ouad Ben Naga), les palais et les grandes demeures de Méroé (la capitale antique) et le site de Mouweis actuellement fouillé par le musée du Louvre. Bien que l’on ne soit encore que peu au fait des évolutions politiques et culturelles marquant la naissance de l’empire méroïtique, au milieu du premier millénaire avant Jésus Christ, il est évident qu’une conception rénovée du pouvoir émergea à cette époque : un nouveau noyau étatique fut établi, dont il est encore difficile de délimiter l'étendue ; une grande diversité, manifeste à travers le matériel et l’architecture, donna lieu à des particularités régionales étonnantes. De tels exemples constituent une excellente source d’information sur le contrôle étatique de ces régions. Il semble, en effet, que le pouvoir se soit diffusé par l’intermédiaire des grandes structures administratives et religieuses : l’apport des données récentes permet d'appréhender plus précisément les relations entre le palais et le tissu urbain associé, ainsi que leurs zones d'influence périphérique."

Résumé : Dans l'Europe d'Ancien Régime la pauvreté est endémique. Elle est tout à la fois un risque conjoncturel (auquel on répond par la culture des terres communes, la pluriactivité de toute une famille mise au travail, les engagements de biens au mont-de-piété contre de microcrédits ou la migration saisonnière de métier), un état structurel (auquel on espère échapper par les déménagements constants, la contrebande et le vagabondage, l'illégalité et la mendicité) et une exclusion (qui conduit à l'abandon des enfants ou à la prostitution). La massivité du phénomène induit de la part des autorités des réponses dont la diversité va de la peur devant ces miséreux, qu'il convient d'enfermer dans des institutions qui les mettraient au travail pour leur redressement moral, à la dénonciation des insupportables inégalités sociales et économiques qui retranchent de l'humanité commune des individus qui ne demandent que leurs droits. En 1777 l'Académie des sciences, arts et belles-lettres de Châlons-sur-Marne met au concours la question des « moyens de détruire la mendicité en rendant les mendiants utiles à l'État sans les rendre malheureux ». Jamais aucun concours n'a attiré autant de participants : cent vingt-cinq mémoires sont envoyés ; ils constituent la meilleure introduction aux débats d'alors sur la pauvreté et aux questions qui agitent les élites. S'y esquissent nos questions d'aujourd'hui :comment parler des pauvres ? De l'inégalité ? Des dominés de la famille patriarcale ? De la charité, avec sa variante moderne de la philanthropie, et de l'impôt ? De l'accès au marché des plus démunis devenus des défavorisés ? De leur liberté de choix ? De l'appartenance des pauvres à la société des citoyens ? De leur mise en capacité de prendre leur destin en main ? Rarement, en histoire sociale, un siècle passé apporte autant de lumières sur nos défis les plus contemporains

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