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Résumé : Analyse la place du squat dans les formes contemporaines de contestation à travers une synthèse de ses usages rappelant ses origines et montrant les modèles étrangers dont ils s'inspirent. L'essai met en évidence un mode d'action collective peu connu qui n'est pas réservé seulement aux sans-logis et constitue de fait une réponse à la demande d'un toit ou d'un espace.

Résumé : Permet de comprendre la sociologie et le quotidien des populations mouvantes, vivant dans des squats ouverts sur l'extérieur : leurs parcours, leur revendication d'un mode de vie alternatif, comment ils conçoivent la bonne santé, comment ils composent leurs références et leurs relations avec les institutions, etc. Une enquête sur une subculture. ©Electre 2014

Résumé : De 1996 à 2006, une ancienne maison close de Toulouse est occupée illégalement. Baptisé le squat du Clandé, ce lieu de vie collectif est investi par de jeunes gens pétris de l'esprit du punk et d'idéaux politiques qui défendent une société alternative. L'histoire du squat est reconstituée à partir du témoignage de certains de ses occupants et témoins. ©Electre 2023

Résumé : Les personnes vivant dans des bidonvilles ou des squats ont des droits cités dans ces pages : accès à l'éducation, à l'eau, à l'électricité, à une domiciliation, etc. Ce livret présente les démarches à effectuer en cas d'action en justice du propriétaire ou de décision administrative d'expulsion et incite les personnes concernées à faire valoir leurs droits. ©Electre 2014

Résumé : Mêlant récit, analyse et photographies, un témoignage sur les conditions de vie des migrants et sur ce lieu de mobilisation qu'est le squat. Il retrace l'histoire du logement des immigrés en France, raconte le quotidien des squats à travers des parcours individuels et les luttes collectives.

Résumé : In this, the first book-length study of the cultural and political geography of squatting in Berlin, Alexander Vasudevan links the everyday practices of squatters in the city to wider and enduring questions about the relationship between space, culture, and protest.Focuses on the everyday and makeshift practices of squatters in their attempt to exist beyond dominant power relations and redefine what it means to live in the city. Offers a fresh critical perspective that builds on recent debates about the “right to the city” and the role of grassroots activism in the making of alternative urbanisms. Examines the implications of urban squatting for how we think, research and inhabit the city as a site of radical social transformation. Challenges existing scholarship on the New Left in Germany by developing a critical geographical reading of the anti-authoritarian revolt and the complex geographies of connection and solidarity that emerged in its wake. Draws on extensive field work conducted in Berlin and elsewhere in Germany

Résumé : Une enquête minutieuse sur un squat situé dans un quartier populaire du nord-est de Paris et qui se maintient depuis plusieurs années sans provoquer de mesures d'expulsion : observations, entretiens avec les squatters, le commissaire de police, l'adjoint au maire, les responsables des deux associations de quartier et des voisins.

Résumé : En se fondant sur l'histoire de la fondation de trois parcs naturels emblématiques (les Adirondacks, Yellowstone et le Grand Canyon), l'auteur analyse comment les nouvelles législations sur la protection de la nature ont criminalisé les pratiques traditionnelles des habitants tels que les Indiens, les trappeurs ou les chasseurs. Un éclairage sur l'environnementalisme américain. ©Electre 2021

Résumé : Helping low-income communities, in some local contexts known as "squatter settlements" or "slums," is the focus of this text. As introduced by Werthmann (Leibniz Univ. Hannover), the book "presents the various ways . . . designers are struggling to upgrade these settlements physically without destroying them socially.” Part 1 provides an "incomplete taxonomy" of issues (such as land, water, public spaces, and street layout) that can impact such neighborhoods. It closes with a superb section on modes of government engagement, both positive and negative. Part 2 is devoted to case studies from four cities in Latin America—Buenos Aires (Argentina), Rio de Janeiro and São Paulo (Brazil), and Medellín (Colombia)—highlighting key issues in each place, namely, marginal lands, toxic sites, separation from urban infrastructure, security, and lack of public facilities. Each case study closes with an interview with key players who worked in the particular settlement. Part 3 examines the lessons learned and provides recommendations for others who take on similar projects. The author's goal is that conclusions drawn here should be applicable for future work in other regions, such as Africa and Asia. This is a well-researched companion to the more global book The Everyday Life of Urban Inequality (2020), edited by Angela Storey, Megan Sheehan, and Jessica Bodoh-Creed.

Résumé : Etude sur les effets des politiques publiques en matière de logement illégal, depuis les années 1960 en France et en Espagne. Analyse le recours à des dispositifs d'exception, sa pertinence et sa justification par les autorités. ©Electre 2017

Résumé : L'histoire de l'occupation du territoire de 1.650 hectares, initialement prévu pour accueillir un nouvel aéroport, décrété zone d'aménagement différé, puis devenu zone à défendre. L'ouvrage collectif rend compte chronologiquement de quarante années de lutte, d'expérimentations collectives et de cohabitation de populations aux profils divers au travers des témoignages de ceux qui les ont vécues. ©Electre 2019

Résumé : A la suite de la faillite de son entreprise, un jeune Nigérian quitte son pays pour aller rejoindre son oncle en Californie. Après la guerre civile et la violence au Nigeria, c'est la désillusion qui l'attend aux Etats-Unis... Le continent américain et la communauté afro-américaine vus par un Africain. Premier roman.

