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Résumé : "Depuis 40 ans, je photographie notre planète et j'ai le sentiment que l'humanité n'avance pas. Pourquoi ? Ce n'est pas dans les statistiques que j'ai cherché la réponse, mais dans l'homme. Pendant deux ans, nous avons parcouiru 72 pays, fait plus de 2000 interviews pour aller à la rencontre des autres, ceux dont on parle et surtout ceux dont on ne parle jamais, ceux qui pour la première fois racontaient leur vie. C'est toute cette richesse de la parole humaine qui est le coeur de Human" Y. Arthus-Bertrand

Contenu : Sparkling rain. Rendez-vous. Vie est un jeu (La). My lips on your lips. Bird of prey. Parfum. Fevers and candies. Saticula. Dangerous guy. Porcelaine

Résumé : En 1964, le jury de la Biennale de Venise décerna pour la première fois son Grand Prix à un artiste américain, Robert Rauschenberg. Une initiative que l'on interpréta communément comme une reconnaissance définitive de la migration de la scène artistique mondiale, de Paris vers New York. Néanmoins, s'il est indéniable qu'à partir des années soixante les artistes d'Outre-Atlantique triomphèrent, les créateurs européens ne furent pas en reste. Pour preuve, la pléthore de mouvements dont ils se révélèrent aux fondements : le Nouveau Réalisme, l'Abstraction lyrique, la Figuration narrative, la Nouvelle Figuration... Dix-neuf artistes majeurs, d'Adami à Zao Wou-Ki, en passant par Arman, Buren, Corneille ou Combas, témoignent ici pour nous et élucident le sens de leurs pratiques respectives. Réalisé à partir du fonds de l'Encyclopédie audiovisuelle de l'art contemporain (Imago), Michel Onfray a souhaité que la Galerie et les Éditions Frémeaux & Associés éditent ce document sonore incontournable sur l'histoire de l'art contemporain

Résumé : Pierre Dumayet raconte la vie de Pierre Louÿs : son amitié de jeunesse avec André Gide et Paul Valéry, les rencontres littéraires, Verlaine, Mallarmé, le lancement de la revue "La Conque" en 1891, la rencontre et l'amitié avec Oscar Wilde, la rencontre avec Debussy, les amours successives et contrariées, les poèmes érotiques, le succès des "Chansons de Bilitis" et celui encore plus grand d'"Aphrodite", en 1896. Tandis que les différents personnages apparaissent dans la vie de Pierre Louÿs, leur portrait photographique apparaît peu à peu dans un bain de révélateur chimique. Pierre Louÿs a en effet beaucoup pratiqué la photographie. Ces portraits forment des albums recomposés au gré des rencontres, des amitiés et des brouilles. Le commentaire de Pierre Dumayet est également illustré de documents extraits des "Tiroirs" de Pierre Louÿs (photographies, fiches, agendas, ... ) conservés à la Bibliothèque de l'Arsenal.

Résumé : Il y a tant d'images dans le monde qu'on croit avoir tout vu. Tout pensé. Depuis des années, je cherche une image qui manque. Une photographie prise entre 1975 et 1979 par les Khmers rouges, quand ils dirigeaient le Cambodge. À elle seule, bien sûr, une image ne prouve pas le crime de masse ; mais elle donne à penser ; à méditer. À bâtir l'histoire. Je l'ai cherchée en vain dans les archives, dans les papiers, dans les campagnes de mon pays. Maintenant je sais : cette image doit manquer ; et je ne la cherchais pas - ne serait-elle pas obscène et sans signification ? Alors je la fabrique. Ce que je vous donne aujourd'hui n'est pas une image, ou la quête d'une seule image, mais l'image d'une quête : celle que permet le cinéma. Certaines images doivent manquer toujours, toujours.

Résumé : "Tout commence par des objets. Matthieu Chatellier, qui dialogue de derrière la caméra avec les membres d'une communauté Emmaüs de la région Caennaise, reconnaît des assiettes, des meubles qui ont bercé son enfance. Mais il n'a guère le temps de sombrer dans la nostalgie : tous les hommes qu'il filme sont actifs, suractifs, même, triant et vérifiant des vêtements selon des règles strictes, étiquetant chaque meuble d'un entrepôt plein à ras bord, sans cesse énergisés par leur capacité de transformer de l'informe en objet, le rebut en or. A l'évidente satisfaction de voir un tel système amender des vies fracturées succède une émotion singulière qui s'exhale de chaque portrait....Avec la même concentration que l'un des hommes qui photographie une minuscule petite fleur rose, le cinéaste et sa monteuse restituent le présent de ces vies dépolies par le voyage perpétuel. A la référence biblique du compagnonnage d'Emmaüs, le film substitue via son écoute, ses cadrages et sa lumière, une symbolique ulysséenne." Charlotte Garson, in Catalogue festival Cinéma du réel 2014

Contenu : Collection de parcours interactifs sur des sites archéologiques d'intérêt national et international, présentant la vie des hommes d'autrefois de la préhistoire au Moyen Age.

