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Contenu : Les lumières de la ville (thème de l'ouverture, Le balayeur des rues, La fleuriste aveugle, Le combat de boxe, Les espoirs de la prospérité, Le fardeau de la pauvreté). Les temps modernes (Thème de l'ouverture, Le grand magasin, Le déjeuner, a nonsense song, Un énorme repas, Smile). Le dictateur (Thème de l'ouverture, Le diner des conspirateurs). Les feux de la rampe Au théâtre de l'Empire, La mort de Colombine, Le clown, Spring is here, The sardine song, The animal trainer, Thème du final). Les lumières de la ville (La violetera, Ton sourire est dans mon coeur, Je cherche après Titine). Un roi à New-York (Toi l'amour, Mandoline amoureuse)

Contenu : M'baamba (kenyan song). Shango wa. Eva / avec Asa. Interlude : agbade. Bomba / avec Rostan Batmanglij. Hello / avec Trio Teriba. Blewu. Kamoushou. Kulumbu / avec Dr. John. Interlude : kletedjan. Ebile / avec le Kronos Quartet. Awalole / avec l'Orchestre Philharmonique du Luxembourg. Bana / avec Yvonne Kidjo. Orisha. Interlude : wayi. Cauri

Résumé : Un garçon sort de deux années de prison, une fille arrive après des années de vie itinérante avec son chien, un garçon a vécu une enfance abusée par son beau-père, une fille sort de plusieurs années de prostitution: ces quatre jeunes toxicomanes essaient de se défaire de leurs dépendances au Gué: un centre de postcure au milieu de la Drôme provençale disposant d'une ferme et de terrains cultivables. Travailler la terre, une manière d'oublier la dépendance à la drogue, de reconstruire un corps et un esprit en friche après une jeunesse souvent sombre et difficile. Un jeune homme résiste, au début tout lui insupporte, il parvient ensuite à se questionner, à se demander pourquoi cela est ainsi et surtout pourquoi il est comme ça. Une jeune femme fait la gueule tout le temps. Un jour un sourire, un rire, elle se rend compte que les émotions reviennent . L'indifférence recule. Le chemin est long, le film patient, la rencontre a bien lieu à travers ces images proches et respectueuses.

Contenu : J'ai tout commencé tard. Avec Alain. Comme Joan Baez / avec Hélène Billard. Coup pour coup. Sonnet : Ce matin-là. De vous à toi. Ton avis (sur ma vie). Pince-moi. Le jupon noir / Monique Brun et Garance. Tatiana sur le périph / Frédéric Bobin. Premier jet. Chanson de l'ami II. Chanson sur l'ami. Coup pour coup (version quatuor). As-tu déjà aimé ?

Contenu : CD1 - Bobino : J'aimerais bien être mon chien. Deux kangourous devant la véranda. Son sourire. Le Vieil ours. Home story. Dédé Slovinski. Le politicien. Mon premier cheveu gris. Il neige au fond de mon âme. La chasse présidentielle. Le météorologue. La fraise géante. Les Lumières se sont éteintes. Daddy blue. L'ours qui voulait rester un ours. Heureux qui comme Ulysse. Tout est bien. Tous mes chemins. Petit d'homme. CD2 - Olympia et Bobino : Je suis fait de ce bois (à Bobino). C'était une bonne année, je crois (à Bobino). Arriverai vendredi 13. Christine. Je crois qu'elle est ainsi. Une cruche en pierre. J'aimerais tant. La petite fille. Songez que maintenant. Annabelle. Voilà les musiciens. Au-dessus des nuages. L'assassin est toujours le jardinier. Approche ton fauteuil du mien. Les bulles de savon. La mappemonde. Je dirais j'ai tout vécu. Ma boîte à musique. Gaspard. Bonsoir mes amis

Contenu : CD1 : C'est le be-bop. La vie grise. Ma chansonnette. Pas encore. La nuit va commencer. Rock and roll mops. Rock-hoquet. Dis-moi que tu m'aimes rock. Va t'faire cuire un oeuf, man. Y a rien d'aussi beau. Eh mama !. Oh! Si y'avait pas ton père. T'es à peindre. Mazurka pour ma mie. Ca pince. Je n'peux pas travailler. Cécilia. Robert. J'ai vingt ans. Le taxi. Le cinglé de la grosse caisse. Le fêtard.. CD2 : Blouse du dentiste. Moi j'préfère la marche à pieds. Trompette d'occasion. Oh! Quand les saints. Le gars de Rochechouart. Le tube. Le gosse. Java mondaine. Bal de Vienne. J'aimerai tellement ça. Gigi. C'était pour jouer. Un certain sourire. Je me souviens de vous. A Cannes cet été. La fin des vacances. Place blanche. Maman. Ne dis plus rien. Faut rigoler. Donne, donne, donne. Romance a Napoli.

Résumé : Elle voulait être institutrice, elle sera propulsée avec le succès que l'on sait dans le monde du cinéma. En de longs entretiens avec elle, Stefano Mordini retrace le parcours de l'actrice Claudia Cardinale, diva mais "girl next door", qui révèle failles et complexité. Extraits de films, archives et interviews de producteurs, acteurs et biographes viennent compléter ce portrait plus réaliste que l’image idyllique et attendue des stars. Découverte à 17 ans lors d’un concours de beauté à Tunis, où elle habite, organisé par des studios de cinéma italiens, Claudia Cardinale fera de la résistance au 7e art jusqu'au "Pigeon" de Monicelli (1958), produit par Franco Cristaldi, où elle triomphe. En quelques années le producteur-pygmalion, qu’elle épouse en 1966, va faire d'elle une star planétaire. Pour les seules années 1960, elle ne travaille pas moins qu'avec les cinéastes Bolognini, Zurlini, Gance, Verneuil, de Broca, Comencini, Fellini, Edwards, Hathaway, Leone, Kalatozov, sans oublier Visconti, "Le Guépard" (1963) restant l'un de ses films préférés. Au fil de l'entretien, sous le sourire légendaire de "la" Cardinale, apparaît peu à peu une femme insoumise et révoltée. Après un divorce qui la fâcha avec toute la profession, puis un remariage, elle confessa un viol à 16 ans et la naissance d’un fils qu’elle dut faire passer pour son frère pendant longtemps ; un féminisme assumé qui la fit enfin prendre son destin en main.

