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Résumé : Numéro consacré à l'architecte Philippe Madec, pionnier français du développement durable en urbanisme et en architecture, retraçant son parcours, ses réalisations et ses engagements, de l'ouverture de son atelier à la fin des années 1980 jusqu'au lancement de son appel pour une frugalité heureuse en 2018.. Sommaie : Mairie et médiathèque (Plourin-lès-Morlaix). - Quartiers Mondonin et Beausoleil (Pacé). - Places de Guébriant, du marché et de la cathédrale (Saint-Pol-de-Léon). - Nouveau cimetière de Beausoleil (Les Sorinières). - Écoquartier horticole des Noés (Val-de-Reuil). - Étude prospective Durance 2050, région PACA. - Écoquartier de Montévrain et son cœur agro-urbain (Marne-la-Vallée). - Cité Paul-Boncour (Bordeaux). - 21 logements locatifs sociaux PLI (Paris 20è). - Le Mercator, 36 logements sociaux (Nantes). - Viavino, pôle œnotouristique du Pays de Lunel (Sainrt-Christol). - Maison du lac de Grand-Lieu (Bouaye). - La N.U.I.T., internat d'excellence (Montpellier). - Nouvelle église, sanctuaire Notre-Dame du Laus (Saint-Étienne-Le-Laus). - Restauration et aménagement du Grand Palais (Paris 8è). - Maison du Parc des Labyrinthes "Mysterra" (Montendre). - Établissement de plage Les Palmiers, plage de Pampelonne (Ramatuelle). - Médiathèque et maison des réfugiés, rue Jean-Quarré (Paris 19è). - Hôtel industriel Serpollet (Paris 20è). - Maison de la nature du parc écologique Izadia (Anglet). - Musée archéologique du Château de Mayenne (Mayenne). - 18 logements collectifs et sociaux et 3 équipements de la petite enfance, ZAC Beaujon (Paris 8è). - 96 logements collectifs sociaux et privés (Saint-Nazaire). - 14 maison passives en location (Le Havre). - Tranformation d'une écurie en maison (Plouguin). - L'Aria, médiathèque, salle de conférences, salle de spectacle (Cornebarrieu). Un article tête-bêche , p. II-XXVIII "Fragments". - N° de : "We Archi", (2019)n° 4

Résumé : L’agence Berger & Berger a été créée par Cyrille Berger, architecte, et son frère Laurent P. Berger, artiste plasticien. Ensemble ils mènent un dialogue ininterrompu entre l’architecture et l’art, qui interroge notre rapport à l’espace et à l’environnement.A l’heure où les crises écologiques nous somment de repenser et de réinventer notre manière d’être au monde, le temps des « bâtisseurs » semble bel et bien révolu. Les Berger en attestent par une pratique du retrait et l’humilité de gestes quintessenciels, tant dans les champs de l’art que dans leur manière de répondre à des projets de construction.C’est ainsi qu’ils tendent vers une œuvre épousant notre environnement, en soulignant la nécessaire réconciliation des concepts de nature et de culture. Constatant l’irrévérence dont nous faisons encore preuve à l’égard de notre environnement, ils nous invitent à repenser la manière dont nous agissons sur lui et, par l’art, à nouer de nouveaux liens avec lui. (Source : Volume)

Résumé : Louis XIII architecte ? On savait son père Henri IV épris d'architecture et grand roi bâtisseur. Mais on ignorait ce goût de Louis XIII pour l'art de bâtir. Il se révéla avec le château de Versailles, première manière, qu'il conçut lui-même, avant d'en faire remettre les plans au maçon avec l'ordre exprès d'oeuvrer "conformément aux dessins et élévations qui en ont été faits par Sa Majesté ". Au début du XVIIe siècle, Versailles est encore un petit bourg tranquille et avenant, situé sur le flanc méridional d'une butte relevée au milieu d'un vallon nommé "le Val de Galie". Son charme bucolique a conquis le jeune roi passionné de nature et de chasse qui, en 1623, s'implante d'autorité sur la terre du prieuré, en y faisant bâtir une maison isolée au sommet de la hutte. Jean-Claude Le Guillou, historien et lui-même architecte, retrace l'élaboration patiente du futur château de Versailles et montre le roi prenant plaisir à parfaire le chantier de sa demeure qu'il désire toujours plus belle. L'on comprend ainsi pourquoi Louis XIV a toujours voulu préserver l'oeuvre de son père au milieu des somptueuses constructions dont il l'a environnée. Au fil des pages, s'écrit aussi l'histoire du village de Versailles, de ses seigneurs et de ses habitants, des origines médiévales jusqu'à l'installation royale. En illustration, les reconstitutions minutieuses de cartes, plans et perspectives dessinés par l'auteur permettent de se représenter en un seul coup d'oeil ce Versailles avant Versailles.. Le roi Louis XIII décide en 1623 la construction d'une demeure au sommet d'une butte du prieuré de Saint-Julien de Versailles. Il réussit à réunir les terres usurpées au seigneur du prieuré, le village et la campagne environnante pour n'en faire qu'une seule et unique entité, l'actuel château de Versailles. Récit de l'histoire du château et de l'évolution des lieux.