Contenu : CD : 1 Barbara. L'entrecôte. Complainte mécanique. La gavotte des batons blancs. Le général castagnetas. Si tu t'imagines. Compagnons des mauvais jours. Les halles de Paris. Tournesol. En ce temps-là. Papa peint dans les bois. Barbarie. Chanson pour un jour de pluie. Jour de colère. La queue du chat. La saint Médard. Monsieur William. Page d'écriture. Voila les footballeurs. Général à vendre. CD : 2 Les vieux messieurs du Luxembourg. Ode. C'était un mérovingien. Tchin pon pon. Buffalo bar. Qu'avez-vous à déclarer ?. Totor têtu. Faut bien qu'on vive. Chanson pour les enfants l'hiver. La Marie-Joseph. La violoncelliste. La voix du sang. Le cirque. Le complexe de la truite. Les boîtes à musique. Place de la Concorde. Quelqu'un. Chanson de l'oiseleur. Chasse à l'enfant. Deux escargots s'en vont à l'enterrement. CD : 3 En sortant de l'école. Et la fête continue. Inventaire. L'orgue de Barbarie. La demoiselle de bas étage. La fête. La pêche à la baleine. Le cauchemar du chauffeur de taxi. Le gardien de phare. Le miroir brisé. Vas-y papa. La belle Arabelle. Au bal des gens de maison. Des souris et des chats. Dolly 25. Enfance. Eugenie de Beaulieu. Faut tout ça. La femme du monde. Le poinçonneur des Lilas. CD : 4 Le tango interminable des perceurs de coffres-forts. Shah shah shah persan. Chanson mécanisée. L'homme-sandwich. La marquise a dit. La vierge éponine. Le petit homard. Les bonnes. Les catcheurs. Petite fable sans morgue complainte des petits cabinets. Stanislas. Le concours Lépine. Adelaïde. La rue des blancs-manteaux. Le moucheur de chandelles. Le twist agricole. Les barbouzes. Les don Juan. Un amour en Italie. Le corbeau et le renard. CD : 5 Les quatre jupons. Fleur d'atelier. Le moineau de Paris. Tu finiras sur les planches. Béton armé. L'étrange concert. Marie scandale. Ah si mon moine voulait danser. C'est ça l'rugby. C'que c'est beau la photographie. Chanson sans calcium. La fontaine profonde. La lune est morte. Le fric. Le loup de mer. Mon père y m'a marié. Nos quatre cents coups. La confiture. La ceinture. La chasse aux papillons

Résumé : "N'attendez pas qu'il soit mort pour lire Régis Jauffret". Cette exhortation légendait un portrait pleine page de l'écrivain Régis Jauffret qui, en 1985, dans "Libération", avait fait le choix de ce support publicitaire pour faire son entrée dans le monde des lettres. Ce souci affiché de l'écrivain pour sa propre image ainsi que sa revendication d'une littérature "sans image" seront les leitmotive récurrents du film de Dominique Brard. Deux personnages donc, un homme, Régis Jauffret, et une femme, Amandine Pudlovska, comédienne. Des bruits de pas les ont déjà précédés à l'image. Ils marcheront tout au long du film, sur une scène de théâtre dans le noir, dans les rues de la ville la nuit, sorte de ballet déambulatoire ponctué de nombreuses lectures alternant avec les poses silencieuses des séances de photographie. Certaines des questions posées par la réalisatrice, et qui sous-tendent la structure du film, feront l'objet de l'entretien avec Régis Jauffret, réalisé à Paris le 23 janvier 2005. L'écrivain s'attardera tout particulièrement sur son roman "Clémence Picot" paru en 1999 aux Éditions Verticales, roman auquel il attribue son "passage dans l'âge adulte de l'écriture".

Résumé : En mai 1991, les cosmonautes Anatoli Artsebarski et Sergeï Krikalev quittent la terre à destination de la station MIR dans le cadre de la mission «Ozon». Tandis que le commandant Artsebarski retourne comme prévu sur terre après cinq mois, l'ingénieur de bord Sergeï Krikalev est contraint de rester dix mois en orbite : à Moscou, se déroule le putsch qui entraîne la disparition de l'empire soviétique. L'absence de pesanteur n'est pas un handicap pour faire un film : une caméra 35 mm à bord du vaisseau est dirigée de la terre par le directeur de la photographie Vadim Yusov, connu pour son travail avec Andreï Tarkovski. Ainsi sont filmées : la vie des cosmonautes, l'apesanteur, les manœuvres, et notamment la jonction avec les vaisseaux qui amènent d'autres équipes à bord, les images de la terre à toutes les saisons... C'est un document unique. «Le film d'Andrej Ujica est celui d'un pionnier, celui de la future déterritorialité du monde. Récit de l'antigravité, il illustre pour la première fois cette «chute d'en haut» caractéristique de la prochaine fin du monde [...] Film d'un survol inutile, «Out of the Present» est l'œuvre du premier metagéophysicien Andrej Ujica, celui qui n'attend plus rien.» (Paul Virilio)

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