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  •    Sujet : Russie -- Histoire
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Résumé : Au Nord de la Russie, Novgorod était, il y a mille ans, une cité prestigieuse, une république féodale, un grand carrefour commercial entre l'Asie centrale et l'Europe, un centre artistique et culturel où l'art des icônes, des fresques et l'architecture s' épanouirent dans un style original, et un foyer de spiritualité orthodoxe. Depuis 70 ans, des fouilles archéologiques ont permis de retrouver de nombreux témoignages de ce passé. Ainsi, lors de la mission archéologique de 2003, les chercheurs ont découvert une centaine de maisons, des objets usuels, des objets d'art, des fragments de fresques, et surtout des milliers de lettres écrites sur des écorces de bouleau. En Europe, seuls le clergé et quelques nobles détenaient la Connaissance; or, à Novgorod, ces lettres prouvent que la plupart des habitants de la région savaient lire et écrire, même les paysans. Grâce à elles, les historiens peuvent recréer la vie russe de cette époque, reconstituer la ville telle qu'elle était. Le film fait alterner des scènes jouées par des comédiens illustrant le contenu de quelques lettres et les avancées des fouilles archéologiques. Parmi celles-ci, la correspondance du peintre d'icônes, Oliséi Gretchine, est particulièrement intéressante.

Contenu : Forza del amore e dell' odio (La) : vado a morir / Francesco Araia. Altsesta : razverzi pyos gortani, laja. Altsesta : idu na smert. Siroe, re di Persia : o placido il mare / Hermann Friedrich Raupach. Prologue to 'La clemenza di Tito' : de miei figli / Domenico Dall'Oglio. Carlo Magno : fra' lacci tu mi credi / Vincenzo Manfredini. Seleuco : pastor che a notte ombrosa / Francesco Araia. Altsesta : march / Hermann Friedrich Raupach. Carlo Magno : non turbar que' vaghi rai / Vincenzo Manfredini. Vergine del sole (La) : agitata in tante pene / Domenico Cimarosa. Carlo Magno : a noi vivi, donna eccelsa / Vincenzo Manfredini

Résumé : "Je vous écris d'un pays lointain. On l'appelle la Sibérie. À la plupart d'entre nous, il n'évoque rien d'autre qu'une Guyane gelée, et pour le général tsariste Andréiévitch, c'était "le plus grand terrain vague du monde". Il y a heureusement plus de choses sur la terre et sous le ciel, fussent-ils sibériens, que n'en ont rêvées tous les généraux." Ainsi débute cet "essai à la fois historique et politique encore qu'écrit par un poète" comme le décrit André Bazin, dans France - Observateur, le 30 octobre 1958.

Résumé : Milan Rastislav Stefanik, né en 1880 en Slovaquie, alors province du royaume Hongrois au sein de l'empire austro-hongrois, se tourne vers des études scientifiques (astronomie) qui l'amènent en France où il travaille à l'observatoire de Meudon. Il obtient la nationalité française en 1912, et la Légion d'honneur en 1913.Quand la guerre commence, il s'engage dans l'aviation et crée le service météorologique de l'armée. En même temps, il milite aux côtés de Louise Weiss pour une grande liberté d'action politique. Il crée un régiment tchécoslovaque au sein de l'armée française, et de l'armée italienne, légion qui ira combattre jusqu'en Sibérie vers la fin de la révolution bolchévique. Avec Masaryk et Benes, ce brillant diplomate oeuvre à la naissance d'un nouveau pays européen : la Tchécoslovaquie. Il meurt près de Bratislava , dans un accident d'avion, en 1919.Le film met en lumière cet aspect méconnu de l'Histoire de France et de l'Europe, ainsi que de la 1ère Guerre mondiale.

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