Recherche simple :

  •    Sujet : Protection, assistance, etc.
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en ligne : 83

Voir tous les résultats les documents en ligne

Contenu : Les APAJH, associations pour adultes et jeunes handicapés se mobilisent pour faire avancer la réflexion et l'action en faveur des personnes en situation de handicap

Contenu : Ce site présente l'activité et l'actualité du Ministère, des dossiers thématiques sur l'insertion professionnelle des personnes handicapées, l'accessibilité, les aides et prestations, l'emploi...

Contenu : L'UNHCR coordonne l'action internationale pour la protection des réfugiés.

Résumé : De décembre 2006 à février 2007, Fernand Melgar filme la vie quotidienne dans le Centre d'enregistrement et de procédure de Vallorbe, à la frontière franco-suisse , de demandeurs d'asile , et du personnel chargé de les accueillir . Hommes, femmes, et enfants, venus du monde entier(Kurdistan,Lituanie,Irak,Colombie, Erythrée, Togo...) espèrent être admis à séjourner définitivement en Suisse.A cette fin, aux cours d'entretiens, ils doivent convaincre le fonctionnaire chargé de faire le tri des dossiers, de la légitimité de leur démarche.Ce fonctionnaire prendra la décision seul, non sans avoir longuement réfléchi, douté, cherché, ce dont le film rend compte avec une particulière acuité.Malgré la bonne volonté de ce personnel à l'esprit remarquablement ouvert ,les demandes n'aboutiront pas toutes.Et le film se termine sur cette question évidente mais qui reste toujours sans réponse : quel est le destin des personnes dont le dossier n'a pas été accepté?

Résumé : "Sans musique, la vie ne mériterait pas d'être vécue" résume Bernard Lechevalier, chercheur Inserm et pionnier en France des recherches sur les liens entre la musique et le cerveau. Ce film à la fois scientifique et poétique montre combien la musique et la danse peuvent métamorphoser la vie quotidienne de patients atteints de la maladie d'Alzheimer. C'est ce qui fut observé entre 2010 et 2013 pour une quinzaine de personnes de l'association OSE accueillis en séjour thérapeutique à l'Abbaye de La Prée par les petits Frères des Pauvres et Pour Que l'Esprit Vive. Cette expérience, commentée par des spécialistes des maladies neurodégénératives, des chercheurs en neurologie, neuropsychologie, psychologie cognitive et par des artistes, interroge également notre rapport à la maladie et à sa prise en charge.

Résumé : Un homme témoigne des circonstances qui entourent la disparition d'une enfant et porte avec difficulté le lourd poids de son silence et de son inaction.

Résumé : Un hiver au cœur d’un hébergement d’urgence pour sans-abri à Lausanne. A la porte de ce souterrain méconnu se déroule chaque soir le même rituel d’entrée qui donne lieu à des bousculades parfois violentes. Le personnel a la lourde tâche de trier les pauvres : femmes et enfants d’abord, hommes ensuite – de tous horizons, et de plus en plus d’Europe… Alors que la capacité totale de l’abri est de cent places, seuls cinquante élus seront admis à l’intérieur et auront droit à un repas chaud et à un lit. Les autres savent que la nuit va être longue.

Résumé : Au Burkina Faso, L'Arbre d'en face accueille des enfants orphelins ou abandonnés. Tout en les protégeant et en assurant leur éducation, l'Arbre en face cherche un membre de leur famille prêt à prendre en charge l'enfant. Pour chaque enfant à la croisée des chemins entre le centre et sa famille une question fondamentale se pose : vaut-il mieux placer l'enfant auprès de son nouveau tuteur, qui risque de ne pas pouvoir lui offrir toutes les conditions matérielles et éducatives propices à son épanouissement, ou faut-il garder l'enfant au centre au risque de lui faire perdre ses racines ? Durant trois ans, entre juillet 2009 et mai 2011 le réalisateur a suivi Salimata, Oumou et Binta, les plus anciennes pensionnaires du centre dans leur retour auprès de leur famille, les tâtonnements et allers et retours ainsi que les tentatives de renouer les liens que cela suppose.

