Recherche simple :

  •    Sujet : Psychologie humaniste
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en ligne : 6

Voir tous les résultats les documents en ligne

Résumé : Dans les années 60 Philippe Grauer s'est impliqué dans l'introduction en France de psychosociologie et de la psychologie humaniste américaine (Carl Rogers). Il suit les enseignements structuralistes de Barthes et Greimas, introduit Le Mouvement du potentiel humain, propage la psychologie humaniste, achève une psychanalyse en 1992, devient psychanalyste indépendant. Il participe à l'établissement de la profession de psychothérapeute, crée en 1985 le CIFPR (Centre Interdisciplinaire de Formation à la Psychothérapie Relationnelle. il définit la multiréférentialité "comme la prise en compte de la diversité des modèles et disciplines en sciences humaines cliniques, comme l'art d'articuler des systèmes en respectant leurs aspects contradictoires dont aucun n'acquiert por autant ni le statut de tiers eclu, ni de terme hégémonique.... Ma psychopratique, autrement dit ma clinique, consiste à me laisser surprendre par ce qui dans l'entre-deux relationnel psychothérapique survient ou surgit, souvent furtivement, en moi, à le saisir et remettre dans le commerce, le commerce des hommes comme on disait au XVIIIème siècle, à le faire tenir tenir dans le circuit dialogual en cours, afin de tâcher ensemble de voir en quoi et comment cela peut éclairer la situation et alimenter le processus de subjectivation...Mes valeurs se situent du côté de l'humanisme, d'un éco-humanisme respectueux de la nature, du respect de la diversité des écoles et doctrines, dont aucune ne sombrerait dans l'arrogance ou le désir d'hégémonie. Mes valeurs résident dans l'exigence de formations variées, critiques, longues et rigoureuses, et de références aux organismes historiquement repérables capables de cautionner de façon responsable la pratique de la psychothérapie relationnelle." (Philippe Grauer)

Résumé : Le World Trade Center à New York, le Bataclan à Paris, un tremblement de terre au Népal, une noyade dans un lac gelé ou dans les rapides d'une rivière, notre quotidien est ponctué par des événements meurtriers durant lesquels s'illustrent parfois des héros ordinaires. Des hommes et des femmes ayant risqué leur vie pour sauver celles des autres. Nous nous sommes tous posés cette question : et si j'avais été là ? Aurais-je été capable de braver ma peur et de faire comme eux ? Ai-je moi aussi l'étoffe d'un héros ? Quelles sont les raisons qui ont permis à certaines personnes d'agir par altruisme, d'aider les autres ?"Face à des situations de danger extrême, certains n’hésitent pas à risquer leur vie pour sauver celle des autres. Outre les centaines de pompiers, policiers et médecins mobilisés, ces anonymes ont, à l’heure où chacune de nos actions semble dictée par l’instinct de survie, trouvé la force de penser à autrui. Ils ont fait demi-tour, tendu la main, transporté à l’abri ou protégé des tirs et de la folie une personne qu’ils ne connaissaient pas.Quel mécanisme humain permet à certains de basculer d’une attitude ordinaire à une posture extraordinaire ? Comment justifier ces actes soudains de bravoure héroïque ? Certains psychiatres parlent d’une “personnalité potentielle”, influencée par le passé et le quotidien de l’individu. D’autres évoquent la possibilité d’un “gène de l’héroïsme”, ou encore d’une éducation qui favorise cette aptitude à le devenir… Les pistes sont nombreuses, et les recherches ne font que commencer. Aux côtés d'Abigail Marsch, psychologue et neuroscientifique américaine, ce documentaire part à la rencontre de ces citoyens héroïques pour comprendre les origines de l’altruisme et de la compassion dans le cerveau humain. Attentats, séismes ou encore noyade… Des témoignages d’un jour qui a changé leur vie à jamais." (Film-documentaire.fr)

Explorer les sujets liés :