Résumé : Ces cinq conférences publiées il y a une dizaine d'années avec l'association Emmaüs témoignent des mutations intervenues en France dans les secteurs du travail, de la famille, des migrations et du logement. Ces textes montrent que le système social pensé en 1945 est devenu obsolète au regard des réalités contemporaines. ©Electre 2022

Résumé : Recueil de textes extraits du journal de rue "Street voice", périodique gratuit, fondé par des sans-logis de la ville de Baltimore (Etats-Unis) dans les années 90. Ce journal sans visée caritative ni commerciale est écrit par ceux qui vivent en marge de l'American dream : chômeurs, squatters, junkies, etc. Il constitue une somme de témoignages, avec une critique sociale radicale et authentique.

Résumé : This book tells the story of the painted towns of Shekhawati in rural Rajasthan, India. For centuries, the painted buildings served the towns as trading houses, pleasure palaces, temples, caravansaries, and private homes. Following independence, the descendants of the merchant families left Shekhawati for India's burgeoning cities, abandoning their opulent structures. Some were left in the charge of caretakers; squatters took up residence in many; most simply remain vacant. The buildings have slowly deteriorated over time, ravaged by climate and neglect, and now lie scattered among the desert settlements as an elegiac collection of beautiful living ruins--a crumbling open-air gallery set amid the ordinary affairs of small town life. This book portrays the fascinating ruinous beauty of the painted towns, and, along the way, provides an intimate look at life and landscape on the arid fringes of Rajasthan. This world, too, is fading, and so the book's photographs, in the end, are a visual study of both place and society at the edge of time

Résumé : A Roquebrune-Cap-Martin, pendant l'été, Louison et Tessa, deux jeunes gens, entrent clandestinement dans une villa. Gréco, une décoratrice âgée qui veille scrupuleusement sur les lieux, surprend les deux squatteurs. Les trois protagonistes s'opposent et s'apprivoisent.©Electre

Résumé : Récit biographique retraçant le parcours de celle qui, au lendemain de la guerre, prit la tête d'une association de squatteurs avant de fonder le mouvement des Castors. D'après le film documentaire consacré par Marie-José Jaubert à celle qui était surnommée la madone des sans-logis.

Résumé : Un point historique et géographique sur les bidonvilles, des constructions bâties pour des populations pauvres avec des matériaux de fortune sur des terrains squattés et non viabilisés. L'auteur étudie la genèse et l'évolution de ce phénomène, ses représentations dans la littérature ou au cinéma ainsi que ses apports à l'urbanisme. ©Electre 2022

Résumé : Deux prétendus Roumains entreprennent, après une soirée très arrosée, un voyage sans but précis dans la Pologne postcommuniste. Ils font pression sur un automobiliste qui, apeuré, accepte de les emmener. Ce qui semblait amusant se révèle une expérience traumatique : passé l'effet de la drogue, ils se retrouvent dans la réalité brutale des bars squattés par les prostituées et les clochards.

Résumé : Beginning in the 1950s, an explosion in rural-urban migration dramatically increased the population of cities throughout Peru, leading to an acute housing shortage and the proliferation of self-built shelters clustered in barriadas, or squatter settlements. 'Improvised Cities' examines the history of aided self-help housing, or technical assistance to self-builders, which took on a variety of forms in Peru from 1954 to 1986. While the postwar period saw a number of trial projects in aided self-help housing throughout the developing world, Peru was the site of significant experiments in this field and pioneering in its efforts to enact a large-scale policy of land tenure regularization in improvised, unauthorized cities.

Résumé : "Introduction and overview The 'Malayan Emergency' lasted from mid-June 1948 until 31 July 1960. At its peak in 1951-52, 40,000 troops, over 70,000 police, and more than 250,000 Home Guards confronted seven to eight thousand armed insurgents. Led by the Malayan Communist Party (MCP), the guerrillas were backed by Min Yuen (Mass Organisation) cells for suppliers, women, youth and more, and beyond that by supporters and sympathisers estimated as peaking at anything up to a million.1 They operated in the equatorial jungle that covered two thirds of the country, on mountain and hill, in belukar (dense, scrubby secondary jungle), lalang (tall, course grass), in marsh at the forest's edge, in rubber plantations and close to small villages and squatter settlements. The administration's aim was to protect, control, coerce and cajole a population that rose from just under five million in June 1948 to six million in 1956, in particular those living along the forest fringe. This population, which in 1948 comprised 49 percent Malays, 38 percent Chinese, and 11 percent Indians, inhabited an area roughly the size of England without Wales"

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