Résumé : "De tout temps, les hommes se sont infligés les uns les autres des violences destructrices, individuelles ou de masse. Quand elle n'y perd pas la vie, chaque victime en est profondément traumatisée. Lorsqu'il est possible d'y recourir s'engage alors parfois une thérapie où chacun va tenter de comprendre, de surmonter cette violence qui est entrée en lui avec fracas... La violence extrême intentionnelle ou organisée provoque des effets qui vont au-delà de l'effroi et de la douleur. Les repères qui soutenaient jusque-là l'individu sont détruits, les fondements de l'humanité même sont touchés". Le film suit le travail de thérapeutes qui, face à des victimes et des agressions très diverses se retrouvent confrontés au visage universel du traumatisme. Ainsi assistons-nous à quelques moments des séances de musicothérapie de Mya, 14 ans, avant le procès qui doit reconnaître son statut de victime d'abus sexuels de la part de son demi-frère. Le recours au son et au rythme dans la thérapie est une aide pour accéder à la parole lors du procès et se reconstruire. Christian Lachal, psychanalyste et ethnopsychiatre, responsable des programmes de santé mentale de MSF (Médecins sans frontières) visite des enfants rescapés, Ahmed Ala et Barra, de Raffah dans la Bande de Gaza lors de séances de thérapies familiales avec traducteur. "Quelquefois on est surpris parce qu'on a l'impression que les gens sont souriants. On les voit dans des maisons et on a presque l'impression que tout va bien ; alors qu'il y a des tirs à côté, des trous dans le mur. Il s'agit déjà d'une hyperadaptation par rapport à une situation anormale qui est une situation de guerre. Dans de telles situations les gens tentent de maintenir coûte que coûte la vie quotidienne. Cette nécessité permet aux populations de supporter l'insupportable." Christian Lachal souligne et interroge le fait que les enfants puissent grandir avec la violence (sans cesse réactivée par les événements, la guerre) sans qu'elle devienne le noyau de leur être, de leur personnalité. Stéphanie, 29 ans, violée à Paris, une après-midi, a décidé de suivre une psychothérapie avec Carole Damiani de l'association Paris Aide aux Victimes. Ce travail de reconstruction repose également sur le corps, comment la victime a vécu l'agression dans son corps, comment le corps a réagi, comment retrouver du plaisir. "Le travail est non seulement intellectuel (la thérapie) mais aussi un travail de sensations (retrouver des émotions corporelles) pour ensuite pouvoir les lier à des mots" (Carole Damiani). Pour Jean, survivant du génocide du Rwanda, réfugié puis adopté par une famille québécoise en 1999, la thérapie s'est engagée à l'hôpital de Montréal avec deux psychologues, Cécile Rousseau et Déogratias Bagilishya d'origine rwandaise. Ces quatre témoignages et le point de vue des différents thérapeutes montrent qu'après un traumatisme le retour comme avant est impossible, qu'il y a perte et deuil nécessaires d'une identité antérieure et émergence d'une nouvelle identité qui peut être fragmentée. "L'histoire de la violence humaine dans ses formes les plus extrêmes porte le jamais plus et la répétition. La conscience de notre côté lumière et de notre côté ombre suppose un position d'ambivalence par rapport à nous-mêmes et aux autres et nous permet, je pense, de devenir de meilleurs humains." (Cécile Rousseau)

Résumé : "C'est ma promenade sentimentale…" dit Yves qui rend chaque jour visite à sa femme, Henriette, atteinte par la maladie d'Alzheimer et hospitalisée dans un centre spécialisé brestois qui fait référence Kuzh Heol. Henriette ne reconnaît plus Yves cependant pour cet “aimant” la visite quotienne à sa femme permet de continuer le chemin ensemble malgré tout. Le film s'articule autour de séquences qui montrent la vie d'Yves où le vide s'installe dans la maison, la vie à Kuzh Heol ainsi que des témoignages de personnes liées à Alzheimer.

Résumé : On entend des éclats de rire, ça parle pachtoune, anglais, arabe, français, bambara... On court, on joue, on crie et on s'embrasse. Le château des Vaux, site des Apprentis d'Auteuil, situé à 40 kilomètres de Chartres, nous ouvre pour la première fois les portes de sa fondation. Ce documentaire suit la reconstruction de quatre adolescents placés par les services de l'Aide Sociale à l'enfance. Nicolas, Floriane, Koloma et Coralie ont moins de 17 ans et le château constitue leur dernière chance.

Explorer les sujets liés :