Contenu : CD 1 : Lumière écarlate. Soeur de race. Les fées carabosses. Voyage 1. La solitude. Un sourire, un rire, des éclats. Le crime de l'enfant dieu. Le point qui scintille. CD 2 : Prélude. Sîrba. 15 août 1970. Silen voy kathy. Prélude. Poème non épique. Ballada das aguas. CD 3 : Âme debout. Diborowska. Alpes 1. Alpes 2. Alpilles. Aria populaire. Le kleenex, le drap de lit et l'étendard. Dingue. CD 4 : Roc alpin. Jusqu'à ce que la force de t'aimer me manque. Paix. Un jour... la mort. CD 5 : La petite fille aux fraises. L'ère de la putréfaction. Un regard clair. Poème non épique. CD 6 : Une infinie tendresse. Prélude médiéval. Parle-moi d'un homme heureux. Qui a parlé de fin. Poème non épique nʿ3. CD 7 : Le temps de l'autre. Cette voix. Aimer quoi qu'il arrive. Le silence de la mort. Kel epik epok opak ! CD 8: Iona mélodie. Frères humains. Cristalpin. Prélude. Tous les droits sont dans la nature. L'oiseau devant la porte. Alpinette. Femme témoin. Détournements de chants. CD 9 : La vie en bref. Voyage au fond de l'amour. La grande déglingue. Ne pas partir ne pas mourir. Dis-moi qui tu embrasses. La nuit des errants. La parole est à la victime. Paix.

Résumé : Mars 1989, les élections municipales. La ville va enfin trancher les conflits qui la rongent depuis la mort de son ancien maire, Gaston Deferre. Une seule question se pose : qui va lui succéder? «Le premier pari de ce film, écrit Michel Samson, c’était que les hommes politiques de la ville avaient des choses à dire sur la ville et sur leur fonction. Cela impliquait une seule chose, petite et immense : prendre le temps de les écouter. Longuement, patiemment. Au cours de ces séances qu’ils ont parfois dû trouver interminables, car ils sont plus accoutumés à parler vite et mal que lentement et bien, ils ont tous fini par parler. Peut-être parce qu’on ne leur demandait pas de livrer des secrets mais le fond de leur pensée – ou, plus encore, le fond de leur sentiment.» (Michel Samson) «Marseille de père en fils regorge d’histoires d’amitiés indestructibles ou trahies, de fraternités malheureuses, de fils prodigues et d’autres indignes, plutôt que de confrontations idéologiques. Le père est d’ailleurs la figure omniprésente de ce film, sauf que ce n’est pas le même pour tous. Il y a bien sûr, pour la gauche déchirée entre Robert Vigouroux et Michel Pezet, Gaston Deferre qui vient régulièrement d’outre-tombe donner, sourire aux lèvres, une leçon de politique ou de morale. Il y a, pour Jean-Claude Gaudin, le père réel à qui il déclare, dans une belle séquence, sa fidélité perpétuelle...» (Stéphane Bouquet, «Les Cahiers du cinéma» n°521). En contrepoint, des Marseillais qui viennent d’Algérie ou d’Arménie, nous disent comment ils aiment cette ville qui, parfois, le leur rend mal.

Résumé : "Dans la nouvelle qui ouvre le recueil intitulé "Le sanatorium au croque-mort", Bruno Schulz parle du livre : "Jadis, au petit matin de mon enfance, à la première aube de ma vie, sa douce lumière éclairait l'horizon. Il reposait glorieux sur le bureau de mon père qui, plongé en lui, frottait en silence, patiemment, d'un doigt humecté de salive, le dos des feuillets jusqu'à ce que le papier aveugle s'embrumât, se brouillât, réveillât le troublant pressentiment." Nous avons donc filmé les livres eux-mêmes. Nous avons montré le "papier aveugle", l'architecture typographique des mots (polonais), parfois démesurément grossis et déformés, comme ces objets quotidiens que la mémoire transforme en mausolées grandioses et obsédants : Schulz a l'art de ces déformations. De temps en temps, un cafard traverse le texte et s'enfonce dans l'obscurité. Entre le bruit sec que font ses pattes sur le papier et la typographie du texte, s'établit alors un étrange dialogue... Deux voix se disputent l'espace sonore. Deux voix qui lisent Schulz. L'une, la polonaise, pour nous donner la musique. L'autre, la française, pour libérer les images [...] Une dernière image : celle d'une carte de la Pologne sur laquelle tombe de la farine blanche. Voix du commentateur : "Le 19 novembre 1942, un coup de feu rompt le fil de la métaphore... Il neige sur la Pologne..." Sans doute Schulz aurait-il eu un sourire complice devant cette image bricolée qui simule la neige avec un peu de farine. Lui qui a bien su explorer la richesse polysémique de ce qu'il appelait la camelote : la neige, la farine, la folie, le livre... et le temps !" (André S. Labarthe)

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