Résumé : Le premier recueil d'écrits et de discours traduits en français d'Adriano Olivetti (1901-1960), entrepreneur et éditeur italien qui a transformé son usine d'appareils d'écriture et de calcul en un laboratoire d'expérimentation d'un nouveau modèle de vie sociale, politique et culturelle : un modèle d'« utopie concrète » fondé sur l'idée de communauté et centré sur l'individu, dont les instruments de réalisation sont l'architecture, l'urbanisme et le design.L'œuvre vise à faire découvrir au public français la figure d'Adriano Olivetti, un entrepreneur-intellectuel qui, à travers son usine de machines à écrire, a œuvré pour un renouveau de la société et de la culture italiennes après la Seconde Guerre mondiale.L'architecture – des usines, des services sociaux, des activités collectives – le design – des machines à écrire ou à calculer – l'art – des artistes, écrivains, graphistes qu'Olivetti impliquait dans ses projets – sont les éléments qui contribuent à améliorer la vie de l'usine et de la communauté, en apportant qualité, beauté, dignité. Les activités d'Olivetti rayonnent depuis Ivrea, une ville proche de la frontière française et qui a récemment été inscrite par l'UNESCO sur la liste du patrimoine mondial en tant qu'exemple de « ville industrielle du XXe siècle ».Les textes ont été composés par Olivetti à des occasions particulières, dont certains ont ensuite été rassemblés par Olivetti lui-même dans une anthologie en 1960 et réédités récemment par Edizioni di Comunità , la maison d'édition qu'il avait fondée en 1946. La pensée d'Olivetti, que les textes choisis illustrent, est encore aujourd'hui au centre des débats en Italie et dans d'autres pays, en raison de l'originalité de ses objectifs et de l'ampleur de ses buts, qui visent à réunir tous les aspects de la vie humaine.Cet ouvrage est constitué d'une collection d'écrits et de discours d'Adriano Olivetti, organisés en trois sections différentes : l'usine et la communauté, le travail et ses fins, l'architecture et l'urbanisme. Afin de fournir un cadre historique et d'illustrer l'actualité de la pensée d'Olivetti, les textes sont précédés d'une introduction d'un historien et critique d'architecture, Fabio Gallanti, directeur du musée arc en rêve de Bordeaux, qui présente la pensée et l'activité d'Olivetti, en l'illustrant dans son contexte historique et culturel et en proposant ses aspects les plus originaux et actuels. Une postface du président des Edizioni di Comunità , Beniamino de' Liguori Carino, illustre le projet de maintenir vivant et de diffuser le patrimoine culturel qu'Adriano Olivetti a construit.. Adriano Olivetti (1901-1960), ingénieur, entrepreneur, éditeur et homme politique italien, a dirigé l'entreprise de machines de bureau fondée par son père Camillo, de la fin de la guerre jusqu'à sa mort prématurée et soudaine. En 1948, il fonde le Movimento Comunità en tant qu'« expérience de nouvelle politique », centrée sur la personne, l'autonomie et le fédéralisme. En 1958, il transforme le mouvement en parti politique et entre au Parlement lors des élections politiques.Attentif aux questions territoriales et urbaines, il reprend la publication de la revue Urbanistica, dont il devient le rédacteur en chef en 1949. De 1950 à 1960, il est président de l'Institut national d'urbanisme, qui a été refondé. En 1946, il fonde les Edizioni di Comunità et le journal mensuel politique et culturel Comunità. Il est le promoteur d'autres initiatives d'édition de périodiques : Metron, Sele Arte, Rivista di filosofia, Zodiac.Pour construire le siège d'Olivetti et concevoir les machines de bureau, Adriano a fait appel à des architectes italiens et internationaux de premier plan : les Bbpr, Gabetti et Isola, Marcello Nizzoli, Luigi Cosenza, Eduardo Vittoria, Le Corbusier.

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